Un bel exemple de sectarisme juridique

Un bel exemple de sectarisme juridique

La présence sur le « mur des cons » de parents de victimes, violées, torturées, assassinées, est le symptôme le plus inquiétant et le plus signifiant de cet aveu de sectarisme juridique qui devrait être sanctionné par l’interdiction à vie de juger pour ses auteurs. C’est à disséquer et sociopsychanalyser par les philosophes, les juristes, les moralistes, les politiques. Pour moi, n’osant condamner les victimes, responsables comme la société du passage à l’acte du malheureux tueur à réinsérer et réhabiliter d’urgence, le parent de victime, qui veut la punition, devient l’ennemi n°1 surtout s’il fonde une association, une pétition, fait du bruit mais est intouchable. Et l’ennemi ne peut être que con ou salaud…

Jacques Costagliola

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Comments (4)

  • BRENUS Répondre

    Puisque ces grands démocrates que sont les auteurs du mur des cons, considèrent comme cons les parents de victimes atrocement tuées, il ne reste plus à ces derniers, s’ils sont croyants, qu’à demander au Très Haut qu’Il applique la peine du Talion. Si les insulteurs de victimes voyaient leurs proches touchés pareillement dans leur chair et apprenaient par ailleurs qu’ils figurent à leur tour sur un autre “mur des cons”, sur qu’ils seraient ravis d’être en bonne compagnie. En attendant, il n’est pas interdit d’édifier , à titre privé (argument foireux avancé par les artistes du “mur”) ,un mur des empafés pour y placarder, entr’autres, ceux qui ricanent de la mort des autres.

    4 mai 2013 à 17 h 59 min
  • Philippe Lemaire Répondre

    Ce sont les dignes héritiers de Sartre qui traitait de ‘salauds’ et de ‘chiens’ tous les anti-communistes.

    3 mai 2013 à 9 h 42 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Sartre était le chien, il a crevé n’en parlons plus.

      3 mai 2013 à 12 h 08 min
  • DUBOS Répondre

    On ne peut étre plus précis ni plus juste
    Ces S…..le sont encore que ceux qu’ils auraient a “”juger”” si on peut encore dire que juger la victime responsables de sa mort est un jugement

    2 mai 2013 à 16 h 07 min

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