Lutte des sexes

Lutte des sexes

Dans les années 50, mon professeur de lettres classiques m’a donné à traduire un texte extrait de l’Économique de Xénophon, aux antipodes de la théorie du genre inculquée aujourd’hui par l’Éducation nationale, dès la maternelle. Pour l’auteur précité, la femme et l’homme sont différents par nature. La première était prédestinée par la « divinité » aux travaux de l’intérieur et le second aux travaux de l’extérieur, précisément virils car nécessitant une force physique supérieure.

Pendant des millénaires, cette conception faisant de l’homme et de la femme des êtres complémentaires, égaux en dignité, a prévalu. Le code de la politesse exigeait même que la femme passe avant l’homme qui devait lui ouvrir les portes. Elle était honorée. Depuis la gouvernance de Vichy, la devise « patrie, famille et travail » a été stigmatisée par notre gauche caviar au point d’être transformée en un dogme fasciste. En Allemagne, les 3 K (Kinder, Küche, Kirche) sont également devenus un idéal classé à l’extrême droite, abandonné par le pays depuis les « Lebensborn ».

Il résulte de cette conception, dite féministe, une dénatalité qui nous pousse à accueillir des populations dont le taux de fécondité est grand. Il s’agit, ni plus ni moins, d’une immigration de peuplement issue, en grande partie, du continent africain et de religion musulmane, qui refuse nos modes de vie et qui ne s’intègre pas. D’une manière plus générale, nos socialistes, de gauche comme de droite, ont introduit une lutte des sexes qui vient désormais s’ajouter à celle des classes, sur fond d’hédonisme.

Ce n’est sûrement pas en éradiquant les armes à feu que l’on réduira le climat de violence qui gagne de plus en plus de terrain au sein de notre société. La désunion homme-femme est le fruit d’une idéologie pseudo-scientifique qui proclame la négation des sexes, générés par l’évolution (pour Xénophon par la divinité) et nécessaires à la reproduction.

La perversion de notre gauche, maîtresse de notre système éducatif et très dominante dans les médias, laisse peu d’espoir au rétablissement de la paix sociale.

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