Paris, capitale des rats

Paris, capitale des rats

La presse nous apprend que Paris est envahi par les rats. Mais il n’est pas nécessaire de lire la presse pour s’en rendre compte.

Les jardins des Tuileries reçoivent non seulement visiteurs parisiens et touristes étrangers, mais aussi des légions de rats qui se promènent tranquillement en plein jour. Il en est ainsi dans les jardins et squares proches de la Bastille et aussi au Trocadéro.

S’agit-il, chez ces dangereux rongeurs, d’un baby-boom, d’une vague démographique éphémère ? Pas du tout. La réalité est beaucoup plus simple. Les rats prolifèrent à Paris, parce que Paris est sale.

Depuis des années et des années, Paris est jonché de détritus, d’ordures de toute nature, qui font le quotidien des rats.

On en est revenu au Moyen Âge. Or, nul n’ignore que les rats véhiculent le bacille de la peste, qui a causé autrefois des hécatombes.

La Peste noire au XIVe siècle a causé 25 millions de victimes en Europe, alors beaucoup moins peuplée qu’aujourd’hui.

La dernière grande épidémie a eu lieu à Marseille au début du XVIIIe siècle – à Marseille où les rats sont de retour, gros et gras comme des lapins.

La peste est endémique dans certains pays du Tiers-monde, notamment en Inde. Va-t-on revoir ce fléau s’ajoutant à tous les autres ? C’est désormais possible, tout comme il est parfaitement possible de voir renaître le choléra.

La ville de Paris, que dirige une militante socialiste originaire du sud de l’Espagne qui fut très arabisée, ne paraît pas en mesure de lutter efficacement contre l’invasion.

La ville est mal administrée, surendettée en milliards d’euros, envahie non seulement par les rats, mais par des foules de migrants, dont l’administration municipale est impuissante à endiguer le flot.

Allez à la Porte de la Chapelle et vous constaterez qu’à peine évacués, les campements de Soudanais, Érythréens, Somaliens, Éthiopiens, etc., se reforment aussitôt dans des conditions d’hygiène déplorables qui révoltent les riverains.

Ces riverains sont donc maintenant confrontés à une autre invasion, redoutable elle aussi et insidieuse, l’invasion de la vermine.

« Le Figaro Magazine » du 25 août fait état de quelques pages d’un livre qui vient d’être publié sur Paris et consacré à Madame le Maire.

Les punaises sont partout, des arrondissements entiers en sont infectés, accompagnés par toutes sortes d’autres vermines, dont la provenance est clairement établie.

La gale sévit à Calais et dans ses environs.

C’est là l’une des conséquences insupportables de la mondialisation, à qui, déjà, nous devons le sida, virus originaire de l’Afrique centrale qui, il y a peu, était inconnu en Europe – cette mondialisation célébrée, dont le principal résultat est d’avoir engendré une immigration massive vers les pays développés.

Il reste à savoir comment Madame le Maire de Paris va supprimer ces fléaux.

Jusqu’ici, elle ne semble pas s’en soucier beaucoup.

Elle paraît uniquement préoccupée par la création de voies cyclables, où l’on ne voit jamais de cyclistes. La France n’est pas la Hollande.

C’est, dit Anne Hidalgo, pour diminuer le trafic automobile, mais, en même temps, les pouvoirs publics, les grandes entreprises, la publicité, font tout pour multiplier les voitures.

« Pour 199,90 euros par mois, vous aurez une belle voiture.

N’hésitez pas, achetez-la sans attendre. » Le résultat de cette contradiction est que l’on circule de plus en plus mal à Paris, qui ressemble de plus en plus aux capitales sous-développées, avec leurs embouteillages monstres comme il en existe au Caire ou à Bangkok.

Les transports en commun restent insuffisants.

On attend parfois son bus 30 minutes et la population d’origine « universelle » qui peuple le métro dissuade bien des Français de l’emprunter.

Bref, tout cela relève de l’incompétence, ce qui est d’autant plus regrettable qu’aux rats s’ajoute la délinquance, largement pratiquée par les spécialistes du vol qui sont parfaitement connus.

Chaque ethnie a sa spécialité et est assurée de l’impunité. Les touristes surtout en font les frais et vont finir par en tirer les conséquences.

Telle est l’évolution de la « Ville-Lumière » qui prépare une forte augmentation des taxes locales permettant d’organiser les Jeux Olympiques de 2024, où, logiquement, on devrait assister à des courses de rats !

Partager cette publication

Comments (12)

  • Gérard Beyer Répondre

    Enfin une comparaison entre Paris et Marseille. Nous pensions en effet être les SEULS à devoir supporter ces rongeurs et si leur nombre serait revu à la baisse (Pierre Falgayrac), j’aimerais en connaître la fraction même modeste en songeant à tous les excédents qui migrent vers le nord dès leur plus jeune âge pour aller finir rats ADULTES à Paris. Auquel cas ces PETITS rats n’auraient fait de Marseille qu’une première étape avec une durée de vie plus courte dans la capitale que celle vécue sur le bord de la Méditerranée….

    20 septembre 2017 à 19 h 06 min
  • Atikva Répondre

    Quand on voit maintenant ce que je n’ai jamais vu pendant mes 32 ans de résidence dans la région parisienne qui ont pris fin en 1974, on ne peut que prévoir les épidémies de toutes sortes qui vont s’abattent sur les populations des grandes villes françaises.

    Sur l’une des vidéos que j’ai visionnées, on voit une musulmane déféquer en public dans le couloir du métro, et personne ne réagit lorsqu’une jeune femme affolée essaie d’alerter d’autres passants sur ce scandale. Sur l’autre, c’est une africaine qui défèque tranquillement dans le caniveau de l’avenue des Champs-Elysées sans aucune réaction des témoins – sauf celui qui a filmé l’incident.

    Ce n’est pas seulement l’absence totale d’hygiène des émigrants qui est coupable, c’est l’indifférence, la couardise des Français qui tolèrent ces moeurs inacceptables et contribuent au défigurement de leurs villes et à tous le srisques sanitaires que cela entraîne.

    14 septembre 2017 à 20 h 30 min
    • Atikva Répondre

      2 corrections, pardon: “s’abattre” et “immigrants”.

      14 septembre 2017 à 22 h 05 min
    • BRENUS Répondre

      Sachez, Monsieur, que lorsqu’une africaine chie dans la rue, elle ne défèque pas : elle CABINE. Du verbe cabiner. Comme on dit là-bas.
      Mais les nettoyeurs toubabou ne sont ils pas là pour ramasser leurs merdes? C’est quoi ce racisme, hein ?

      16 septembre 2017 à 17 h 12 min
  • vozuti Répondre

    Pierre-Ambroise Bosse le champion d’athlétisme, fan de mélenchon, qui a été sauvagement agressé par un groupe de racailles,qui l’ont laissé gisant inconscient et sérieusement abimé,a décidé en réaction de militer pour…les enfants battus.
    Mais son père n’y est pour rien dans l’agression,logiquement compte tenu des circonstances c’est plutôt pour le fn qu’il devrait militer,et surtout plus pour mélenchon.
    Kevin Mayer,l’autre champion d’athlétisme français, a rabroué une femme qui le complimentait sur Twitter en disant qu'”il démontrait que les blancs sont beaux”.il lui a répondu (en résumé) qu’elle était une sale raciste.
    Le politiquement correct formate les esprits et fait des ravages…

    14 septembre 2017 à 16 h 02 min
  • BRENUS Répondre

    Il n’y a pas encore assez de rats de toutes sortes et autres vermines pour dissuader les bobos-fachos parisiens de continuer à supporter la soeur Anne comme patronne et sa cour de minets de tous genre. Et cette ville vient d’être nommée pour les prochains J.O. Paris pourrait peut être faire le concours de la ville européenne la plus crade, avec course de rats, sauts de puces porteuses de la peste, etc…C’est Paris poubelle. Comme seuls les privilégiés et les hyper assistés peuvent maintenant s’y- loger, c’est bien fait pour leur gueule. Dans un grand soucis d’égalité planétaire Paris va pouvoir se comparer à nombre de métropoles africaines ou sud américaines. Tous exposés , ce sera la nouvelle devise. Quant au “fluctuat” ce sera “ET mergitur”, dans tous les sens de la formule.

    14 septembre 2017 à 1 h 03 min
    • Gérard Pierre Répondre

      « … cette ville vient d’être nommée pour les prochains J.O. … »

      Vous avez le sens de l’exactitude en précisant ‘’nommée‘’ et non pas ‘’élue‘’.

      14 septembre 2017 à 11 h 26 min
  • Pierre Falgayrac Répondre

    Monsieur Lambert

    Au sujet des rats :
    1/ Ils ne prolifèrent pas : ce sont les travaux d’excavations qui les délogent de leurs terriers et lieux de nidification habituels. Ils migrent donc vers un autre endroit. Comme ils ont gros appétit (ils consomment l’équivalent de 10% de leur poids par jour) et ont perdu leurs habitudes, ils affrontent à contre coeur le jour et ses dangers pour se nourrir, car ils sont naturellement de mœurs nyctalopes. Et lors de ces épisodes de migration, non seulement il y a beaucoup de mortalité (ils sont d’un naturel craintif et fragile du cœur), mais il n’y a pas de reproduction (car il faut un terrier sûr pour mettre bas). Il y a là un paradoxe : on voit davantage de rats, alors qu’ils sont en fait en régression.
    2/ Le surmulot, ou rat d’égout, ne peux pas transmettre la peste : sa puce ne manifeste le phénomène de blocage d’une trompe de succion par la bactérie Yersina pestis (W. Bacot 1914). Si le surmulot transmettait la peste, il y aurait des hécatombes chez les citadins depuis que les égouts existent ! La seule maladie que peut transmettre ce rat, c’est la leptospirose, dont il constitue un faible réservoir comparé au rat musque et au ragondin.

    3/ Le meilleur moyen de lutter contre les rats est de ramasser les ordures le soir et pas le matin (comme à Levallois-Perret, par exemple).

    Pierre Falgayrac
    Auteur des livres “Des rats et des hommes” (Éditions Hyform 2013) et
    “Le grand guide de lutte raisonnée contre les nuisibles urbains” (Éditions Lexitis 2014)

    13 septembre 2017 à 16 h 09 min
    • BRENUS Répondre

      Donc, les rats ( à 4 pattes) sont en régression à Paris. Et les rues sont de plus en plus propres. Grace aux entraves a la circulation, la pollution par les gaz d’échappement diminue, etc…Que voila un commentaire rassurant qui devrait plaire à dame Anne et sa cour. Lorsqu’on vous dit que “toute est bene” , c’est de la désinformation que ne pas y croire. De même il n’y a pas d’agressions dans le métro et j’ai rêvé lorsque j’en ait été victime. Vive la langue de bois.

      15 septembre 2017 à 0 h 17 min
  • HOMERE Répondre

    Toutes les métropoles sont des nids à rats…c’est pourquoi mieux vaut le maquis pour prendre la clandestinité…et résister !!
    La peste rode comme nos maux qui rongent nos cerveaux enfumés par la propagande de nos ténors…qui connaissent paroles et musiques…Paris finira dévorée par les rongeurs principalement parce que son sous sol ressemble à du gruyère !!

    12 septembre 2017 à 15 h 57 min
  • Drakkar Répondre

    Ces rats là ne sont pas les plus néfastes qu’on peut croiser à Paris.
    Ceci dit, je ne pains pas les parisiens, ils ont ce qu’ils ont voulu et ce pour quoi ils ont voté.

    12 septembre 2017 à 9 h 12 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    comme ” rats”, il n’ y a pas que les mammifères rongeurs à Paris, il y a aussi les bipèdes politiques !

    12 septembre 2017 à 8 h 17 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *