La sécurité sacrifiée

La sécurité sacrifiée

armes_banlieues_france

En ce début d’année, j’ai assisté à plusieurs commémorations des attentats de janvier avec le sentiment d’un profond malaise, notamment en écoutant le discours du président de la République.

Le bilan de l’année 2015 est effroyable : 149 morts, près de 360 blessés. Ces attaques terroristes qui ont frappé Paris – et à travers elle la France entière – resteront comme les pires atrocités commises sur le sol français depuis la Seconde Guerre Mondiale. L’application de l’état d’urgence, les trois jours de deuil national (chose inédite sous la Ve République !) et l’intensité de la solidarité affichée en France comme à l’étranger avec les familles endeuillées auront traduit l’ampleur du drame. Mais la très vive émotion suscitée ne doit pas nous dispenser de nous interroger sur l’existence de réelles failles en matière de sécurité intérieure. De même qu’une grande marche ne saurait constituer la seule réponse à la répétition d’actes de guerre, l’unité nationale ne saurait absoudre l’exécutif de ses nombreuses insuffisances dans le domaine sécuritaire.

Le gouvernement n’a pas eu de stratégie sécuritaire jusqu’en janvier 2015. Et, plus grave, à partir de cette date, il n’a pas pris les mesures nécessaires face à la gravité de la situation. La preuve la plus flagrante de cette inaction est le budget de la “sécurité” voté par l’Assemblée nationale quelques jours avant le 13 novembre. Ce budget se résume à deux chiffres : 0,9% d’augmentation en crédits (alors que le budget “Culture” était en augmentation de 4%) et la création de 1.600 postes supplémentaires (11.800 postes pour l’enseignement. L’après-midi même du 13 novembre, le ministre présentait un amendement rognant de 20 millions d’euros ce budget contraint.

La fable des effectifs

La France compte – avec un agent pour 248 habitants – les effectifs de sécurité intérieure les plus importants d’Europe, loin devant l’Allemagne (1 pour 320), le Royaume-Uni (1 pour 270), l’Espagne (1 pour 261) ou encore l’Italie, si l’on comptabilise les 10.000 militaires mobilisés dans le cadre de l’opération Vigipirate. Ce n’est donc pas les hommes qui manquent, mais leur disponibilité sur le terrain.

Sous le gouvernement précédent, comme pour toute la fonction publique, les effectifs ont été diminués. Il fallait répondre à la crise financière par des mesures financières. Mais cette baisse s’est traduite par une augmentation de la masse salariale sur la même période de 10% pour la police nationale et de 5,1% pour la gendarmerie. Moins d’hommes, mais mieux payés. (Cour des comptes 2013). C’est moins le nombre d’hommes qui compte que leur temps de travail effectif, leur formation, leur encadrement, et la façon de les employer.

Une doctrine cache-misère

Depuis l’alternance, la gauche a mis fin à la décroissance des effectifs de la fonction publique, mais cela ne s’est pas traduit spectaculairement parmi nos forces de sécurité. En effet, la progression jusqu’en janvier 2015 ne représente que 0,014% des effectifs, (3.422 sur 240.000). Inutile de dire qu’en nombres d’heures sur le terrain, c’est invisible. Qui plus est, cet effort s’est fait clairement au détriment des moyens et des investissements. Que font les policiers lorsque manquent les équipements de toutes sortes ? (Voitures, gilets pare-balle, ordinateurs, rénovation de locaux, etc.)

Les frais de personnel représentent désormais 89% du budget du ministère de l’intérieur. Avec des effectifs prévisibles en 2016 équivalents à ceux de 2009, c’est un différentiel de 336 millions d’euros en crédits d’équipement qui manquent par rapport à 2009. Pour être concret, sur une période de quatre années, c’est une différence de 1.941 véhicules de police par an.

Un réveil tardif

Au lendemain des attentats, le président de la République nous a fait part, à Versailles, d’une nouvelle vision de sa politique sécuritaire, en reprenant d’ailleurs plusieurs propositions émanant de l’opposition. Le gouvernement a, comme je le lui demandé depuis des mois au nom de la Commission des finances, débloqué en urgence des crédits pour les équipements. Mais la formation des hommes sera plus longue. La réorganisation est une urgence : procédures d’intervention, chaines de commandements, échanges d’informations, cloisonnement des services. On décèle clairement des failles dans l’organisation et dans la doctrine de commandement des forces de l’ordre.

Est-il judicieux d’en parler aujourd’hui alors que tous les fonctionnaires en charge de notre sécurité font preuve d’un engagement reconnu par tous ? Les discours et les hommages aux victimes ne doivent pas masquer les erreurs et les retards. Le pouvoir peut-il être responsable mais pas coupable ?

Pour ma part, j’ai dressé un état des lieux des moyens du renseignement intérieur, approuvé à l’unanimité de la commission, que vous pouvez lire comme il est indiqué ci-dessous. J’ai fait des propositions, j’espère qu’elles seront vite prises en compte, le renseignement étant l’arme principale pour lutter contre le terrorisme.

Philippe Dominati,
Sénateur

Partager cette publication

Comments (68)

  • druant philippe Répondre

    J’ en oublie une petite pour la route :

    En cas de victoire (plus que probable) des vrais patriotes et natios , il n’ y aura aucun terre de repli pour les traîtres immigrationnistes , vivre ensemblistes et sans frontiéristes :
    on peut envoyer des liquidateurs opérer dans tous les pays du monde même en Israel !
    Les ventes de pantalons bicolores ( jaune à l’ avant et brun à l’ arrière) ont de l’ avenir .

    24 janvier 2016 à 13 h 32 min
    • Jacky Social Répondre

      Bonjour Druant: je vous rejoins tout a fait. Quant a Jaureich, si on le trouve, je veux bien vous le racheter (pas trop cher). Je me chargerai personnellement de lui. Je vous garantis qu’il devra reciter le Notre Pere (qu’il devra connaitre en arabe) avec ses couilles en bouche. Il demandera pardon.

      24 janvier 2016 à 13 h 43 min
      • Toni Répondre

        Bonsoir Jsocial,

        Je constate la capacité de la gauche frondeuse de se faire haïr, je le vois ici et dans ma vie de tous les jours. Je comprends votre réaction et celle de Philippe surtout que ça devient lassant cette comédie de flooding, je vais y revenir dans mon intervention.

        Autre chose, essayons de savoir si ce jaures n’est pas un juge rouge affilié au syndicat de la magistrature ou un de ses satellites.

        Mr Jaures Si jamais j’apprends que Jacky Social ou Mr Druant ont un ennui judiciaire façon nicolas sarkozy avec la justice de mme taubira, je vous assure mr jaures qu’il y un Toni qui n’est pas un enfant de coeur quand on l’emmerde de trop près … Me sentant menacé par vous jaures et aynt été menacé plusieurs fois par des gens comme vous, manoeuvez bien pour que je ne m’en sorte pas vivant si vous vous voulez reigner comme en Corée du Nord.
        De même que je vous recommande de ne pas emmerder les gens comme Watson Corsica …

        .

        24 janvier 2016 à 15 h 58 min
        • Jacky Social Répondre

          @Toni. Bonsoir. Effectivement, ce mec est un sadique qui prend plaisir a vous – a nous narguer tous en contredisant des evidences en depit du bon sens. Je souhaiterais vraiment savoir qui est ce type qui sevit sur ce site comme un parasite depuis quelque 10 annees. Certains, je ne sais plus si c’etait QC, pensaient que Jaureich etait en realite une femme (cousine d’Arlette Laguiller ? Ou meme Arlette elle-meme, enfin un brol dans le genre). Je ne veux pas savoir son nom, mais plutot son sexe, son age, son habillement, ses dents, sa taille, son tour de taille, sa coiffure (est-ce genre “philosophe” Jacouille Ranciere, une autre execrable frippouille gauchiste ?). C’est une enigme. Pour l’instant, je me le represente comme un “pere sartreux” en plus grand de taille, cad un mec grand et mince avec la gueule de Sartres et ses yeux de merlan pas frais qui se dissent merde l’un a l’autre. A moins que ce soit l’inverse (petit, gros, etc.). En Belgique dans les syndicats, on a eu des moustachus a gros ventres et des gros rougeauds vicieux, ensuite les petits peles ecerveles (genre Francois Perrin, politicard liegeois tourne-veste) et enfin les grandes pedales filiformes genre Bertrand Delanoel et Elio di Roupauvre. Il faut savoir aussi que le Jojo a des gouts de luxe et ne rechignerait pas sur un voyage a Rio ou un kilo de caviar – sur le compte des autres, bien entendu. Ou est-ce un militant a pull-over rouge en acrylique dont le col est roule, le visage plein de trous de sa varicella mal soignee, avec un pantalon gris de chez Tatti trop etroit et trop court, le cheveu gras en baguette plaque sur un crane a calvitie naissante sur le devant, des levres fines comme les gens cruels et des yeux vitreux gris-verts qui crevent la banalite. Bref, je le vois comme un melange de Michel Bouquet et de Michel Blanc (sans moustache). Une crapule mediocre et complexee. J’aimerais savoir.

          24 janvier 2016 à 17 h 07 min
    • Toni Répondre

      Bonsoir,
      En public je n’ai pour habitude d’être vindicatif comme dans mon commentaire de 15h58 … Je le deviens lorsque un energumen vient me narguer sans arrêt alors que je n’ai rien demandé à personne.
      Si on le laisse faire le jaures, on va finir par vivre comme en Corée du Nord au 21ième siècle …. Navré de décevoir mais il va y avoir de la résistance en chemin.

      24 janvier 2016 à 16 h 04 min
  • druant philippe Répondre

    “De toute façon, nous y allons au clash civil. Joresse ne veut pas le voir ”

    Qu’ il le voie (ou face semblant de ne pas le voir) ou pas importe peu !
    Je peux lui assurer que les natios (dont votre serviteur) se feront un plaisir de le mener à l’ échafaud ou au poteau d’ exécution et que beaucoup de traîtres bobos islamogauchos socialos parigots à la Jojo seront envoyés ad patres dans les mêmes circonstances , lors du chaos qui inévitablement naîtra du merdier actuel .
    Cet individu sous des dehors raisonnables au ton professoral dédaigneux est en fait un véritable ennemi de notre cause , on ne peut évidemment que le traiter durement et sans pitié .

    Après les batailles claviériques du site , viendront les vraies batailles physiques , celles que ce jocrisse (copyrigt QC) craint le plus car il se trouvera fort dépourvu lorsque la violence fera rage .

    24 janvier 2016 à 13 h 24 min
  • Jacky Social Répondre

    @Jaureich: « Il existe des religions dans Dieu ». C’est ce que voys avez ecrit egalement. Vous ne cessez de jouer sur les mots et de revenir en arriere afin de vous corriger et cela ne mrche pas. Vous jouez sur les mots et vous voudriez qu’on parle votre langage. J’ai tente d’ouvrir eventuellement un debat serieusement avec vos arguments. C’est impossible. Vous ergotez sur des broutilles pour prouver vos affirmations denuees de sens. Vous etes constamment dans le deni. Jaureich, c’est vos allies qui ont perdu la guerre en 1945 et en 1989 et donc vous-meme et vos idees. Pas moi. Je vous trouve fort arrogant pour un loser, alors que vous devriez demander, voire implorer, tout simplement pardon.

    24 janvier 2016 à 10 h 21 min
    • Jaures Répondre

      Oui, il existe des religions sans Dieu. Certaines formes de pratiques bouddhistes par exemple (la notion de Dieu dans le bouddhisme n’a d’ailleurs strictement rien à voir avec les monothéismes). Là où elle est reconnue comme religion, la scientologie est définie comme religion sans dieu.
      Etre précis n’est pas jouer sur les mots.
      Une croyance n’est pas une religion mais une certitude sans preuve. La religion n’est qu’une croyance parmi d’autres.
      Pour le reste, je crains que vous ne sombriez dans le délire et je préfère donc m’abstenir d’y répondre.

      24 janvier 2016 à 12 h 05 min
      • Jacky Social Répondre

        Mais non, Jaureich. Mais enfin bon, je vous laisse a vos prechis-prechas. Encore une fois vous etes dans le deni et jouez sur les mots. QC disait que vous n’etes qu’un sofiste. J’ajouterai que vous n’etes qu’un enculeur de pucerons. Vous n’impressionnez que vous-meme. Vous ne connaissez rien au fait religieux, ni a rien d’autre d’ailleurs. La preve? TOUT absolument TOUT ce que vous dites et recommandez, TOT vos choix sont bases sur vos propres lubies. Heureusement, vous vous faites toujours rattrappe par la realite qui vous contredit a chaque fois. C’est con hein, Jaureich?

        24 janvier 2016 à 13 h 36 min
    • Jacky Social Répondre

      @Jaureich: c’est ca, Jaureich, tu n’as plus rien a dire, alors tu patles de delire. Tu representes le cancer qui ronge la France et l’Europe depuis plus de 80 ans. Tu es un socialiste et un fasciste. Les deux sont intimement lies et le premier n’est qu’un avatar du second.

      24 janvier 2016 à 15 h 10 min
  • Jacky Social Répondre

    @Jaureich: il est impossible de dialoguer avec vous. Vous deformez systematiquement mes posts (et ceux des autres intervenants). Il est donc impossible d’avoir un debat intellectuellement ouvert et honnete. C’est peine perdue. Vous voulez debattre, mais n’ecoutez que vous. Comme vous n’avez rien a faire, vous vous acharnez mais vous n’etes pas credible. Vous n’avez aucune sensibilite et encore moins aucune acuite intellectuelle, ni aucune culture. Vous ecrivez comme une machine, cad sans aucune reflexion, analyse ou esprit. Oui, l’URSS a finance et arme l’IRA. Maintenant, je n’ai aucun compte a vous rendre. Je sais et j’ai les sources mais au dela du domaine public je ne vous donnerai rien. Et donc, vous vous frotterez le Q (a defaut de QI) dans les hautes herbes de La Hoguette dans le Calvagauche.

    23 janvier 2016 à 20 h 48 min
    • Jaures Répondre

      Bien. L’IRA était donc financée par l’URSS et vous seul en détenez la preuve. Il faut donc vous croire sur parole.

      24 janvier 2016 à 12 h 07 min
      • Jacky Social Répondre

        @Jaureich: en partie par l’URSS, oui. Voulez-vous les numeros de compte et les extraits bancaires aussi? Sur Internet, les sources qui attestent de cofinancements sovietiques sont nombreuses, y compris en russe. A ma grande surprise. On vous en a montre quelques-unes et vous niez et trouvez a redire. Je ne divulgerai pas mes sources. Je ne veux pas d’ennuis. Alors croyez-le ou pas, apres tout, c’est votre affaire.

        24 janvier 2016 à 15 h 20 min
  • BRENUS Répondre

    Allons, acceptez le fait que la gauche de jojo n’est pas insensible aux tueries muzz de nos compatriotes. Regardez avec quel allant elle se presse pour aller verser des larmes de crocodiles dès qu’il se passe quelque chose… de connu par tous – il faut bien donner le change-. Ceux qui se font agresser dans leur coin, elle s’en fout et ira même les accuser de l’avoir cherché. Et surtout ne parlez pas des agressions car la stasi veille, comme veille ici jojo le coucou (coco-coucou, c’est drôle ça)

    21 janvier 2016 à 19 h 56 min
  • Kalachnikof Répondre

    Le grand clash c’est pour demain !

    19 janvier 2016 à 19 h 21 min
  • Kikounache Répondre

    Je pense, et surtout j’espère (!) que nos dirigeants ont enfin (!) compris la funeste stratégie employée par l’ennemi… Les descentes de police musclées effectuées ces jours-ci un peu partout en France semblent le démontrer… La faiblesse des effectifs de police est ainsi compensée par des actions-choc ponctuelles visant à déstabiliser cet ennemi interne que personne n’ose nommer… Puissent ces actions démanteler ce “ver qui ronge notre fruit” avant que cet ennemi non-nommé n’utilise d’autres stratégies… C’est une course qu’il nous faut impérativement gagner.

    19 janvier 2016 à 10 h 03 min
  • Claude roland Répondre

    De toute façon, nous y allons au clash civil. Joresse ne veut pas le voir parce que, comme beaucoup de Français, il ne veut considérer que midi à sa porte. Il n’habite sûrement pas Calais.
    Maintenant, si des gens veulent se défendre de façon armée et qu’ils tuent de la racaille, ce sont eux que les gendarmes viendront désarmer et embarquer. C’est bien plus facile que de neutraliser la racaille. Je côtoie de nombreuses personnes des forces de l’ordre (gendarmes, policiers, CRS, douaniers, militaires) et je connais leurs aveux. Ils savent que si des attentats se déclenchent dans plusieurs villes en France de façon synchronisée, ils ne pourront pas suffire. Notre armée squelettique n’est pas entraînée au maintien de l’ordre, et elle est essoufflée financièrement, et parsemée de nombreux éléments “non fiables”. Et si ça tourne mode Kosovo, les citoyens devront se débrouiller d’autant que la racaille est bien armée et s’entraîne actuellement avec les cadres revenus de la Syrie. Souhaitons que nous vivrons pas ce cauchemar.

    19 janvier 2016 à 9 h 19 min
    • WatsonCorsica Répondre

      En Corse, nous sommes prêts et armés !
      Donc….
      Il ne se passera rien !
      D’où le sens du proverbe arabe : ” embrasse la main que tu ne peux pas couper…”

      19 janvier 2016 à 10 h 29 min
      • Jaures Répondre

        En Corse, vous vous entretuez ! La Corse est la Région avec le plus haut taux d’homicides de France et même d’Europe !
        Pas besoin de terroristes en Corse, vous vous chargez de la besogne en assassinant chefs d’entreprises, politiques et hauts fonctionnaires.

        20 janvier 2016 à 13 h 35 min
        • WatsonCorsica Répondre

          C’est pour cette raison que les Arabes ont peur des Corses… et c’est tant mieux !
          Je vous ferais juste savoir que les 10 ou 20 morts d’assassinats en Corse en 2015 sont davantage acceptés par la population insulaire que les 150 morts français assassinés par des Arabes sur le sol français.
          Si vous comparez comme vous le faites si bien en pourcentage statistique les 150 morts de Charlie et du Bataclan sur le reste de la population française, c’est sûr, ce n’est rien par rapport à la Corse – mais un conseil – devenir à ce point nihiliste, allez consulter au plus vite !

          20 janvier 2016 à 18 h 44 min
          • Jaures

            Pourquoi les Arabes auraient-ils peur des Corses puisqu’ils se tuent entre eux ?
            Et ce que j’écris est une réalité qui remonte bien avant les attentats ! La Corse est la région où se commet le plus d’homicides en Europe.
            A part cela, c’est très joli, la Corse.

            20 janvier 2016 à 22 h 36 min
          • Jacky Social

            Il y a quatre races Jaureich, les Blancs, les Jaunes, les Noirs et les musulmans. En tout cas, c’est ce que les charlatans du darwino-evolutionnisme essaient de nous faire croire.

            21 janvier 2016 à 11 h 55 min
          • Claude roland

            “Pourquoi les Arabes auraient-ils peur des Corses puisqu’ils se tuent entre eux ?” : Vraiment, là Joresse pousse le crétinisme à un niveau jamais atteint ! C’est même édulcorée d’une bonne dose de mauvaise foi.
            Les Corses en ont, et ils savent se faire respecter, c’est tout. Pas comme les moutons français…

            21 janvier 2016 à 14 h 52 min
  • WatsonCorsica Répondre

    L’expression ” attaque terroriste” me semble inappropriée. j’emploierais plutôt le terme ” attentat musulman” sinon “attentat arabe “.
    La première règle dans une situation de guerre consiste à définir l’ennemi….
    oui mais….
    L’angéliste de service – à côté de la plaque – parlera encore et encore de stigmatisamalgam etc et nous fera remarquer que tous les Musulmans ou tous les Arabes ne sont pas des terroristes….
    Oui mais…
    tous les terroristes sont des Musulmans
    tous les terroristes sont des Arabes !
    C’est en final ce que l’histoire de France retiendra dans 50 ou 100 ans…
    allez Mohammed Jaurès, parlez-nous de la nuit de la Saint Barhtélémy. Au fait c’était en quelle année ?

    18 janvier 2016 à 21 h 34 min
    • Kalachnikof Répondre

      Corsica@ en Alsace nous sommes prêts aussi !

      19 janvier 2016 à 22 h 25 min
    • Jaures Répondre

      On peut être arabe et chrétien ou juif. Arabe n’est ni une ethnie, ni une religion: c’est une langue.
      Et pas la peine de remonter à la St Barthélémy !
      Le dernier grand génocide du XXème siècle a eu lieu au Rwanda, pays chrétien. C’est en Irlande qu’on a compté le plus de morts par attentats en Europe entre 1970 et 2000 (+ de 3000 en 30 ans).
      Le terrorisme, comme la guerre, est une question de contexte, pas d’origine ethnique.
      Si l’occident n’a pas connu de désastre nucléaire, c’est une question de chance, pas de religion.

      20 janvier 2016 à 13 h 44 min
      • WatsonCorsica Répondre

        Encore du n’importe quoi Mohammed Jaurès !
        Et qui donc Charles Martel a-t-il arrêté en 732 à Poitiers ?
        Des étudiants en linguistique ?
        Peu importe de savoir ce que regroupe aujourd’hui le mot arabe. Juste savoir quel est le point commun de tous ceux qui ont commis des attentats en France depuis quelques années ?
        Arrêtez de faire l’idiot !

        20 janvier 2016 à 18 h 34 min
        • Jaures Répondre

          732 ?
          Quand je pense que vous ne vouliez pas que je remonte jusqu’à la St Barthélémy !

          20 janvier 2016 à 22 h 32 min
          • WatsonCorsica

            Vous n’avez pas encore compris que depuis l’an 732 rien n’a changé chez les Arabes !!!
            …. alors que les Chrétiens n’ont pas cessé d’évoluer… même en Irlande !

            21 janvier 2016 à 10 h 16 min
          • Jaures

            Evoluer ? Je ne sais pas.Je dirai plutôt décliner.
            Au début du siècle dernier, dans le vehementer nos, Pie X exprimait tout le mal qu’il pensait de la laïcité.
            Quelques décennies plus tard, les chrétiens affirment qu’ils ont inventé ce concept.
            Comme je l’ai écrit ailleurs, je ne doute pas qu’un jour, les musulmans affirmeront sourates à l’appui que la laïcité est dans le coran noir sur blanc.
            Mais, comme pour les autres, ils leur aura fallu pas mal de millions de morts avant.

            21 janvier 2016 à 11 h 21 min
          • Rosenberg

            en 2732 Charles Jaurès arrêtera les H’Arabbs à Moitié !

            21 janvier 2016 à 18 h 51 min
        • Jacky Social Répondre

          Jaureich ne comprend rien a l’Histoire. Pie X pensait du mal de la laicite a la francaise, qui n’est que du pus atheiste, nihiliste et relativiste. Il avait bien raison. Maintenant, la laicite au sens de neutralite confessionnelle dans un esprit de tolerance trouve effectivement son origine dans les precepts chretiens. UIl n’y a en cela rien de contraire, sauf pour Jaureich qui n’ecoute que lui-meme. Ah oui, Jaureich, la France est un pays de race blanche et de valeurs judeo-chretiennes. Quant au multiculturalisme, on n’a rien demande. Sur quelles bases nous oblige-t-on a vivre et frequenter des allochtones?

          21 janvier 2016 à 12 h 02 min
          • Jaures

            Pie X ne condamnait pas l”la laïcité à la française” mais la laïcité tout court, la séparation des églises et de l’Etat.
            Voici quelques extraits édifiants:
            “Qu’il faille séparer l’Etat de l’Eglise, c’est une thèse absolument fausse, une très pernicieuse erreur. Basée, en effet, sur ce principe que l’Etat ne doit reconnaître aucun culte religieux, elle est tout d’abord très gravement injurieuse pour Dieu…Nous lui devons donc, non seulement un culte privé, mais un culte public et social, pour l’honorer…
            Il en résulte que cette Eglise est par essence une société inégale, c’est-à-dire une société comprenant deux catégories de personnes: les pasteurs et le troupeau,..
            Quant à la multitude, elle n’a pas d’autre devoir que celui de se laisser conduire et, troupeau docile, de suivre ses pasteurs.” Etc,…
            On voit que Pie X prône une société gouvernée sous la férule de l’Eglise. Il ne parle à aucun moment de “neutralité confessionnelle”.
            La France est ce qu’elle décide d’être démocratiquement.
            En démocratie tout se discute, y compris le passé et les traditions. Je vous rappelle que durant la colonisation, l’Algérie était département français, donc partie intégrante de la France comme la Bretagne ou l’Alsace.
            C’est parce qu’il avait décidé d’abandonner l’Algérie que De Gaulle en bon opportuniste a soudain proclamé que la France était un pays chrétien et de race blanche.

            21 janvier 2016 à 14 h 44 min
          • Jacky Social

            @Jaureich: il est evident encore une fois que votre mauvaise foi vous empeche de comprendre. C’est exactement ce que l’on vous dit: Pie X condamne la separation de l’eglise et de l’etat a la francaise, une France qui, deja a l’epoque, a abandone les valeurs judeo-chretiennes avec le desastre que l’on sait, sauf vous qui en vivez grassement, bien evidemment. Car c’est la France qui est visee et non les Etats Unis ou la laicite fait partie integrante de la societe. Les cultes ne sont pas remuneres par l’etat et la separation Eglise-Etat est bien plus reelle cad la neutralite est y bien plus respectee qu’en France car en France cette neutralite n’est qu’une fiction, un piege a cons. Vous y croyez, moi pas du tout. Je hais la democrassie. Je suis republicain facon US, cad que je veux une gouvernance limitee aux domaines strictement regaliens, dans les domaines ou votre etat a vous tel que vous le concevez ne remplit meme pas son role mais pretend s’occuper de tout et donner des lecons de morale. Il est temps d’en finir. La social-democrassie fasciste doit disparaitre. Elle disparaitra pour cause de faillite morale et financiere. J’espere qu’Hollande lui donnera le coup de grace dans un second mandate afin de la faire vallser dans le couloirs de l’enfer don’t elle n’auait jaais du sortir.

            21 janvier 2016 à 16 h 17 min
          • Jaures

            Jacky, pourquoi faites-vous dire à Pie X ce qu’il ne dit pas ?
            Son discours est clair :” Nous Lui devons donc, non seulement un culte privé, mais un culte public et social, pour l’honorer;” Est-ce une parole laïque ?
            “Quant à la multitude, elle n’a pas d’autre devoir que celui de se laisser conduire et, troupeau docile, de suivre ses pasteurs.” Est-ce une parole laïque ?
            A moins que Pie X n’ait pensé qu’il ne faut livrer à Dieu un “culte public et social” uniquement en France ou que seul le peuple français doit “se laisser conduire en troupeau docile par Ses pasteurs”.

            21 janvier 2016 à 17 h 48 min
          • Jacky Social

            @Jaureich: celui qui interprete, c’est vous. J connais mieux l’Eglise catholique que vous. Alors la ferme.

            21 janvier 2016 à 19 h 46 min
          • Jaures

            “J connais mieux l’Eglise catholique que vous”.
            Argument définitif, je l’admets. Je m’incline devant le grand spécialiste exégète de Pie X.

            21 janvier 2016 à 22 h 08 min
          • Jacky Social

            @Jaureich: Pie X represente l’Eglise catholique en tant que Pape de 1903 a 1914. C’est donc un mec du 19eme siècle. Vous vous riez des autres bloggers en parlant de la St Barthelemy, mais vous faites autant dans l’anachronisme qu’eux. En tant que marxiste, c’est un peu normal que vous soyez dans l’anachronisme. Quant a l’Eglise, les attitudes changent, mais la Foi elle reste et grandit dans le monde, d’ou les persecutions actuelles. L’idolatrie musulmane ne vous derange pas, Jaureich car elle est vide et totalitaire, un peu comme votre ideologie, le marxisme. Le Christianisme est l’antithese de votre ideologie. C’est pour cela qu’il vous gene tellement, voire jusqu’a l’obsession morbide. Vous nous parlez des Croisades, mais qui a commence? Le Sac de Rome? La dechristianisation des Lieux Saints de la Chretiente en Orient? Vous nous parlez de l’Inquisition, alors que celle-ci n’aurait jamais pu exister sans les encouragements et le soutien explicites de l’etat mele-tout. Vous nous parlez de Pie X comme si c’etait Dieu sur terre, alors que celui-ci n’etait que le Vicaire du Christ dans une eglise catholique du 19 eme siècle qui reflete ce qu’etait le monde occidental a cette époque. L’Eglise a deux mille ans et a traverse bien des epreuves, mais elle est toujours la, malheureusement diriee par un bouffon suppot de la gauche sud-americaine. Mais a propos, ou en sommes-nous avec vos projets du Surhomme? Ou est donc l’URSS? La Chine de Mao? Faut-il citer des sources? En moins de 80 ans,votre laicite joyeuse et democratique a fait plus de 100 millions de morts sans les collateraux) et vous venez donner des lecons d’Histoire. Mais pour qui vous prenez-vous, vous le rate, le petit syndicaliste sterile qui tournez a vide?

            22 janvier 2016 à 14 h 00 min
          • Jaures

            Cher Jacky, vous répondez à des propos imaginaires.
            Ce que vous dîtes est juste: Pie X était un pape d’une autre époque. C’est exactement ce que j’écris: autrefois l’Eglise luttait contre la laïcité, aujourd’hui elle dit l’avoir inventé.
            Et, comme vous, je pense que la foi, la spiritualité, n’ont rien à voir avec la religion. Le problème est qu’une religion se définit par ses dogmes et ses sacrements et quand une majorité écrasante ne les respecte plus j’en déduis que cette religion est en déclin.
            Le christianisme a été durant des siècles idéologie dominante et de ce fait a opprimé les peuples comme le font toutes idéologies dominantes: appropriation du pouvoir et des richesses par une infime minorité, écrasement des oppositions (hérétiques), guerres sanglantes d’expansions,…
            Les dictatures communistes n’ont pas agi différemment mais elles n’ont rien à voir avec la laïcité qui veille à ce que chacun puisse exprimer ses opinions et exercer son culte.
            Je n’ai strictement rien contre la religion catholique. Je suis ravi qu’une part de mes impôts serve à restaurer l’église de ma ville où j’assiste régulièrement à des concerts qui y sont donnés. Je ne suis pas croyant mais n’admettrais pas que l’on prive les catholiques du droit d’exercer leur culte. Mais je pense de même des autres religions.

            22 janvier 2016 à 17 h 09 min
          • Jacky Social

            @Jaureich: tout depend de ce qu’on entend par laicite, Pie X avait au moins en partie raison, en ce qui concerne la laicite francaise, une neutralite car Christianophobe et a geometrie car tres douteusement islamophile. Les dictatures communistes sont athees, donc laics a la francaise. Elles interdisaient les signes religieux et la religion, a la francaise. Ou alors c’est la France qui est un systeme communiste. Cela fait en tout cas reflechir.

            22 janvier 2016 à 17 h 37 min
          • Jaures

            Non, Jacky, l’athéisme n’est pas la laïcité. L’athéisme est une croyance comme une autre (celle en l’absence de Dieu). Il existe aussi des religions sans Dieu.
            La laïcité est une organisation de la société qui permet à chacun de croire en ce qu’il veut dans le cadre des lois. L’Etat et les religions sont séparés, le premier étant le garant de la liberté de culte.
            Ce que vous dîtes ensuite est arbitraire. Pour vous on est christianophobe quand on n’est pas chrétien et islamophile quand on admet la liberté pour un musulman d’exercer son culte.
            C’est qu’au fond, vous proclamez la prédominance du christianisme sur les autres religions et en ce sens vous n’êtes pas laïc. En société laïque, pour amener les gens dans les églises, il faut les convaincre, pas les y contraindre. C’est plus compliqué mais il faut vous y faire.

            22 janvier 2016 à 17 h 55 min
          • Jacky Social

            @Jaureich: “Il existe des religions dans Dieu”. Le mot “religion” signifie “relation”, religion significant “relation avec etre supreme”. En quoi l’atheisme est-il une religion? Ensuite, la laicite signifie “neutralite religieuse” et non atheisme militant, sauf en France, comme vous venez de le reconnaitre dans votre poste en donnant des milliers de metres cubes a mon moulin. Relisez-vous seulement les posts que vous ecrivez? Vous me faites beaucoup de peine Tout-Chti-Jojo-la-Trollure.

            23 janvier 2016 à 20 h 53 min
          • Jaures

            Cher Jacky, vous pouvez utiliser mon langage à condition de le maitriser.
            Je n’ai pas écrit que l’athéisme est une religion mais une croyance. Une croyance n’est pas forcément une religion.
            En second lieu, vous écrivez que la laïcité française serait athée alors qu’ailleurs vous dîtes qu’elle serait “islamophile”. Il faudrait savoir.
            Enfin, citez moi un seul post où j’admettrais que la laïcité française serait un “athéisme militant”. Quand je définis la laïcité dans mon post du 22/01 à 17h55, j’écris exactement l’inverse, d’autant plus à l’aise que je ne suis pas moi même athée.
            Quel Etat athée accepterait sur son sol 45 000 églises, 2500 mosquées, 500 synagogues, 300 temples bouddhistes,…

            24 janvier 2016 à 10 h 02 min
      • Jacky Social Répondre

        Le genocide rwandeen etait d’ordre racial. Quant a l’Irlande, l’IRA etait finance par l’URSS voulant destabilise le RU. Pfff. Jaureich, vous ne nous convainquerez pas. Il vous faudra trouver autre chose.

        21 janvier 2016 à 12 h 09 min
        • Jaures Répondre

          Le génocide rwandais avait de multiples causes. Le fait est que la confession chrétienne ne protège aucune population des pires horreurs.
          Quand au financement de l’IRA, son origine était parfaitement connue et même publiée par les autorités britanniques:schématiquement 25% racket, 25% fraude fiscale, 25% activités commerciales clandestines (bars, paris,…) et 25% activités légales.(Sources : The Northern Ireland Office, Police).
          Et rassurez-vous, je ne cherche absolument pas à vous convaincre juste à corriger vos inepties.

          21 janvier 2016 à 14 h 55 min
          • Jacky Social

            @Jaureich: d’obedience communiste, l’IRA etait financee et entrainee en grande partie par l’URSS et ses ramifications en Europe de l’Ouest qui faisait encore partie du monde libre a l’epoque. Une chose est certaine: vos posts refletent bel et bien le succes de la propagande sovietique. Avec vous, elle fait mouche a tous les coups. Voila d’ou vous viennent toutes vos approximations et detournements / travestissements des realites. Vos sources ne sont guere fiables. La police d’Irlande du Nord. Et quoi encore? Elle savait beaucoup de choses mais ne faisait pas son travail, dirait-on. Arretez, car c’est peu credible. Il y avait des caisses noires venant de l’ex-URSS. Le reste, ce que vous indiquez, faisait partie de l’activite terroriste de destabilisation. Negligeable a cote de ce que l’IRA coutait a URSS.

            21 janvier 2016 à 15 h 59 min
          • Jacky Social

            @Jaureich: “Le fait est que la confession chrétienne ne protège aucune population des pires horreurs”. Ah bon, parce que la confession chretienne devrait proteger des pires horreurs. Depuis quand? Mgr di Falco vient de publier en collaboration avec d’autres ecclesiatiques et specialistes du sujet un livre remarquable a ce sujet: “Le livre noir de la condition des chrétiens dans le monde”. Donc votre “argument” est nul et non avenu.

            21 janvier 2016 à 16 h 03 min
          • Jaures

            D’accord, Jacky, la police britannique qui était en première ligne et souvent victime cachait les caisses noires venues d’URSS, sans doute avec la complicité de la communiste M.Thatcher, et faussait les résultats des enquêtes créant de toutes pièces un racket et des activités occultes qui n’existaient pas, tout cela au profit de la propagande soviétique.
            Diable, Jacky, pour avancer de telles allégations vous devez disposer de sources en béton. Vous devriez en tirer un livre.

            21 janvier 2016 à 16 h 22 min
          • Jacky Social

            Je n’ai pas ecrit que le RUC cachait de l’argent sovietique, imbecile. Lis ce qu’on t’ecrit, trou de cul. Enfin, si c’est comme ca que tu argumente, ma poule, faudra apprendre a lire. Mon Dieu, mais quelle andouille. Tu piges rien a rien.

            21 janvier 2016 à 19 h 54 min
          • Jaures

            Désolé si je vous ai mal compris mais quand je vous donne les éléments d’une enquête des services de police nord-irlandais, vous dîtes qu’ils sont faux. J’en déduis que vous pensez que ces services faussaient intentionnellement les données et cachaient le fait (dont j’attends que vous produisiez la source) que c’est l’URSS qui finançait et entrainait l’IRA.
            Question: dans quel but ? Pourquoi les policiers les premiers visés par les attentats se rendent-ils complices de leurs assassins ? Les plus hautes autorités étaient-ils au courant de cette machination ?
            Encore une fois, j’attends vos sources. Ne me faites pas languir.

            21 janvier 2016 à 22 h 14 min
          • Jacky Social

            @Jaureich: je n’ai jamais suggere que le RUC etait complice de l’IRA. Je n’ai d’ailleurs pas parler du RUC (Royal Ulster Constabulary). VOUS l’avez fait. L’IRA communiste etait en grande partie financee et formee par l’URSS dans un but de destabiliser le RU. C’etait durant la Guerre Froide. Depuis la chute cuisante de l’URSS (normal lorsque l’on culitive la “lose”), des accords ont ete pris entre les parties irlandaises et britanniques pour arriver a une solution pacifique bien que fragile, mais de toutes facons le “coeur” et les moyens juteux n’y sont plus. Ce que vous dites sur les sources de financement de l’IRA est exact, mais ne represente pas la taille reelle de ce financement. Il y avait des sources bien plus occultes, comme l’URSS a la fois en direct et par ses relais en Occident. Est-ce plus clair, mon pe’tit? Notamment, les medias russes en ont parle ouvertement dans les annees 1990. Maintenant, croyez vos stats et mangez-les, comme ca, vous nous les chierez d’autant mieux. Mais ells ne refletent que le sommet de l’Iceberg.

            22 janvier 2016 à 13 h 21 min
          • Jacky Social

            Apres une simple recherche sur le Net, j’ai trouve de nombreuses sources sur le sujet. Voici ce que dit par exemple Wikipaedia: “A number of notable operations have been conducted by the KGB to support international terrorists with weapons on the orders from the Soviet Communist Party, including: Transfer of machine-guns, automatic rifles, Walther pistols, and cartridges to the Official Irish Republican Army by the Soviet intelligence vessel Reduktor (operation SPLASH) in 1972 to fulfill a personal request of arms from Michael O’Riordan.[18]”. Wiki cite ses sources, mais la collusion entre l’URSS et l’IRA est multiple. Plein d’autres sources en attestent. De toutes facons, les Russes en ont parle eux-memes. Cela n’a rien d’un secret, sauf pour vous Jaureich qui decouvrez toujours le dernier une realite qui vous echappe.

            22 janvier 2016 à 13 h 33 min
          • Jaures

            Non, cher Jacky, vous ne dîtes pas plus haut que l’URSS aurait fourni quelques armes et cartouches comme cet article que vous citez (qu’aurait-on dit si j’avais cité wikipedia !), mais que l’IRA était financé et entrainé par l’URSS. Ce n’est pas la même chose et c’est là dessus que j’attends des preuves.
            Que l’URSS n’ait pas vu d’un mauvais oeil un conflit interne à l’occident est une évidence, qu’elle en soit l’instigatrice est dénué de fondements. Sauf si vous nous en apportez ici la preuve.
            Le rapport de la police nord-irlandaise ne nie pas des apports extérieurs (notamment de la diaspora) mais l’évalue à 2% des ressources de l’IRA (source citée).

            22 janvier 2016 à 13 h 55 min
          • Jacky Social

            @Jaureich: j’ai cite UNE source. La premiere trouvee en realite (wiki). Mais il y en a plein d’autres. Ceci vient de The Independent (centre-goooche) qui parle meme de votre parti dans l’article (pourquoi faut-il toujours demontrer l’evidence, Jaureich? Les liens entre l’URSS et l’IRA sont tres anciens et remontent meme a 1922):

            KGB approved 1m pounds aid request by party with IRA link: Peter Pringle in Moscow finds evidence in formerly secret archives of how close the Soviet Union came to funding Dublin politicians
            PETER PRINGLE |
            Monday 26 October 1992|

            IN AUTUMN 1986, the Workers’ Party of Ireland, the Marxist-leaning successor to the political wing of the Official IRA, was being battered like other socialist parties by the strong winds of conservatism blowing through Western nations. Crippled by debt and unable to make headway in Irish politics, where the conservatives were gaining ground, the party turned to Moscow for help.
            On a trip to the Soviet capital, Sean Garland, a 1950s IRA campaigner who became the Workers’ Party general secretary, and Proinsias De Rossa, then head of its political committee and now a successful member of the Dail, set out the plight of the party in a seven-page letter to the Soviet Communist Party’s Central Committee.

            With extraordinary candour they explained that old ways of making up the shortfall between party income and expenditure were becoming more difficult, referring to unspecified ‘special activities of which it is not possible to detail here because of reasons we are sure you will understand’. They told the committee: ‘The continued growth of the party in the public domain makes ‘special activities’ more hazardous for the party which has more than enough enemies in the establishment ready to pounce on mistakes or difficulties.’

            They asked for Ir pounds 1m to help them carry out their five-year plan of expansion and to wage a ‘successful struggle’ against the ‘new realignment in Irish politics (in which) the British and Irish governments along with Washington are seeking a more moderate and willing leadership’.

            Even though they were a small party, to ask for Ir pounds 1m over five years was not as cheeky as it might seem. Throughout the 1980s, the Central Committee distributed large sums to Communist parties abroad. In 1981, the first year of Ronald Reagan’s eight-year term in the White House, for example, it sent more than pounds 18m ( pounds 9.4m) to foreign Communist parties and socialist groups – dollars 2m each to the US and French parties, dollars 700,000 to the Chilean party, dollars 300,000 to the Peruvian, dollars 120,000 to Sri Lanka, dollars 50,000 to Martinique, dollars 10,000 to Lesotho, and so on.

            Although the Central Committee had been supporting the Workers’ Party in various ways since 1983, it was faced with several problems over Mr Garland’s appeal and it took time to resolve them. Few things were ever done in a hurry in the grand offices in Staraya Ploschad, the committee’s headquarters. And, if they required consultations with the KGB, in the Lubyanka up the road, appeals such as this one were likely to be delayed for months, even years.

            The committee’s first action was a political assessment of the Workers’ Party by its international department. A report was completed by mid-February 1987 by the department’s deputy chief, V Zagladin. He described the party as the ‘most influential and promising left force’ in Ireland, but warned that it was ‘the successor to the nationalist movement Sinn Fein’ and ‘that is why it is the focus of attention not only of Ireland and Great Britain, but also of the USA’. Such official surveillance would make it ‘impossible to conceal the fact of our considerable direct financial support’, he wrote.

            He concluded: ‘Taking all the above- mentioned into account we consider it best to abstain from giving the Workers’ Party direct financial support, but it would be desirable to invite a Workers’ Party delegation to Moscow to discuss a possibility of rendering assistance in other forms without payments in currency.’ These included the usual comradely help of books, paper and printing works. All this aid was subject to preserving ‘fraternal relations’ with the Communist Party of Ireland, of course. An insignificant political force, the Irish CP had been receiving relatively small sums from Moscow – dollars 50,000 is mentioned in the documents in 1981.

            No progress appears to have been made on Mr Garland’s appeal until the end of 1988. That December, the then head of the KGB, Vladimir Kryuchkov (now in jail for his part in the August 1991 coup attempt), apparently received his own appeal from Mr Garland. He recommended co-operation. ‘We think it is possible to examine the petition of the Workers’ Party leadership and to give a positive answer,’ he said in a memorandum, marked ‘Very Important’, to the Central Committee on 21 December 1988.

            He was referring to the training of ‘five reliable and trustworthy party members’ to ‘strengthen the security’ in the Workers’ Party. He makes no mention of the Ir pounds 1m, but must have known what Mr Garland wanted because he had regular reports from the KGB’s Dublin station chief. According to archive documents, Dublin’s KGB man, who is not named, had struck up a doverytelni – trustworthy contact – for many years with Mr Garland.

            Mr Kryuchkov’s recommendation brought an usually swift response from the Central Committee – this time from a K Brutenets. In a Top Secret memorandum, dated 6 January 1989, he wrote that Mr Garland’s appeal had been carefully examined with the help of KGB specialists but to fulfil it meant to run a ‘serious risk’. His memo concluded: ‘Any leakage of information about our participation in staff preparation of this kind for the Workers’ Party – and it is difficult, if not practically impossible to conceal these actions – would lead to serious complications in Soviet-British relations.’

            But he advised that ‘fraternal relations’ with Mr Garland should continue. He noted that Alexander Yakovlev, one of those behind perestroika and a close aide to Mr Gorbachev – and thus effectively the voice of the Soviet leader on the question of the Garland appeal – had agreed with the final recommendation. So, in the end, had the KGB.

            Since the 1986 Garland-De Rossa appeal, Mr De Rossa and five of the Workers’ Party MPs in the Dail have split with Mr Garland, primarily because they thought he was adhering too rigidly to Marxist ideology. They have formed a new party called Democratic Left, and the Workers’ Party now has only one member of the Dail. Mr De Rossa is now regarded as the ‘liberal’ leader of the new offshoot party. He has taken a consistently anti-IRA position, organising ‘peace trains’ between Dublin and Belfast to protest at the bombing of the trains by the IRA.

            Une autre source dit ceci (Irish Independent 31 May 2015):
            Official IRA members travelled to the Soviet Union and North Korea for training and were also supplied with funds and material from the KGB’s secret assassination directorates. Sources told the Sunday Independent that Soviet-manufactured poisons were supplied to the Officials and used in a number of cases to assassinate people accused of being ‘enemies of the Movement’

            22 janvier 2016 à 15 h 17 min
          • Jaures

            Jacky, lisez-vous seulement les textes que vous publiez ?

            Dans le premier, le plus long, il est explicitement dit que la demande est effectuée par un parti marxiste membre de l’IRA en 1987. Cela montre déjà qu’aucun financement soviétique n’existait avant cette date. Ensuite, le texte indique que cette demande a été rejetée une première fois pour une raison évidente que ce financement ne pourrait échapper aux autorités britanniques et américaines. Ce sont ces mêmes raisons qui sont invoquées pour refuser une deuxième fois cette demande 2 ans plus tard.
            Votre texte montre donc:
            1) Qu’il n’y avait pas de financement soviétique de l’IRA (et encore moins de camps d’entrainement) avant 1987.
            2) Que cette demande a été rejetée par deux fois. Ensuite, l’URSS s’est effondrée.

            Votre deuxième texte est pour le moins lapidaire et contredit donc le premier.
            Quels “officiels” ? Combien ? Quand ? A combien se montent les “fonds” octroyés ?
            Et les attentats de l’IRA ont continué bien après la chute de l’URSS: l’attentat d’Omagh, l’un des plus meurtriers (30 morts – 200 blessés) a eu lieu en 1998

            Mais pourquoi diantre ne prenez-vous pas en compte l’enquête réalisée par la police en première ligne contre l’IRA, celle d’Irlande du Nord qui a payé cette guerre civile au prix du sang ?
            Pourquoi préférez-vous des textes sibyllins publiés des années après ? Pourquoi votre opinion précède-t-elle votre réflexion ?

            22 janvier 2016 à 16 h 43 min
          • Jacky Social

            @Jaureich: les sources sont nombreuses. J’en ai trouve en russe aussi. Plus tout ce que l’on retrouvera pas dans les archives, car dans ce monde, tout n’est pas ecrit. Pour les numeros de compte, je vous conseille de prendre contact avec les archives du FSB a Moscou. Ou alors avec Robert Hue directement au PCF (si cet homme a tete de nain de jardin n’a pas encre rejoint Lenine dans les poubelles de l’enfer qui n’en a probablement pas voulu faute de place du a l’ego de ces pitres pathetiques).

            The secret IRA–Soviet agreement, 1925
            Published in 20th-century / Contemporary History, Features, Issue 3 (May/Jun 2009), Volume 17

            Moss Twomey, IRA chief-of-staff, 1926–36—‘these people [the Soviets] are so shifty . . . they are out to exploit us . . . Except for our urgent need of cash, I would not be so keen on this [agreement]’. (Maurice Twomey Jr)
            Moss Twomey, IRA chief-of-staff, 1926–36—‘these people [the Soviets] are so shifty . . . they are out to exploit us . . . Except for our urgent need of cash, I would not be so keen on this [agreement]’. (Maurice Twomey Jr)
            In the summer of 1925, just two years after the IRA’s defeat in the Civil War, the organisation sent a delegation to Moscow to solicit finance and weaponry from the Soviet Union. According to Tim Pat Coogan, the Russians asked their guests, ‘How many bishops did you hang?’, and when the answer was none, they replied, ‘Ah, you people are not serious at all’.
            The group was led by the well-known Cork gunman P.A. Murray, who met privately with Joseph Stalin. Though Stalin expressed reservations about the IRA’s determination and competence, soon afterwards both parties made a secret agreement: the IRA would spy for the Soviets in Britain and America, as well as support their strategic goals, and in return receive a monthly payment of £500.
            Soon after approving the pact, Frank Aiken (a loyal lieutenant to Eamon de Valera) was ousted as chief-of-staff and replaced by Andy Cooney, who in turn handed over command to Moss Twomey. For the next few years Twomey, in collaboration with his close associate Cooney, oversaw the IRA’s relationship with the Soviet Union. This remained one of the organisation’s most closely guarded secrets, and reference to it was rarely made in writing, except in secret code, and even then often in a very cryptic manner.
            The IRA was in contact with Red Army intelligence officers in London and New York, and it was in the former that the monthly stipend was handed over. The IRA’s senior officer in London passed along military intelligence, including specifications of British submarine detection sonar and aeroplane engines for bombers, military journals and manuals, and gas masks. In addition he arranged false passports for Soviet agents and even for a communist operative to travel to Romania in the guise of an Irish woollens salesman! It was in New York, however, that the Soviets got the most valuable information, from an IRA agent code-named ‘Mr Jones’. Jones’s sources likely included serving members of the US military, as he was able to provide reports of the army’s chemical weapons service, state-of-the-art gas masks, machine-gun and aeroplane engine specifications, and reports from the navy, air service and army. In Jones’s estimation, Soviet intelligence in the US would have been ‘helpless’ without the information he supplied.
            At this time the Russians feared a British-supported invasion of the Soviet Union and they asked Jones to plan for the sinking of British merchant ships sailing from New York to England in the event of war. Jones reported to Moss Twomey in Dublin that ‘under the excitement of war conditions we could get almost all our men to do anything, but could not give any guarantee that we could avoid casualties in killed and captures [sic]’. In Twomey’s opinion, ‘destruction may be feasible, if it could be done secretly and without capture of our agents’.
            Jones threw himself selflessly into his work:

            ‘My job is getting very hard . . . wine and women. I am onto the right people now and can produce material of a high order, but I have to bring good whiskey along and stay up all night drinking with whores and the people who give me the stuff . . . I may not last long at this pace.’

            One of the more bizarre consequences of the agreement was the IRA’s attempts to support Soviet interests in China. The Russians were heavily committed to Chiang Kai-shek, who was allied with the Chinese communists and engaged in a struggle with the warlords, who in turn were supported by Japan and Britain. The IRA army council resolved that ‘the principle of [IRA] volunteers going to China was approved, provided conditions of service [and] cost of travel were satisfactory’. Meanwhile, the Scottish IRA battalion claimed that it had sent 200 bombs to China, and Twomey ordered the IRA unit in Liverpool to destroy arms ships sailing from there with munitions for the warlords.
            Though the Soviets had little intention of supplying weaponry to the IRA, individual Red Army intelligence officers continued to hint that they could be provided. Jones reported that his contact promised ‘to give us all the material we needed’. Additionally, the Russian officer passed along to Jones information on mustard gas.
            Both the Russians and the IRA had different reasons for consummating the relationship. Moss Twomey saw the agreement as a way of getting money and possibly weapons. Although there were a number of influential Marxists among the IRA leadership (most notably Peadar O’Donnell), Twomey’s interest was utilitarian rather than ideological. The Russians for their part wanted information on British and American weapons technology and hoped that the IRA would help promote pro-Soviet policies in Ireland and abroad. They avoided arming the IRA lest the weapons be captured and traced back, as they both feared Britain and needed to keep it as a trading partner. Moss Twomey wrote of the Russians: ‘these people are so shifty . . . they are out to exploit us . . . Except for our urgent need of cash, I would not be so keen on this [agreement]’. Frank Aiken referred to the Soviets as ‘hopeless bunglers’.
            In November 1926 the Russians abruptly decreased the monthly payment to £100, having complained about the quality of work the IRA were doing for them in London, but also blaming the financial crisis in their own country. Considering that it took £400 a month to run the IRA, this was a major catastrophe. With Moss Twomey imprisoned in Mountjoy, Andy Cooney rushed to London to meet with the Soviet intelligence officer there, but to no avail. In the coming months the IRA had to let go most of its full-time officers, while many of those who remained at GHQ were unpaid. In order to put pressure on the Russians, ‘Jones’ was ordered to hold back on the intelligence he supplied in New York. Eventually in May 1927 the Russians handed over £1,000.

            Clann na Poblachta leader Seán MacBride during the general election campaign of 1948; 21 years earlier he was a senior IRA officer and agent code-named ‘Ambrose’. In September 1927 the IRA’s commander in London reported (in secret code) to Moss Twomey: ‘I received another letter from our friend [a Soviet intelligence officer]. He is in Amsterdam. He wants to see “Ambrose” immediately. He gives the name of a café where he can be met in. Says he has a present, which he is anxious to get rid of’. (Getty Images/Time Life Pictures)
            Clann na Poblachta leader Seán MacBride during the general election campaign of 1948; 21 years earlier he was a senior IRA officer and agent code-named ‘Ambrose’. In September 1927 the IRA’s commander in London reported (in secret code) to Moss Twomey: ‘I received another letter from our friend [a Soviet intelligence officer]. He is in Amsterdam. He wants to see “Ambrose” immediately. He gives the name of a café where he can be met in. Says he has a present, which he is anxious to get rid of’. (Getty Images/Time Life Pictures).

            22 janvier 2016 à 17 h 51 min
          • Jaures

            Jacky, vous me faites de la peine car vous vous donnez beaucoup de mal pour amener de l’eau à mon moulin.
            Ce texte montre que l’aile marxiste de l’IRA a en 1926 demandé de l’aide à l’URSS et a obtenu une rente de…500 livres, réduite à 100 livres l’année suivante.
            Ce texte montre également les réticences des soviétiques pour aider l’IRA et le peu de respect réciproque: “They avoided arming the IRA lest the weapons be captured and traced back, as they both feared Britain and needed to keep it as a trading partner. Moss Twomey wrote of the Russians: ‘these people are so shifty . . . they are out to exploit us . . . Except for our urgent need of cash, I would not be so keen on this [agreement]’. Frank Aiken referred to the Soviets as ‘hopeless bunglers’.”
            Soyons sérieux. Vous prétendez que l’IRA a principalement été financée par l’URSS et que les terroristes ont été armés et entrainés par les Russes. Combien l’IRA a-t-elle reçu ? Comment ont transité les fonds ? Combien de terroristes entrainés ? Quelles armes reçues ?
            Pour avoir de telles convictions, et prétendre que la police nord-irlandaise a menti en évaluant à 2% les apports extérieurs du financement de l’IRA, vous devez avoir des documents autrement sérieux que ces faits dérisoires datant de 70 ans avant l’attentat d’Omagh.

            22 janvier 2016 à 21 h 37 min
          • Jacky Social

            @Jaureich: je n’ai jamais dit que le RUC avait menti. J’ai dit que certaines choses dont les financements occultes n’avaient pas ete pris en compte correctement. Je n’ai pas formule d’accusation contre le RUC. Les 500 livres de 1925 dont l’article parle, cela fait combien aujourd’hui? L’Irlande du Nord est un petit territoire comptant bien peu de gens et tous n’etaient pas des membres de l’IRA, heureusement. Replacez les choses dans leur contexte. L’URSS a fourni des armes (egalement a travers la filiere libyenne), du savoir-faire et de l’argent a l’IRA qui avait tout son soutien contre le RU. Les comptes du KGB d’Andopov ne seront jamais connus. Les “meilleurs” coups de l’IRA ont ete entrepris avec l’aide du KGB. Par exemple, l’assassinat de Lord Mountbatten. Et donc, les renseignements que vous souhaitez obtenir de ma part existent, mais ne sont pas disponibles dans le domaine public au degre de detail que vous souhaitez. Vous vous comportez comme un enfant quand il n’a pas sa dose de sucettes. Quelle naivete dont vous faites preuve. A moins que ce ne soit a dessein.

            22 janvier 2016 à 23 h 46 min
          • Jaures

            Donc, les preuves de ce que vous avancez existent mais elles ne sont pas publiques. Comment donc en avez vous eu connaissance ?
            Le moins qu’on puisse dire, c’est que celles que vous avancez ne sont guère convaincantes. Je dirais même qu’elles ne vont pas dans votre sens puisque les deux textes que vous citez montrent que l’URSS est très réticente à aider l’IRA (catholiques, peur des conséquences avec les britanniques) et que les marxistes irlandais (qui ne sont qu’une tendance de l’IRA) n’ont guère plus de considération pour les Russes.
            Encore une fois, la police nord irlandaise a évalué à 2% l’apport extérieur du financement de l’IRA (pour l’essentiel de la diaspora). Quand l’URSS a aidé financièrement des groupes terroristes européens, on a précisément mis au jour le circuit des fonds (pour les Brigades Rouges par exemple).
            Enfin, après la chute de l’URSS, les attentats, même les plus terribles, n’ont pas diminué. Il faudra attendre 2005 pour que l’IRA rejoigne le Sinn Fein dans le combat légal.

            23 janvier 2016 à 9 h 58 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        La question est et reste : ” qu’est ce qu’ un ” CONTEXTE “, de quoi est il fait, qu’ est ce qui le rend soudainement ” actif ” etc … etc …. à part un mot ” verbeux ” derrière lequel on cache à la fois son ignorance, sa mauvaise foi , et l’ assurance d’ être ” le meilleur ? ” Constatons que sont toujours aussi fumeuses et parfois même délirantes les arguties des uns et des autres ! … Bon naufrage à chacun, et au mieux échouez vous !

        Q.C. de passage ( en France )

        21 janvier 2016 à 17 h 28 min
        • Jaures Répondre

          Quand vous ne comprenez pas un mot, cher Quinctius de passage (en France), demandez-en la signification au lieu de vous fâcher.
          Contexte: Ensemble des circonstances dans lesquelles se produit un événement, se situe une action
          : Replacer un fait dans son contexte historique.
          (source Larousse).

          21 janvier 2016 à 17 h 38 min
          • quinctius cincinnatus

            toujours aussi scolastique et lourdingue @ Jaurès ! Vous ne pensez tout de même pas que j’ ignore le sens du mot contexte ! mais comme vous l’ utilisez à la louche dans toutes vos sauces dialectiques, pour nous faire accroire que vous maîtrisez à la perfection ce qui manifestement vous ” dépasse ” ( et qui nous dépasse souvent nous aussi ) ce n’ est plus dans vos propos qu’ un mot purement… verbal et qui de ce fait est dépouillé de toute signification précise

            ciao ritorno in Italia

            22 janvier 2016 à 9 h 14 min
          • Jaures

            Si vous connaissez le sens de ce mot, vous constaterez que je l’utilise à bon escient. Si vous pensez le contraire, expliquez nous pourquoi.
            Et on dit: ciao, torno in Italia.

            22 janvier 2016 à 9 h 45 min
          • quinctius cincinnatus

            vous avez raison pour torno! ah ces faux amis !

            un conseil plutôt que de vous intéresser au ” contexte “, qui est le plus souvent utilisé comme une excuse, étudiez plutôt la ” continuité ” qui est elle d’ une impitoyable logique ; cela vous mettra les idées géopolitiques en place !

            22 janvier 2016 à 10 h 23 min
          • Jaures

            La question est et reste : » qu’est ce qu’ une » CONTINUITE « , de quoi est elle faite, qu’ est ce qui la rend soudainement » active » etc … etc …. à part un mot » verbeux » derrière lequel on cache à la fois son ignorance, sa mauvaise foi , et l’ assurance d’ être » le meilleur ? » Constatons que sont toujours aussi fumeuses et parfois même délirantes les arguties des uns et des autres !

            Reconnaissez-vous votre patois, caro amico ?

            22 janvier 2016 à 11 h 02 min
      • Raùs Répondre

        Jaures@ depuis les bombes d’Hiroshima et Nagasaki, les USA, et d’autres ont la trouille d’un boomerang !

        22 janvier 2016 à 16 h 26 min
  • barbanzed Répondre

    La République parlementaire de type exclusivement représentatif s’avère désormais incapable d’assurer sa fonction globale et en particulier celle de défense contre ses ennemis intérieurs. Il ne s’agit plus seulement d’une question de personnes , mais bien de principes.

    18 janvier 2016 à 11 h 54 min
    • Jacky Social Répondre

      Vous posez la vraie question. Il n’y aura pas de reponse de la part de l’etat qui ne remplit pas sa mission premiere evidemment. Car c’est de cela dont il s’agit. A quand un renversement arme et sanglant de ces “autorites” perimees? Pour Jaureich, la mission de l’etat est ailleurs: faire du social en employant des methodes fascistes.

      21 janvier 2016 à 12 h 06 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *