Les coups portés à l’Église catholique
L’Église catholique, millénaire en France, est le premier pilier de la civilisation.
Or, ce pilier est ébranlé par les coups qui lui sont portés.
D’abord par l’islam, plus précisément par les islamistes présents en grand nombre en France, où les fidèles doivent supprimer par tous les moyens ce qui n’est pas l’islam, et d’abord le christianisme.
Se déroule actuellement le procès des tueurs du Bataclan où, en 2015, des islamistes ont tiré dans le tas au fusil-mitrailleur, tuant 130 personnes, en blessant beaucoup d’autres, créant des traumatismes inguérissables.
On peut citer aussi l’assassin de Samuel Paty, qui fut glorifié par sa famille tchétchène pour cet assassinat – tout comme les applaudissements de millions de migrants en France, à l’annonce du massacre du Bataclan, applaudissements de migrants musulmans que la France accueille, nourrit, soigne et loge !
On ne s’étonnera donc pas que les églises soient souvent profanées, les tabernacles enfoncés, les hosties piétinées.
En revanche, les mosquées sont épargnées. Les agressions commises en France contre l’islam sont 7 fois moins nombreuses que celles visant les chrétiens.
Pour le comprendre, il suffit de lire le coran et la charia : « Tu dois plus que tes parents aimer Allah. »
Les musulmans étant déjà des millions en France, et leur nombre étant en progression constante, il est facile d’imaginer ce que ce sera demain !
Autre coup, interne celui-là, porté à l’Église catholique : la pédophilie dont sont accusés les prêtres catholiques.
Ainsi apprend-on par un rapport officiel largement diffusé que 216 000 mineurs auraient été abusés depuis 1950 par 3 900 prêtres : 170 000 garçons et 46 000 filles, les prêtres catholiques étant donc plutôt pédo-homosexuels !
On arrive ainsi, toutes additions faites, au chiffre étonnant de 5,5 millions de personnes âgées de plus de 18 ans qui auraient été confrontées à des violences sexuelles quand elles étaient mineures.
Ces chiffres appellent réflexion et méfiance, l’enquête Sauvé portant parmi d’autres sur des fautes commises il y a 70 ans !
En revanche, pas un mot, nulle part, sur les pasteurs protestants, les rabbins juifs et bien sûr les imams musulmans, souvent polygames – eux, à l’abri de toute violence sexuelle et conjugale …
La condamnation très publique de la pédophilie catholique appelle à la réflexion et à la prudence.
C’est là un terrain très propice à la dénonciation et à l’insinuation. Un seul mot suffit pour ternir la réputation d’un honnête homme.
Je connais le cas d’un parfait honnête homme accusé par sa voisine – une femme de mauvaise vie comme on dit.
Sans aucune preuve, il a été arrêté, placé en garde en vue, interrogé, pour s’entendre finalement dire par le procureur qu’il était innocent.
Il n’empêche qu’il a été arrêté publiquement, mis au cachot, interrogé comme un vulgaire délinquant et finalement libéré avec le souhait d’une « bonne journée » ! Mais le mal était fait.
Citons aussi le cas de la confession.
Si le prêtre reçoit l’aveu d’un fidèle, doit-il se précipiter au commissariat de police pour le dénoncer ? Imagination pensez-vous ? Pas du tout.
C’est ce qui est arrivé au cardinal Barbarin, archevêque de Lyon, éminent prélat qui a été pendant des mois traînés en justice, et finalement acquitté.
Il était jugé pour ne pas avoir dénoncé un prêtre que l’on estimait pédophile.
Ce terrain est miné. On ne peut s’y risquer qu’avec des preuves sérieuses et ce n’est pas souvent le cas !
Dans sa longue histoire, l’Église catholique a reçu d’autres coups, notamment pendant la révolution de 1789.
En 1792, 115 prêtres ont été massacrés, égorgés, poignardés, au couvent des carmes à Paris, par les révolutionnaires agissant au nom des droits de l’homme et de la liberté enfin conquise !
De nombreux assassinats ont dans le même « esprit républicain » été commis en Vendée.
On les compte par milliers.
Puis, ce fut la franc-maçonnerie dont on connaît les exploits avec toute la série des mesures prises contre le clergé – ses biens confisqués et l’enseignement impérativement public.
Toutes sortes de brutalités et de spoliations ont été commises sous l’autorité d’Émile Combes.
À la tête du gouvernement en 1902, celui-ci, franc-maçon notoire, a appliqué strictement la loi de 1901 sur les congrégations.
De nombreux incidents aboutirent à la rupture de la République avec le Saint-Siège, le 30 juillet 1904.
Aujourd’hui, bien des églises sont vides, à tel point que le recteur de la grande mosquée de Paris a demandé que les églises peu fréquentées soient transformées en mosquées.
Trop nombreux, a-t-il dit, sont les musulmans qui font leurs prières dans la rue.
Cette évolution est évidemment très inquiétante.
L’Église catholique est bien sûr d’abord une religion, mais aussi, je dois le répéter, le pilier de notre civilisation.
Il n’y a pas de civilisation dans une société où une organisation, quelle qu’elle soit, a pour mot d’ordre adressé à ses partisans : « Tue ton voisin s’il ne pense pas comme toi. »
L’adhésion d’un nombre important de Français au communisme totalitaire légitime aussi quelques craintes.
L’histoire contemporaine et ses crimes de masse commis en Russie, en Chine, au Cambodge apportent la preuve que cette idéologie est criminelle.
Ce n’est pas de l’imagination, c’est un crime toujours en cours, un constat.
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