Ras-le-bol

Ras-le-bol

Ras-le-bol des grèves, des interdits en tout genre, de la théorie du genre qui amène à l’Assemblée des noctambules de plus en plus azimutés ! Un voisin, un vrai travailleur, se plaint. Chaque année au mois de mars, il a besoin de se reposer et prendre l’air. Cela fait maintenant 4 années qu’on lui pourrit la vie. En 2019, les grèves des transports ; en 2020, arrivé à la station de ski, ordre de la quitter le lendemain à cause du Covid, les camions étrangers continuant à rentrer en France ; en 2021, les remontées mécaniques sont interdites (toujours le Covid), par contre on peut s’entasser dans des minibus pour remonter la pente et contourner l’interdit administratif ; en 2022, grève des raffineries, voyage en train, mais il attrape le Covid alors qu’il a été vacciné ; en 2023, il a toujours son billet de train en poche et la voiture de son frère en option, sans savoir que choisir à quelques jours de son départ. Bien entendu, il a payé tout d’avance, voyage et prix de sa location sur place. Pendant ce temps-là, à Paris, le printemps arrive avec les manifestations incessantes et les embouteillages programmés. Le sol est défoncé partout, l’air charrie de la poussière en quantité, l’allergie saisonnière s’en donne à cœur joie. Des Français âgés viennent chercher leur pitance dans la poubelle de boulangers, eux-mêmes en difficulté financière. De pseudo-travailleurs occupent nos rues en organisant des chorégraphies avec jeunes femmes en uniforme folklorique pseudo-communiste. Défendent-ils les gens qui travaillent ou les couleurs du parti des soviets et la réélection de leur leader ? Alors que fait le nôtre ? Il poursuit le programme de déshumanisation de la société française. Me dira-t-on que tout cela soit normal ?

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