Les poux de l’école de la République

Les poux de l’école de la République

L’excellent article de Bernard Trémeau : « Éducation nationale : rétablir la concurrence » (n° 606 des « 4 vérités ») m’est allé droit au cœur. Je tiens à y apporter une suite. En France, l’État s’est arrogé le quasi-monopole de l’« Éducation », ex-Instruction Publique. Un secteur privé est toléré en parent pauvre : l’État se réserve l’essentiel, le monopole de la collation des grades. Il encadre sévèrement le secteur privé sous contrat, et refuse une véritable autonomie à tous les établissements. Un monopole aussi écrasant se justifiait quand, en contrepartie, l’État s’imposait un devoir d’excellence fondé sur l’élitisme républicain, la lutte contre l’obscurantisme et les superstitions, et la tolérance zéro appliquée à quelques principes de morale : liberté d’expression et de pensée, respect des biens et des personnes, primat de la raison sur la force, hygiène publique et personnelle.

C’est du passé. La bien-pensance a piétiné la liberté de pensée et d’expression et, sous couvert de « tolérance », le laisser-aller s’est installé partout. L’État est écartelé entre son monopole et une situation de fait qui prépare l’écroulement de ce qui fut « l’Instruction publique », donc la privatisation de tout l’enseignement. Tôt ou tard, il devra choisir : redresser la barre, ou renoncer à son monopole. Exemple : les poux à l’École Publique.
Dans toute ma scolarité, de 1946 à 1966, je n’avais jamais vu un seul cas de poux dans les établissements que j’avais fréquentés. Et je n’avais jamais vu de poux jusqu’au jour maudit, en 1986, où l’un de mes enfants en ramena de son école, à Toulouse. L’instituteur de mon école communale de la bonne ville de Pamiers nous avait présenté les poux comme une horreur, énumérant les graves maladies que ces parasites colportent. Il avait interdit de venir à l’école porteur de poux. Chaque matin, il inspectait tête, mains, cou, ongles, oreilles, de chaque élève, renvoyant le malpropre chez lui faire ses ablutions. Une infestation de poux dans une école eût provoqué un scandale ! Jamais je n’ai vu de poux dans l’École des Hussards noirs de la République, dont je porte le deuil. Dans le département où je me suis retiré, l’Aude, les poux sont omniprésents à l’École. Des familles écœurées subissent. Il y en a d’autres que les poux ne dérangent pas, puisqu’elles envoient à l’école leurs enfants infestés et contagieux.

Les textes de santé publique régissant parasitoses, pédiculoses et infestations de poux sont d’une rare hypocrisie. L’éviction scolaire des enfants infestés est présentée comme « traumatisante », « pas souhaitable », et « inutile si l’enfant est traité ». Pour signaler un enfant infesté, il faut en appeler au médecin scolaire, qui ne se dérange pas pour des poux. Conséquence : les parents d’enfants non infestés ne peuvent pas leur éviter la fréquentation des condisciples infectés et contagieux !
Aucun contrôle n’est prévu, et quand bien même les parents parviendraient à signaler un enfant infesté, ils n’auraient aucun moyen de faire contrôler qu’il est traité. Lorsque des enfants non infestés au départ attrapent des poux, malheur à leurs parents s’ils protestent ! Ils sont tancés comme des gêneurs « discriminatoires ».

On leur dit : « L’Aude étant pauvre, la présence des poux y est normale, il ne faut pas s’en formaliser ». Les insupportables textes officiels disent que si un enfant est infesté, il ne faut à aucun prix qu’il se sente exclu ou humilié. Dans l’impossibilité juridique d’appliquer la tolérance zéro aux poux, le chef d’établissement ne peut qu’« informer les parents sur les inconvénients des infestations » par ces parasites ! L’École de la République étant obligatoire, si une famille en retire son enfant plus de quatre jours d’affilée sans motif valable, les foudres de l’État s’abattent sur elle.

Les infestations par poux ne sont pas un motif recevable. Il y a de facto obligation d’exposer ses enfants à la contagion par leurs condisciples infestés. Les droits de l’homme ne seraient pas violés si un texte de loi stipulait : « Pour s’inscrire à l’École, tout enfant devra produire un certificat médical attestant qu’il n’est atteint d’aucune affection contagieuse, en particulier d’aucune parasitose par poux ou autres » ; et s’il ordonnait l’éviction de tout élève infesté de poux jusqu’à guérison complète. Ce serait une leçon pour ces parents laissant leurs enfants aller à l’École la tête pleine de poux, comme ma voisine l’a vu de ses yeux à l’École de Rennes-les-Bains en cette rentrée de septembre 2007.

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Comments (26)

  • Wanegffelen Nathalie Répondre

    Je ne sais plus quoi faire, ma fille de six ans revient  de l’école systématiquement infestée, je suis au bord de la crise de nerf, je vais demander une réunion avec les parents d’élève car cela deviens un grâve problème, c’est l’invasion toute l’année, je crois que l’école doit intervenir.

    En hollande les enfants mettent leurs manteux et bonnets dans un sac  pour éviter la contamination sur les portes manteaux.

    L’institutrice de ma fille  me dit que; évidement ils se contaminent lorsqu’il font un travail en commun en classe, leurs tête sont en contacte, mais aucune réfléxion n’est faite pour changer les comportements.

    Les programmes scolaires étant de plus en plus lourd, le manque de personnel ,ainsi que les classes avec de plus en plus d’élèves et une des causes de cette invasion.

    C’est donc les conséquence de l’état de nos services publique mais bien sûr le pou ne fait pas de politique et il va aussi dans le privé!

    De plus j’ai travaillé en maternelle, il y avait des enfants du voyage, et ils n’avait pas de poux ce n’est donc pas un problème de classe sociale ce dont je n’ai jamais douté.

    Si cela continue je ne mettrai plus ma petite à l’école…

    8 novembre 2010 à 11 h 33 min
  • [email protected] Répondre

    bonjour,

    ma fille était depuis 2 ans à l’école en zep à sarcelles (95) elle n’a jamais eu de poux ! nous arrivons en corrèze et dès le 1er jour d’école elle en attrape!!! cela fait 3 mois que cela dure , moi j’en ai aussi et je surveille ma fille de 6 mois car il n’y apas de traitements pour les bb.Ma fille fait des allergies aux produits et on me dit c comme ça!!!!! c scandaleux!!!!!!!! le texte dit qu’on ne peux renvoyer un enfant traité donc comme ce n’est pas explicite on peuxt penser que nous pouvons renvoyer les enfants non traités non?je suis très en colère et je ne sis pas quoi faire!

    ala

    14 novembre 2008 à 9 h 41 min
  • michèle Répondre

    je viens de lire votre article et je viens vous faire savoir que  qu’il exsiste un bonnet anti-poux que les enfants peuvent porter à l’école et ainsi se protéger des poux des copains. cela fait plus de 2 ans que notre président , ministre de l’éducation, directeur général de l’enseignement et inspecteur académique(de ma région) anciens et nouveaux  sont au courant de l’existance de ce bonnet il a fallut leurs autorisations officielles pour intégré le bonnet dans le cadre d’un projet d’école ainsi que le partenariat avec les médecins scolaires. le projet à eu lieu en 2007 et a été plus que concluant en 15 jours plus un poux ou lentes vivantes sur les enfants de l’école entière. depuis les parents n’ont plus à subir les épidémie de poux ils peuvent protéger leur enfant et comme les enfants ont tous portés le bonnet pour l’expérience ils ont banalisés cet outil. depuis plus de nouvelles de tout ce beau monde si ce n’est de m’adresser à tous les directeurs d’écoles personnellement pour les informé de cette nouvelle approche contre la contamination pars les poux.

    le saviez-vous?

    24 septembre 2008 à 7 h 55 min
  • brossard Répondre

    Bonjour à tous

     

    Je viens de lire vos histoires sur les poux.

    Par chez nous les poux sont présents depuis septembre 2007, et les parents commençent sèrieusement à en avoir assez.

    Après en avoir fait par à la directrice, on nous dit que l’on ne peut rien faire (alors que seulement deux ou trois cas ne se traitent pas), qu’il faut mieux accepter des enfants pleins de poux qui ne se traitent jamais que de les laisser chez eux.

    Pour ma part depuis décembre le traitement m’a couté 180 euros (j’ai 3 enfants), je suis du princip de faire comme pour nous quand on étaient à l’école ceux qui avaient des poux retournaient chez eux se traiter et revenaient 1 ou 2 jours après et je n’en suis pas morte et n’ai pas non plu été traumatisée.

     

    A dit la faute????

     

    3 avril 2008 à 15 h 39 min
  • charlotte Répondre

    Dans l’école maternelle où se rend ma fille de 3 ans quatre jours par semaine l’épidémie  acommencée en début d’année dans sa classe et s’est propagée dans les autres classes. La présence de l’infection est indiquée devant chaque classe par un immense POUX écrit sur les murs. Quelqu’un peut-il me dire si les parents des enfants concernés sont mis invités à traiter leurs enfants ?

    La diffusion des gastros, rhumes… a-t-elle la même la même origine ?

    Pourquoi les instituteurs sont-ils obligés d’accepter tous les enfants que les parents présentent à l’école ?

    Compter sur le civisme des parents n’est-ce pas supposer être dans un pays bien plus civilisé qu’il ne l’est ?

    Faut-il pour prévenir des pseudos traumatismes ( il y a bien longtemps que poux et saleté ne sont plus systématiquement associés en France) continuer à creuser le déficit  de la sécurité sociale et à détruire la planète en consommant des produits toxiques ? Les lobbies pharmaceutiques jouent-ils un rôle dans ces affaires ?

    Qui, au sein de l’Education Nationale, écrit ces textes et décide de leur mise en application ? Ces personnes sont-elles conscientes des effets de leur choix sur la société ( déresponsabilisation des parents qui ne soignent pas leurs enfants d’un côté et apprentissage de la soumission pour  tous les autres) ?

    10 janvier 2008 à 18 h 36 min
  • sas Répondre

    remarque inutile et inopérante…….ce n’est pas forcément vrai…….en revanche l’atitude passive voir laxiste du personnel de l erradication nationnale lui est patente.

    sas qui pense que les profs devraient appliquer leur sacrésaint droit de retrait….

    SAS

    1 octobre 2007 à 22 h 50 min
  • Anonyme Répondre

    Cette histoire de poux ressemble bien à une histoire de… racisme. Car demandez donc à n’importe qui quelles sont les têtes qui véhiculent ces pettis insectes si dérangents:  

    1 octobre 2007 à 22 h 18 min
  • sas Répondre

    Cette affaire de poux….démontre simplement que la problématique et spécificité particulière ,passe et de loin devant l’intérêt général……que l’individu (surtout certain) est plus important que la communauté, que la collectivité passe après le traitement particulier…….cher aux humanistes éclairés et fossoyeurs de la vérité et de la liberté……outre le fait que le français est sale ,  cradingue……pouilleux.

    Nous n’avons qu’à mettre de tels principes en action au foot ou au rugby……et le résultat serait clair et sans sommentaires….alors ce qui est bon pour les cannards ne l’est point pour les oies.

    SAS

    1 octobre 2007 à 13 h 18 min
  • Gérard Pierre Répondre

       Dans l’école de la raie publique les poux les plus dangereux ne sont pas forcément ceux que l’on voit.

       Il est plus facile de se débarrasser des poux qui sucent le sang sur la tête des petits "mammifères" à  tête blonde et fixent leurs oeufs à la racine de leurs cheveux que de certains qui, appointés par nos impôts s’occupent de l’intérieur de leur crâne pour y distiller des idéologies gauchistes douteuses comme le pacifisme, l’égalitarisme, la tolérance à sens unique et autres rêveries angéliques anti nationales sous couvert d’une pseudo laïcité qui n’est en réalité qu’un matérialisme sournois.

    30 septembre 2007 à 22 h 37 min
  • richard Répondre

    j’ai fait toute ma scolarité en Afrique ( sub saharienne ) et Maroc, et en écoles locales… et je n’ai jamais eu de poux!!
    c’était  jusqu’en 1967!!!
    maintenant les poux à l’école c’est la norme…pourquoi??

    30 septembre 2007 à 11 h 55 min
  • Jaures Répondre

    Vous me prêtez, cher J..Thialet, plus d’ambition que je n’en ai. Mon propos n’ a rien d’un commentaire lénifiant d’une sommité en matière de poux mais est celui d’un père de famille dont l’une des filles (blondes) attrapa des poux 3 années d’afilée, alors que l’autre (brune) n’en eut pratiquement pas. Lorsque j’ai interrogé mon médecin il m’ a répondu doctement: "C’est ainsi, certains enfants en ont, d’autres pas. Il n’y a pas de règles". Alors vos commentaires sur vos amis communistes et patin couffin …

    29 septembre 2007 à 19 h 37 min
  • sas Répondre

    non….mon ami…..ce qui indique que le délitement est complet et total……et que seul une reprise en main musclé et des principes simples et commun à tous……peuvent nous tirer de l ornière.

    sas

    28 septembre 2007 à 17 h 20 min
  • Anonyme Répondre

    28/09/07    – "Les 4-Vérités"

    J’admire les doctes propos de JAURES dont le style me rappele toujours ceux des communistes formés à l’Ecole de – je crois – Joinville. Il n’en connaît pas davantage, j’imagine, sur les poux que la majorité des participants à ce forum, mais il adapte un langage pseudo-scientifique comme pour donner une apparence d’objectivité à un sujet qui, nécessairement, fâche dès lors qu’on aborde implicitement un problème sans doute lié à l’immigration. Pas celle des poux. Ce qui ne veut pas dire que JAURES n’ait pas raison : les "têtes blondes" peuvent attirer les poux (ne serait-ce que parce qu’elle leur paraissent de la "chair fraîche") pour déserter leurs "terres" habituelles, celles de têtes sans doute moins "blondes".

    Cela me rappelle une anecdote lycéenne, du temps que je fréquentais le Lycée Lyautey à CASABLANCA. De troisième en troisième, nous nous repassions ce mot : si un jour vous avez décidé de flemmarder au cours de Science-Nat  de Monsieur ANTOINE, demandez-lui ce qu’est la syphilis. Effectivement, le brave père ANTOINE comme son âge nous le faisait appeler, à cette seule question, nous apostrophait : "Comment, malheureux, vous habitez au Maroc, et vous ne connaissez pas cette maladie qui… que… etc.? ". Et, avant de nous parler pendant son heure de cours de ce fléau qui, à l’époque, faisait encore là-bas pas mal de dégâts, il commençait par nous dire en substance : les Marocains sont géénralement hérédo-syphillitiques (fureur de nos consisciples marocains !), mais, enchaînait-il,  contrairement aux EUROPEENS, ILS Y RESISTENT MAGNIFIQUEMENT (bombage de torse, côté Marocains !). Et Monsieur ANTOINE de nous démontrer que nos amis marocains étaient en quelque sorte auto-vaccinés par des générarations de syphillitiques dans leurs familles. Je pense, que, s’agissant de poux, et des "têtes blondes" d’un côté, moins "blondes" de l’autre, il doit en être de même. Les premières ne sont pas habituées, les secondes sont auto-immunes.

    Je laisse à chacun le soin de réfléchir à cela, tout en priant le camarade JAURES ne ne voir dans mes propos le moindre caractère raciste. Contrairement à ceux que j’appelle les "fesses blanches" (par opposition aux "pieds noirs"), nous autres de là-bas qui côtoyions sans cesse les indigènes, nous n’étions pas racistes. Nous ignorions même le mot ! N’en déplaise à tous les donneurs de leçons anticolonisalistes qui se sentent mal à l’aise quand ils circulent dans certains autobus et dans certains métro, à certaines heures et dans certains quartiers, mais qui sont pour l’ouverture à tous vents de nos frontières. Sans penser aux poux dont ils déplorent de voir leur enfants envahis …

            Cordialement, Jean-Claude THIALET

    28 septembre 2007 à 15 h 07 min
  • Bernard Dubois Répondre

    A SAS,

    Alors plus d’espoir ! on est foutu !  :-(

    28 septembre 2007 à 1 h 10 min
  • Rapetout Répondre

    Le bon et sage Jaurès a raison, vive l’Education Républicaine par la  crasse!

    A bas la Marie-Rose discriminatrice et phthiraptéricide!

    A bas la phthiraptérophobie nauséabonde et les fachos phthiraptérophobes!

    Vive les parasites! Respect et subventions pour eux!

    Mais que fait le MRAP? Que fait la HALDE?

    28 septembre 2007 à 0 h 25 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    27/09/07   "Les 4-Vérités"

    J’avoue ne rien avoir compris au sens qu’entend donner Jean-Marie ARNAUDIES à cette histoire de poux que je serais tenté de qualifier d’histoire de …fous. En tout cas, l’auteur de cet article me paraît tourner autour du pou comme d’autre autour du … pot. Sans nous donner véritablement la clé du mystère. Veut-il stigmatiser les "pouilleux" ?  leurs parents ? ou encore l’école qui n’ose pas, en dépit des règlements(1), prier les "porteurs de poux de rentrer chez eux ? Pas plus qu’il n’ose préciser les causes exactes de cette invasion de poux qui fait penser à une autre.  La seule conclusion – certes importante – que je tire de cet article est, que, dans ce domaine comme dans tant d’autres (y compris dans celui de la Santé), on est incapable de résoudre un problème.Tout simplement parce que l’on ne veut pas s’attaquer aux causes. Avec, en pire  – si j’ose dire – que, dans cette affaire de poux, on semble ne pas même vouloir s’attaquer aux effets. Il faudrait sans doute un Esope, ou un La Fontaine pour nous conter cette Fable (bien réelle, certes !) et en tirer la morale. Vu l’heure, je préfère aller me coucher, en prenant garde aux éventuels acariens, faute de trouver des pous sous mon oreiller. Des poux que j’ai personnellement côtoyés au cours de mon enfance dans … l’EMPIRE FORTUNE(2), comme d’autres jadis   – j’imagine – dans la Douce France. Honni soit qui mal y penserait …

       Bonne nuit les petits et les grands, avec ou sans pux. Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) comme certains directeurs d’établissements inscrivent les enfants de soi-disant "sans papiers" en fermant les yeux non sur les poux, mais sur les règlements !

    (2) ce qui nous avait valu, à nous lycéens, à partir du débarquement américain de 1942, de nous faire asperger de DDT, chaque matin, au Lycée LYAUTEY ; par l’Armée Américaine qui avait installé ses tentes dans le terrain vague situé en face ! Selon le principe de précaution qui a valu aux "arrosés" pas mal de maux (pas seulement oculaires), dont certains à retardement, malheureusement.. Il était trop tard, les GI’s avaient levé le camp …

    27 septembre 2007 à 22 h 36 min
  • sas Répondre

    a bernard……je te rassure dans le privé, j’ai remis mes chiards et bis répétita……budget public dit cahier des charges public…..dit prof etatique détaché au privé…….dit même merde cérébrale et même règles….on ne vire pas et stigmatise pas le gueux……en terre de gaule

    sas

    27 septembre 2007 à 17 h 01 min
  • sas Répondre

    a bernard……je te rassure…..derechef j’ai mis mes moufflets dans le privé……et bien bis répétita……à

    27 septembre 2007 à 16 h 59 min
  • Jaures Répondre

    Il faut avoir bien peu d’arguments contre l’Education Nationale pour se focaliser sur les poux! Tout d’abord, si les poux sont plus virulents aujourd’hui,c ‘est que, comme de nombreux bacilles, ils sont plus résistants. L’origine sociale ou ethnique, désolé cher SAS, n’y est pour rien. On peut être blond au yeux bleus et fils de cadre et être sensible au pou. Un enfant d’immigré clandestin peut parfaitement ne pas y être sensible.
    Trouvez d’autres arguments, il y en a, pour attaquer l’école publique.

    27 septembre 2007 à 11 h 24 min
  • Bernard Dubois Répondre

     Sincèrement, j’en tombe des nues !!!

    Pour moi, c’est une raison suffisante pour ne jamais mettre ses enfants dans la fabrique à crétins de l’Etat ! Je pense que cela était inimaginable ne serait-ce qu’il y a 20 ans, … entre temps on a eu les 2 larrons : le PS (10 ans) et l’UMP (10 ans). Mais comment ils font pour être aussi c….. ?

    …. et encore 5 ans à attendre avant l’espoir d’un changement !!

    27 septembre 2007 à 2 h 18 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    Ah "Nivellement par le bas", quand tu nous tiens…

    Il existe pourtant une solution radicale et efficace. Cela prends du temps à correctement mettre en oeuvre mais ne peut que frapper au coeur du problème et mener à court terme à une solution rapide: 

    1- se procurer des poux authentiques et vivants. Se les procurer n’est plus un problème insurmontable. Les garder vivants est plus difficile.

    2- les lâcher dans le bureau, l’appartement ou sur la personne-même du ministre de l’Education Nationale, celles des conseillers d’éducation du Ministère du Mammoth, celles de tous les recteurs d’académie, celles de quelques proviseurs trop collabos et celles des professeurs qui aiment les pouilleux. Tous ces personnages peuvent être ciblés au travail, au restaurant ou en tous autres lieux adéquats.

    3- maintenir une provision de poux vivants de façon à recommencer le traitement de 2-, aussi souvent que nécessaire, jusqu’à obtention d’une éradication totale du droit des pouilleux à promener leurs poux. 

    Les français aiment les associations. Une association qui pourrait s’appeler "Pour le Pou contre le Pou" pourrait synchroniser et favoriser en catimini certaines étapes. 

    27 septembre 2007 à 0 h 46 min
  • sas Répondre

    lorsqu’il s agit de retitrer ou toucher les avantages "durement" acquits d’une enclume de l’aradication nationnale…..là il y a mobilisation, grève,contestations,menaces et gesticulation….

    sas

    26 septembre 2007 à 22 h 52 min
  • ozone Répondre

    Dans mes souvenirs d’enfance en Algerie figure la vision d’une entrèe en trombe dans la classe de deux personnes,POUF,POUF,un peu de poudre blanche sur la tète d’un petit arabe;

     

    Ah,les bons vieux temps.

    26 septembre 2007 à 20 h 48 min
  • Emeric Répondre

    Ce n’est pas une question d’éducation nationale, mais de santé nationale. Le personnel de l’éducation nationale, médecins et infirmières scolaires compris, n’ont pas compétence pour établir les réglements de santé des établissements. Les règlements intérieurs des collègues et lycées eux-mêmes n’ont pas de latitude sur les questions du tabagisme, de contraception ou de drogue etc. Bref, les déficiences sont imputables à la santé publique mais se voient à l’école. L’école va mal, certes, mais à vouloir faire feu de tout bois, on se discrédite totalement.

    26 septembre 2007 à 13 h 37 min
  • sas Répondre

    Oui mais certainement que renvoyer un gamin plein de poux chez lui……c’est le stigmatiser….le montrer du doigt à la communauté…… et comme dans le même temps les pouilleux ont les mêmes profils….mêmes prolifération dans un certain type de cheveux, et environement hygiénique……ce serait donc discriminatoire…..

    donc nos technocrates ripoublicains ont ranchés…….tous auront des poux…

    Une année ……j’ai du traiter 4 fois mon garcon pour cette même cause…..tant et si bien qu’à la fin, et après m’être  choppé avec la directrice(qui déclarait ne pas pouvoir ni vouloir évincer les pouilleux)……j’ai donc décidé de sortir mon gamin et de le mettre dans une école privée….

    SAS

    26 septembre 2007 à 12 h 06 min
  • David martin Répondre

    Je confirme. Si un enfant se présente en classe, infesté par des poux, je ne peux strictement rien faire si ce n’est donner une information aux parents !!! Et tant pis si nous mettons plusieurs mois pour nous en débarrasser.

    26 septembre 2007 à 9 h 27 min

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