Depuis l’attentat de l’Aude, le mot d’ordre est « unité ».
Unité face aux victimes de la barbarie, unité devant l’héroïsme du colonel de gendarmerie, sans aucune restriction.
Depuis l’attentat de l’Aude, le mot d’ordre est « unité ».
Unité face aux victimes de la barbarie, unité devant l’héroïsme du colonel de gendarmerie, sans aucune restriction.
quinctius cincinnatus
certains en parlent sans détours ou contorsions lexicales; par exemple hier sur L.C.I. Madame Nadia Remadna berbère d’ Algérie et fondatrice de » la brigade des mères » femme LAÏQUE qui réussit l’ exploit rarissime sur nos chaînes de mettre » mal à l’ aise » journalistes , sociologues et spécialistes de la » radicalisation » en donnant des exemples précis et surtout vécus des prises de position des » politiques » quel que soit leur niveau de responsabilité : maires, préfets, police, justice, gouvernements, Présidents et enseignants etc … un grand moment de langue qui ne fût pas de bois
elle citait comme » exemple » le maire E.E.L.V. d ‘Evran qui a démissionné parcequ’ il pensait que l’ Etat n’ était pas à la hauteur des besoins » sociétaux » des » minorités » alors que lui même n’ a fait queconsolider le » communautarisme » dans sa ville
HansImSchnoggeLoch
Quel terrorisme?
Il faut le nommer pour qu’on sache et puisse monter une stratégie permettant de le combattre efficacement..
lavandin
le nommer, c’est stigmatiser, c’est faire de l’amalgame !!!!!!
BRENUS
HANS, voici votre réponse : le terrorisme ne peut être que le produit des agissements des bonnes soeurs de la congrégation Saint Pie X. Tout le reste n’est que fadaises. Na !