Peut-on améliorer la situation?

Peut-on améliorer la situation?

Tout le monde est d’accord pour déplorer une situation faite d’insécurités en tout genre, tueries entre enfants, coups de toute nature avec ou sans couteau, batailles rangées entre bandes de MI (mineurs isolés), vols et viols sans limite. Ouvrez le journal tous les matins, vous ne serez pas déçus.

Insécurité physique, insécurité fiscale – ou, si vous préférez, «insécurité citoyenne» –, l’anarchie est partout, sous de multiples formes.

Personne ne dit le contraire.

Ce qui est beaucoup plus difficile à obtenir, c’est la liste des remèdes pour guérir les maux dont souffre la France et dont souffrent les Français, victimes désormais d’une minorité de politiciens qui laisse prospérer cette situation.

C’est, dit-on, à la justice de faire ce qu’elle doit faire. C’est tout à fait vrai. Mais la justice est devenue discutable.

Elle est rendue par des magistrats politisés – du moins certains d’entre eux. Le «mur des cons», sur lequel était inscrit le nom de politiciens de droite, n’est pas une invention.

Dans cet ordre d’idées, alors que des batailles rangées ont lieu tous les jours, sans que les agresseurs soient punis, on apprend que Nicolas Sarkozy, lui, a été condamné à un an de prison ferme. Je suis incapable de dire pourquoi, comme la plupart de nos compatriotes.

Nicolas Sarkozy, récemment encore président de la république, risque d’être enfermé dans un cachot avec des voyous!

Le fondement de cette situation réside dans la loi.

Les magistrats répondent: «Nous ne faisons qu’appliquer la loi.»

Et c’est vrai. Mais il est vrai aussi que les magistrats ont une grande faculté d’appréciation.

Ils prononcent des jugements qui vont de l’arrestation et la condamnation à la relaxe pure et simple. Il est vrai que ce ne sont pas les magistrats qui ont inventé les droits de succession qui enlèvent la moitié de votre patrimoine, ce sont les politiciens. Donc le jugement que l’on porte sur les juges ne doit pas être catégorique.

On dit aussi que les magistrats sont réticents à prononcer des peines de prison car les prisons sont déjà surchargées – de façon parfois scandaleuse, les détenus étant entassés dans de petites cellules, ce qui est contraire aux droits de l’homme que, paraît-il, garantit la république. À cela les pouvoirs publics répondent: «Des prisons, on va en construire.»

Très bien.

En réalité, je n’ai pas entendu dire qu’il en ait été construit beaucoup. Pour édifier une prison, il faut prendre la décision, trouver terrain et crédits, et se mettre à l’ouvrage. Bref, il faut des années!

Les forces de l’ordre doivent aussi se soucier de leur intérêt. Je prends un cas concret qui se reproduit souvent.

Idriss, dont on ne connaît pas la nationalité ni la provenance, a balancé une carcasse de frigidaire du haut du HLM où il habite.

l pouvait tuer. Néanmoins les policiers dans des circonstances de ce genre, doivent appréhender le criminel avec douceur. Surtout pas de brutalité.

Sinon, c’est l’avertissement, le blâme et même la révocation.

Donc si vous êtes policier, épargné par le pavé qui, vous étant destiné, ne vous pas atteint, vous devez «comprendre».

Vous pouvez même demander à l’auteur de ce geste criminel des nouvelles de sa grand-mère restée au pays, mais dont on attend l’arrivée prochaine, en même temps que la troisième épouse d’Idriss.

Le sénateur Retailleau, un homme de bon sens, vient de faire quelques propositions de fermeté, qui sont les bienvenues, mais ce ne sont que des propositions.

Il y aurait pourtant un moyen prévu par la loi qui pourrait être possible: c’est «l’état de siège». Mais l’état de siège ne peut être proclamé que par le parlement, assemblée et sénat, et pour une période imitée, tant les politiciens redoutent un coup d’État qui leur ferait perdre leurs privilèges. Pourtant, en permettant la création de tribunaux à la fois militaires et civils, on accélérerait les jugements.

Des centres pourraient être créés qui, sans être des prisons, empêcheraient les récidivistes de déployer leurs activités.

L’état de siège s’inscrirait dans une série de mesures qui pourraient diminuer l’insécurité.

Mais, pas d’illusion, la politique «nationale» menée depuis des années, favorable à l’immigration, je veux dire à «toute la misère du monde», a créé une situation qu’il est objectivement impossible de supprimer dans un délai prévisible. En étant honnête avec moi-même comme avec les lecteurs, et en tenant compte de tous les facteurs, je pense donc que les conditions ne sont pas encore réunies pour que la situation s’améliore.

Au train actuel, il est permis de penser qu’une majorité finira par se former pour qu’enfin l’autorité s’impose.

Mais il faut et faudra encore attendre et comptabiliser dans cette attente, les crimes, délits et toutes autres agressions qui font le malheur quotidien des braves gens, cette vaste majorité qui subit ce que la minorité politicienne et de gauche fait subir au plus grand nombre. C’est ce qu’on peut appeler globalement l’anarchie qui détruit notre pays et gâte la vie de chacun d’entre nous.

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Comments (1)

  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Une réponse à la question de l’article.
    Il est déjà très tard, une grande partie du corps social français a été infectée par un virus autrement plus puissant que celui de Wuhan.

    Le pronostic vital est engagé.
    Mais une solution pourrait se profiler en 2021 , BLM 1) et si jamais cela marchait BLM 2).
    Et un bonus pour l’économie et les finances car BLM 3) aura aussi été éjecté

    1) BLM: Balance Le Macron
    2) BLM: Bravo La Marine.
    3) BLM: Bruno Le Maire

    25 mars 2021 à 13 h 48 min

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