La misère importée s’installe en France

La misère importée s’installe en France

La France est le pays le plus imposé du monde avec les résultats que l’on connaît. Cela, tout le monde le sait. Mais la question se pose aussi de savoir si la gouvernance française n’est pas la plus hypocrite du monde.

« La France terre d’asile » reçoit depuis des décennies toute la misère du monde. C’est très bien, dit-on, mais il faut savoir comment cette misère est traitée. Elle n’est pas supprimée. Elle est entretenue.
Les campements d’immigrés, notamment dans le nord-est de Paris, se reforment dès qu’ils ont été dispersés. On y trouve ces temps-ci des Africains, venus de ce qu’on appelle la « corne de l’Afrique », Somaliens, Érythréens et surtout Soudanais, très éloignés de la civilisation occidentale. Ils survivent, par 0 degré, sous des tentes fournies par la mairie de Paris et tentent de se réchauffer sous des couvertures crasseuses. Ils ne se lavent jamais et utilisent les trottoirs comme latrines communes. Des chiens faméliques leur tiennent compagnie. Les immeubles riverains, devenus riverains de bidonvilles et de cloaques, ont perdu de ce fait 50 % de leur valeur. Et, comme ces Africains ont non seulement froid mais faim, pour survivre, beaucoup volent à l’étalage. Voilà ce qu’il en est de « Paris ville lumière », capitale de la France !

Les protestations deviennent telles qu’au bout de quelques semaines, ces immigrés sont dispersés dans des villages où, évidemment, ils créent aussitôt l’insécurité. Le maire se voit dans l’obligation d’augmenter les impôts locaux pour les nourrir.

Je note en passant que les Soudanais sont les plus à craindre. Ils ont en Afrique une réputation de pillards. Ce sont les Soudanais qui multiplient les incursions au Tchad et en République centrafricaine contre les populations chrétiennes. Ils ont en outre décimé la faune locale pour vendre l’ivoire des éléphants aux Chinois et, dans le sud de leur pays, ils se battent entre eux depuis des décennies.

En France, à Paris et dans certaines grandes villes, aux campements sauvages dont je viens de parler, s’ajoutent des logements indignes. Certains Africains s’entassent à dix par pièce dans la saleté, la vermine et les rats. Le manque d’hygiène y est total et, bien sûr, favorise toutes les pathologies possibles.

Le centre de soins de « Médecins de monde », parmi d’autres, est submergé de malheureux qui sollicitent des soins dans de longues files d’attente qui se forment dès 3 heures le matin.

Une cinquantaine de médecins et soignants bénévoles se relaient sans relâche pour les soigner, « mais, disent-ils, nous sommes débordés. Aujourd’hui, il faut plus d’un mois et demi pour qu’une femme enceinte à la rue soit prise en charge. Depuis deux ans, nous n’avons jamais reçu autant de femmes enceintes et avec des enfants, en même temps que des mineurs non accompagnés. Un petit jeune que l’on vient de recevoir dort dans la rue. Il n’avait pas mangé depuis 48 heures. On lui a aussitôt donné des barres de céréales pour s’occuper d’une fracture qui le faisait souffrir. On a reçu des jeunes filles de 15 ans, atteintes du SIDA, très répandu dans ces populations. La plupart des femmes passées par la Libye islamique ont subi des sévices très importants, dans un pays pourtant géographiquement proche de l’Europe, devenu un centre immense de corruption, de torture, de banditisme et de tuerie, après l’opération menée au temps de Sarkozy, visant à assassiner Kadhafi. »

Cette situation est d’autant plus inquiétante que ces malades importent en France des pathologies qui avaient disparu grâce aux soins et précautions pris depuis longtemps. La tuberculose, les maladies sexuellement transmissibles, dont le SIDA, la gale, sont de graves atteintes à la sécurité physique de la population française. Tout ceci étant de la responsabilité des pouvoirs publics depuis déjà bien longtemps.

Cette situation est d’autant plus lamentable et révoltante que les médecins coloniaux avaient fait un formidable travail au temps de la colonisation en ouvrant notamment des dispensaires partout. Les médecins français une fois partis, l’Afrique est devenue le chaos que l’on connaît avec prolongement, maintenant, dans l’ancienne métropole.

Mais, comme fournisseurs de misère, il n’y a pas que l’Afrique et l’Orient, il y a aussi l’Europe de l’Est, naguère colonie soviétique.

Il y a quelques jours, j’ai remarqué un jeune garçon accroupi sur le trottoir qui m’a dit dans un français correct qu’il avait froid et faim. Il était sans bouger de 8 heures le matin à 8 heures le soir, qu’il pleuve ou qu’il neige, dans l’attente qu’on lui fasse la charité. Il m’a dit qu’il venait de Roumanie, qu’il allait y retourner et qu’il serait remplacé par une autre équipe. J’ai cru comprendre que ces équipes de Roms venaient tour à tour en France pour mendier et voler. Le système fonctionne bien. Les pouvoirs publics sont parfaitement informés mais ils n’empêchent rien. Impuissance ou une sorte de complicité ? De toute façon, le résultat est là et il est scandaleux.

Comme tous les ethnologues s’accordent à dire que, d’ici 2030, l’immigration africaine pourrait être dix fois plus importante qu’aujourd’hui, étant donné une population africaine qui, elle, aura considérablement augmenté, vous imaginez quel sera alors l’état d’un pays – le nôtre – qui ne sera plus qu’un espace géographique arabo-africain à majorité musulmane. La responsabilité en incombera à la classe politique dirigeante dont l’incurie depuis des décennies est désolante.

 

 

Voir les derniers ouvrages proposés par les4verites-diffusion ici

Partager cette publication

Comments (13)

  • CGM Répondre

    HANS : N’ayez pas une vision si limitée! Une invasion est souvent militaire! Là, ce sont des caravanes de honduriens ou des salvadoriens organisées et politisées (guidés par des c***) qui les incitent à partir vers les EU. Or, n’oubliez pas, vous avez deux pays prospères en proximité, le Panama et le Costa Rica où la plupart préfère partir. Je trouve qu’en France on voit pas assez comment ces deux pays absorbent ces “envahisseurs” sans construire des murs.
    Ensuite, oui, je suis d’accord avec vous que c’est à cause des gouvernements socialistes et de gauche que maintenant on paye les conséquences de ses politiques. Malheureusement le Venezuela est une honte qui tâche l’ensemble de la région que, je suis sûr, ne durera plus trop longtemps. Bolivar doit être en train de se retourner dans sa tombe…

    5 février 2019 à 10 h 29 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      // Là, ce sont des caravanes de honduriens ou des salvadoriens organisées et politisées (guidés par des c***) qui les incitent à partir vers les EU //
      Remplacez c*** par magouilleurs de la sorcière frustrée Clinton et vous serez plus près de la vérité.

      5 février 2019 à 17 h 25 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    // Bref, ce n’est pas le sujet de l’article mais c’était tout simplement pour vous éclairer sur l’impossibilité de mettre en place le fameux mur entre deux pays hyper proches dans tous les sens. //

    => CGM ou Claude?

    Votre éclairage adressé à mon humble personne ne m’a pas convaincu.
    Les USA sont seuls habilités à déterminer si ce mur doit ou non être construit.
    Moi-même j’y souscris, mais cela ne changera rien à la donne.

    J’habite dans une région où nous avons deux (oui 2) frontières vertes avec des points de passage officiels et Il ne viendrait à l’idée de personne de traverser illégalement ces frontières.
    C’est peut-être avant tout une question d’éducation et de respect de l’autre.

    Pour mémoire la frontière us-canadienne ~8890 km n’est pratiquement pas gardée.
    Celle avec la Mexique ne fait que 3145 km.

    // …NOUS, en Amérique, on n’arrive pas encore à NOUS mettre d’accord là dessus… //
    Je n’ai pas bien compris habitez vous en Europe ou en Amérique, ou les deux à la fois?

    4 février 2019 à 10 h 27 min
    • CGM Répondre

      Dans les deux à la fois.

      5 février 2019 à 10 h 32 min
  • IOSA Répondre

    Plus il y en a…… plus il y en aura.
    Bon va falloir changer de métier et ouvrir un kebbab, reste à trouver un nom qui sonne bien aux oreilles des futurs revenants de Syrie ?
    Je crois que j’ai trouvé…..Kalach Kebbab, cela va faire un carton dans la foule.

    2 février 2019 à 22 h 48 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Pourquoi pas le “Dèche-Grill”?

      4 février 2019 à 13 h 55 min
  • KAVULOMKAVULOS Répondre

    Le pire est que, lorsque le nombre de traines savates et autres parasites importés sera suffisamment élevé, la misère s’installera d’une façon générale en France aussi. Comment expliquer, autrement qu’avec des balivernes sur la soit-disant “néo-colonisation” , que des pays africains ayant tout sous la main pour avoir un très bon niveau de vie sont constamment dans la merde et aient besoin de nous envoyer leur surplus.

    31 janvier 2019 à 23 h 42 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Tous les pays développés ayant des frontières communes avec d’autres sont aujourd’hui menacés d’invasion.
    Les seuls qui en réchappent pour le moment sont les pays-îles comme la GB, l’Islande, le Japon, l’Australie et des pays reclus comme la Corée du Nord ou l’ex DDR.
    Il est impossible de rendre une frontière totalement imperméable à moins d’ériger un mur ou de placer un soldat tous les 10 mètres. Trump vient d’envoyer 2300 GI’s à la frontière US-Mexicaine pour y seconder les patrouilles de douaniers.
    Mille fois plus ne suffirait pas pour sécuriser toute la longueur de cette frontière.
    Tant qu’il y aura des dictateurs ou des idéologies asservissant leurs peuples on assistera à cet exode de pauvres hères vers des cieux plus cléments.

    Nous sommes foutus surtout si nos dirigeants approuvent tacitement ces invasions au nom de la bien-pensance.
    N’oublions pas que nos dirigeants sont élus par des gens qui votent pour eux.

    30 janvier 2019 à 12 h 19 min
    • CGM Répondre

      Par contre n’oubliez pas que la moitié des EU appartenaient au Méxique. Il est donc normal qu’il y ait une grande population latine.
      Sinon on expulse tous les germaniques d’Alsace?

      2 février 2019 à 13 h 50 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        C’est vrai mais vous oubliez que tout le continent sud et nord-américain appartenait aux “Amérindiens” avant la venue des Européens, principalement, français, anglais, espagnols et portuguais.
        Les problèmes de frontières aux Amériques sont une invention purement européenne.

        // Sinon on expulse tous les germaniques d’Alsace? //
        Les germaniques d’Alsace sont un peu les “Amérindiens” de cette province. Je suppose que vous allez tous nous parquer dans des réservations. Ne resteront que les “Chances pour la France”.
        Pourquoi pas?

        2 février 2019 à 14 h 43 min
        • CGM Répondre

          Mais de quels problèmes de frontières vous parlez? Celles entre les EU et le Mexique? Là ou des dizaines de millions de dollars bougent tous les jours? L’une des frontières les plus dynamiques au monde? Ou est ce que vous parlez de la frontière Chili-Bolivie? Ah! ou peut être encore Uruguay-Argentine?
          Il y a partout sur Terre des conflits ou dysfonctionnements frontaliers. En Europe, par chance, vous avez réussi à les intégrer un peu mieux entre les pays malgré les grandes différences culturelles que vous avez, nous, en Amérique, on n’arrive pas encore à nous mettre d’accord là dessus. Bref, ce n’est pas le sujet de l’article mais c’était tout simplement pour vous éclairer sur l’impossibilité de mettre en place le fameux mur entre deux pays hyper proches dans tous les sens.

          3 février 2019 à 21 h 01 min
          • HansImSchnoggeLochhans

            Je vais faire court et ne pas vous suivre sur le terrain marécageux du bien-fondé de la frontière US-Mexicaine.
            Entre le Mexique et les USA il existe une cinquantaine de points officiels de passage du Pacifique à l’Atlantique, amplement suffisant pour assurer le traffic légal entre ces deux pays.
            Par contre il existe une longue frontière verte qui est régulièrement violée dans le sens sud-nord par des individus *) qui s’introduisent aux USA.
            En termes militaires on appelle cela une invasion.
            Il est tout à fait légitime que le pays envahi se défende par tous les moyens disponibles y compris par la construction d’un mur s’il le fallait.
            Des portions de murs et de clôtures existent d’ailleurs déjà, construits par les prédécesseurs de Donald Trump.

            *) ces individus fuient tous leur pays respectif pour une seule raison, le socialisme criminel qui gangrène de nombreux états sud-américains.
            Par exemple au Vénézuéla ~2.1 millions de personnes sur une population de 36 millions se sont réfugiées dans les pays limitrophes.

            4 février 2019 à 9 h 03 min
          • Claude

            …/… Bref, ce n’est pas le sujet de l’article mais c’était tout simplement pour vous éclairer sur l’impossibilité de mettre en place le fameux mur entre deux pays hyper proches dans tous les sens.

            Sauf, qu’il y a encore quelques années, les contrôles aux frontières terrestres, aéroportuaires, ferroviaires, mobiles, existaient et ce, pour ne citer que ceux qui concernent les postes frontières terrestres France – Espagne.
            Enfant, avec mes parents, tous les étés, à Irún, nous passions la frontière pour pénétrer sur le sol espagnol.
            Un policier (et non un douanier, dont ce n’est pas le métier) faisait stopper notre véhicule et vérifiait les documents d’identité de mes parents, Espagnols naturalisés Français peu avant la venue au monde de leurs enfants.
            Ensuite, le policier en uniforme demandait à mon père de stationner sa voiture sur le parking “visiteurs” jouxtant le commissariat du Cuerpo Nacional de Policía.
            Mes sœurs et moi restions à bord, en attendant le retour de nos parents.
            Il s’agissait, pour le ministère de l’Intérieur, de se tenir informé de qui entrait sur son territoire, pour quels motifs, quelle durée et chez qui ces vacanciers séjourneraient.
            Dans le sens inverse, toujours à Behobia, pour ne citer que ce poste, ce sont les policiers français de la PAF (Police de l’Air et des Frontières, et non des douaniers si chers à Marine Le Pen qui décidément n’y comprend rien et ne sait pas faire la différence entre les missions de la police aux frontières et celles de la douane) qui, encore aujourd’hui (renforcés par des effectifs des CRS ou d’EGM) qui procèdent aux contrôles d’identité. Ils sont systématiques en ce qui concerne les passagers qui voyagent dans des véhicules de transport en commun, que ce soit à Hendaye ou ailleurs.
            Tout ceci pour vous dire que les moyens de contrôles existent et qu’il y a encore quelques années ils étaient efficaces.
            Efficaces parce que les Nations étaient encore souveraines et que le pouvoir exécutif respectait les lois en vigueur en matière d’immigration.
            J’ai vu des dizaines de passagers d’aéronefs repartir d’où ils venaient, avec leurs passagers !
            Ces voyageurs étaient TOUS refoulés par la Police de l’Air car leurs documents d’embarquement ne répondaient pas exigences des lois françaises en vigueur en matière de séjour. En outre, les Conventions internationales obligeaient la compagnie aérienne “fautive” de prendre à sa charge les frais du voyage retour.
            A cette époque, le ministre de l’Intérieur se nommait M. Charles Pasqua.

            4 février 2019 à 9 h 08 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *