Vaccins

Vaccins

Le général Dubois ne m’en voudra pas, j’espère, de ne pas être entièrement d’accord avec son analyse sur les vaccins (n°1291).

En effet, il «constate simplement qu’hormis le recours au vaccin, personne ne connaît le moyen de vaincre l’épidémie». Sans être médecin non plus, je constate pourtant qu’il existe d’autres moyens qui auraient dû être employés dès le début : par exemple soigner les malades, et les isoler afin d’éviter la contagion. Pour traiter les malades, il existe plusieurs médicaments bien connus, mais ils ont été interdits par nos gouvernants pour des raisons dont certaines semblent évidentes (permettre aux grands laboratoires de vendre leurs vaccins, par exemple).

Les fameux vaccins, que l’incroyable propagande des grands médias cherche à nous imposer, sont des produits nouveaux, issus de techniques nouvelles aux conséquences mal connues, dont les essais ne se termineront en principe qu’en 2023. Le principe de précaution, invoqué pour interdire la chloroquine, un médicament pourtant très connu, bon marché, utilisé depuis 70 ans et en vente libre jusqu’à son interdiction en janvier 2020, devrait à plus forte raison inciter à attendre que les essais de ces nouveaux vaccins soient terminés, et ces nouveaux produits validés.

Voir à ce propos le livre de Xavier Bazin: «Big Pharma démasqué» (Éd. Trédaniel).

De même, des mesures évidentes auraient dû être prises au début, en février 2020: fermeture des frontières nationales, arrêt des liaisons aériennes avec les pays «à risque», comme la Chine, mise en quarantaine des arrivants éventuels, etc. , mesures qui n’ont pas été prises en France pour des raisons idéologiques.

Les Français, à l’esprit critique bien connu et au caractère réfractaire légendaire, doivent se poser et se posent souvent quelques questions.

Par exemple: pourquoi ces attitudes diamétralement opposées envers d’une part, des traitements utilisés de longue date et donc connus, que l’on interdit, et d’autre part des vaccins issus de techniques nouvelles aux conséquences mal connues, que l’on rend quasiment obligatoires ? N’est-ce pas curieux ?

Si tout se passe bien suite aux vaccinations massives pratiquées actuellement, il n’y aura pas de problème, sauf à vérifier que ces vaccins protègent vraiment, et permettent de supprimer les contraintes actuelles, d’éviter la contagion (toutes questions pour lesquelles on a du mal à obtenir des réponses claires). Il ne nous reste qu’à souhaiter que tout aille bien.

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