Violences : les enseignants sont victimes d’eux-mêmes

Violences : les enseignants sont victimes d’eux-mêmes

La semaine dernière, « Le Figaro » a jeté un pavé dans la mare : en moyenne, 60 enseignants sont victimes de violences chaque jour – hors vacances scolaires – selon le dernier bilan de l’Observatoire national de la délinquance (OND). L’étude – portant sur l’année scolaire 2005-2006 – précise que « la situation s’est dégradée depuis 2002-2003 ». 15 284 agressions sur des enseignants ont été recensées, et au total 24 284 faits sur toutes les catégories de personnel.

La violence dans les établissements scolaires franchit un seuil, comme dans l’ensemble de la société française. Quoique n’étant pas les seuls à être exposés, les enseignants sont en première ligne, avec policiers et gendarmes. Ils récoltent ce qu’ils ont semé, ayant été le fer de lance idéologique du laxisme soixante-huitard qui a contribué à cette situation. Les voilà qui, maintenant, se mettent à réclamer discipline, courtoisie, obéissance, eux qui avaient diabolisé l’autorité et la hiérarchie.

Mais ils ne dénoncent toujours pas le rôle de l’immigration – qu’ils ont soutenue – dans les violences à l’école. Pourtant, 5 % des établissements – où sont concentrés des élèves issus de l’immigration – sont le théâtre d’un tiers des faits. Quant aux autorités académiques, elles admettent seulement depuis peu que la violence dans les établissements scolaires est un gros problème.

Souvent, les chefs d’établissements ne font pas remonter ce genre d’information vers leur hiérarchie, de peur de freiner leur carrière. Les gouvernements successifs ont occulté ces violences. « Il faut briser la loi du silence », dit la principale du collège César-Franck à Amiens, Marie-Claude Hyppolite, bousculée, insultée et menacée, le 7 décembre dernier, par une élève : « Je vais te buter, toi et ta famille avec ma bande du quartier […], je vais te planter ».

Les statistiques elles-mêmes minimisent les violences, puisqu’elles ne prennent en compte que celles déclarées par les victimes, dont beaucoup se taisent : elles montrent seulement une évolution. Et encore. Entre 2000 et 2006, les faits de violence étaient répertoriés grâce à un logiciel nommé Signa. Mais, suite à la médiatisation de ses résultats, Signa fut boycotté par les chefs d’établissement. Depuis la rentrée 2007, Sivis (Système d’information et de vigilance sur la sécurité scolaire) l’a remplacé. Il ne prend en compte que les faits les plus graves. Pour éviter de stigmatiser certains collèges et lycées, Sivis s’appuie sur un panel national d’un millier d’établissements seulement.

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Comments (50)

  • Stéphane FEYE Répondre

    Nescio num propositum meum vobis placere possit. Attamen credo institutum sermone Latino uti debere. Sic optima qualitas paulatim redire potest. Illi qui pkura scire cupiunt adspiciant sedem interretialem SCHOLAE NOVAE: http://www.scholanova.be

    19 juin 2008 à 23 h 53 min
  • Anonyme Répondre

    Allez, ton Altesse, un bon coup de rum vieux!!

    Dis donc, ca serait pas encore tiré de ton protocole favori, ton truc? Ca en a le parfum, en tout cas… je veux dire l’arome. (c’est pas dur a trouver, tu ne cites que ca!)

    Best, SAS,

    Mancney

    19 mars 2008 à 23 h 47 min
  • sas Répondre

    a manceney…..sas boit que trop rarement……motifs :2

    1 incompatible avec le sport ….

    2Alcoolisme et corruption

     

     

    Considérez ces brutes alcoolisées stupéfiées par la boisson, dont la liberté tolère un usage illimité ! Allons-nous nous permettre et permettre à nos semblables de les imiter ? Chez les chrétiens, le peuple est abruti par l’alcool, la jeunesse est détraquée par les classiques et la débauche prématurée à laquelle l’ont incitée nos agents : précepteurs, domestiques, institutrices dans les maisons riches, employés, etc., nos femmes dans les lieux de plaisir ; j’ajoute à ces dernières les soi-disant " femmes du monde ", – leurs imitatrices volontaires en matière de luxe et de corruption.

    ca te dis quelque chose ????

    sas

    19 mars 2008 à 13 h 14 min
  • maxime Répondre

    je m’apelle frederic

    14 mars 2008 à 11 h 49 min
  • Anonyme Répondre

    SAS : " Il est clair que nul n’est responsable des situations trouvées…..mais tous sont coupables de les laisser perdurer."

    Tres belle phrase de Son Altesse. Le rum était bon?

    Best,

    Mancney

    13 mars 2008 à 13 h 46 min
  • Anonyme Répondre

    Bertrand, je vous offre une bonne biere quand vous voulez.

    Best,

    Mancney

    12 mars 2008 à 15 h 08 min
  • sas Répondre

    Bertrand sas t’adoube…..t’es un bon gars….bien lucide….aussi petite erreur decasting….après avoir vu dèrrière la barrière comment c’était , pourquoi n’avoir pas suivi une autre piste , afin de ne surtout pas être identifier au grouppe social dépeint et loudement responsable de 68 et de l autogestion de l’eradication nationnale ?

    Il est clair que nul est responsables des situations trouvées…..mais tous sont coupables de les laisser perdurer….

    ……mais avec tes anlyses au scalpele et tes solutions dynamique…sas t informe que tu as le profil idéal pour devenir chef dentreprise privé…..en terre de Gaule…

    sas te salutante.

    12 mars 2008 à 13 h 30 min
  • Bertrand Répondre

    Tous les profs sont gauchistes, tous les flics sont alcooliques, tous les militaires sont fascistes… je suis ex-enseignant et pourtant je suis loin d’être gaucho. Ancien ORSA lorsque j’ai rejoint les rangs de l’EN j’ai subit un choc (ou plutôt un traumatisme culturel), mont premier poste était à Clichy-sous-Bois, le chef d’établissement (une gauchiste mal-baisée) m’a fait comprendre que je devais noter les élèves de façon généreuse, je lui ai répondu qu’il aurait les notes qu’il mériteraient Je me suis engueuler avec la quasi-totalité de mes collèges, j’ai failli en pleine salle des profs faire avaler son bulletin d’adhésion à un syndicaliste particulièrement entreprenant (je ne me laisse pas racketter par le premier CGTiste venu).

    Cependant je m’insurge contre les clichés véhiculés par certains non-comprenants : en quoi un enseignant qui entre dans le système (qui est en place depuis 40 ans) est responsable du dit système ? En quoi un flic serait-il responsable des lois qu’il fait appliqués et qu’il n’a pas votés ? Vous attribuer à l’enseignement un pouvoir quasi-divin, il est soumis à nombre de contingences : les programmes scolaires et leurs accompagnements par exemple. Le prof ne choisi pas le programme il ne le discute même pas, il est dans l’obligation de l’appliquer (même si le programme est stupide), chaque ministre voulant faire sa réforme le programme change tout les deux ou trois ans. A peine a-t-on réussit a bien le maitriser qu’il faut tout changer. Un exemple concret en 4° la seconde guerre mondiale doit être traitée en 4 h et demie. Doit-on donner des devoirs à la maison ? Si oui on accuse le prof d’abrutir  les élèves, si non il les laissent feignasser. Pour le passage dans les classes supérieures ce sont les représentants des parents d’élèves qui sont majoritaires, et bien sûre ils ont tendance à considérer leur progéniture comme des génies.

    Pendant 40 l’irresponsabilité et la déresponsabilisation (il est interdit d’interdire) a jouer à fonds, tant que les élèves étaient encadrés par les familles et relativement normaux, lorsqu’il avaient certains repères cela tournait relativement bien et puis les temps on changé. Avec l’arrivée de la gauche au pouvoir l’irresponsabilité a atteint des sommets, on a tout excusé avec des arguments gauchistes bien foireux : c’est pas leur faute, ce sont des gamins, c’est pas bien méchant, ils sont victimes des méchants Blancs racistes, ils vivent dans une HLM, il sont immigrés ils comprennent pas la langue… Si les profs donnent le mauvais exemple il ne sont pas les seuls il y a une déliquescence de la responsabilité qui est générale. Un gosse qui sait que ces idoles sont des toxicomanes, des alcoliques, instables et violents (Joey Starr, Sami Naceri) veut les imiter ainsi le mauvais comportement devient l’exemple à suivre. Comment vouloir inculquer des valeurs civiques aux élèves lorsques les responsables politiques piochent dans les caisses publiques ouvertement et sans devoir rendre des comptes (Chirac) ; font espionner leurs concitoyens, sauter des navires et "suicident" leur vieux camarades, enrichissent leurs maîtresses (Mitterrand) ; vendent du snag contaminé (Fabius)… Après "il est interdit d’interdire" vient "responsables mais pas coupable".

    Une racaille qui n’est condamner qu’a trois mois avec sursis après sa 200° comparution immédiate pour des faits d’atteintes aux personnes sait parfaitement qu’il ne risque pratiquement rien. Pourtant il me semble que les prononcés des peines lors des comparutions immédiates ne sont pas du ressort des enseignants. Donc puisque déresponsabilisation il y a elle est largement partagée. Les chefs d’établissement ont une règle d’or : pas de vagues. Il sont prêt à mentir, menaçer, faire du chantage au sentiments, faire de fausse promesses pour que les enseignants et les élèves victimes de violence ferment leur gueule. Pour qu’un chef d’établissement reconnaîsse l’existance de problème il faut qu’il soit personnellement vicitme d’une agression maousse, sinon il aura tendance à nier l’évidence.

    Les flux migratoires n’ont rien arranger, les populations allogènes sont devenus ingérables, comment peut-on faire cours lorsqu’un quart à peine de l’effectif d’une classe comprend laborieusement la langue française ? La majorité du corps enseignant est composé de femme or le coran affirme que la femme est inférieur à l’homme et qu’il faut mépriser les mécréants, les chers mahométants se mettent à appliquer avec ferveur la consigne coranique.

    Il faut prendre des mesures de Salut publique : supprimer le statut de la fonction publique (qui fabrique des feignasses avec un emploi à vie), instaurer un service minimum en cas de grève, supprimer le collège unique, rétablir l’examen d’entrée en sixième, supprimer toutes les subventions non-justifiées dans l’éducation nationale, rétablir les châtiments corporels la vraie perpette et la peine de mort (seul forme de justice que la racaille comprend), rétablir la double peine et la dégradation nationale, créer une armée de milice (garde nationale) qui en cas de guerrilla urbaine aura la tâche de rétablir l’ordre en abattant les factieux.

     

     

    11 mars 2008 à 13 h 05 min
  • Jaures Répondre

    A Tucroy: Aider ne veut pas dire assister. Permettre à des jeunes aux réelles capacités d’accéder aux grandes écoles en leur donnant les moyens de rattraper leurs lacunes dues, non à leur manque de travail, mais à leur origine sociale (culture générale, langues vivantes,…) relève du bon sens. La seule raison qui freine cette politique est que pour les classes aisées, certaines places sociales doivent leur être attribuées en raison de leur origine. La politique de Sarkozy privilégiant la transmission des richesses aux riches héritiers (ce qui est loin de l’idéologie libérale) va d’ailleurs dans ce sens: chacun son dû et son savoir.

    A J.C.Lahitte: 60 agressions quotidiennes, 150 enseignants auteurs de violence. A rapprocher des chiffres globaux: 1 millions d’enseignants et 12 millions d’élèves. Certes, on peut rêver à une école sans incidents mais cela est sans doute utopique. Réglons déjà les problèmes sociaux et favorisons le travail en équipe et la formation continue des enseignants, nous jugerons après des problèmes résiduels qui, à mon sens, seront déjà bien moins nombreux.

    11 mars 2008 à 10 h 51 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    09/03/08    – "Les 4-Vérités" –

    On peut, comme l’ont fait certains "posteurs" disserter à perte de vue sur les causes de cette dégradation, non plus de la discipline, mais de la sécurité (pas seulement d’ailleurs pour les enseignants) dans les Etablissements scolaires.

    Même si "MAI-68" y est largement pour quelque chose, je crois qu’il faut remonter à l’époque où l’INSTRUCTION PUBLIQUE, celle qui datait de JULES FERRY, avec les HUSSARDS NOIRS DE LA REPUBLIQUE qui s’était donné pour but d’instruire les élèves, de les former à un métier, à commencer par des métiers manuels, tout en leur dispensant une morale, laquelle, si elle ne se voulait pas "chrétienne" demeurait une morale traditonnelle que des générations d’élèves ont appris, et se sont eux-mêmes efforcés d’enseigner à leurs propres enfants. Tout a changé avec L’EDUCATION prétendue NATIONALE. née de la "LIBERATION".  Le changement de "raison sociale" n’était pas neutre, les "cocos" et les "maçons" (rappel : ceux-ci avaient été écartés sous PETAIN !), ont voulu prendre à leur compte une fonction qui est d’ABORD du ressort des PARENTS, en prétendant eux-mêmes assurer l’EDUCATION des enfants qui ‘étaient confiés à l’ECOLE. Tout comme cela se pratiquait en UNION SOVIETIQUE.

    Mais il aura fallu attendre "MAI-68", et son "IL EST INTERDIT D’INTERDIRE", pour que le désordre (venu des étudiants soixante-huitards) s’installe progressivement de la Fraculté à l’école primaire, et même, aujourd’hui, à la Maternelle, une "maternelle" que je ne sais plus quel inspecteur de l’EDUCATION NATIONALE, dans un pamphlet protégé par un courageux anonymat (cela devient à la mode chez les enseignants qui se défoulent dans des livres !), VEUT CARREMENT SUPPRIMER sous prétexte qu’elle ne défend pas; elle aussi cette "’EGALITE DES CHANCES" qui est devenue la tarte à la crème, y compris chez certains "posteurs" ci-dessus.

    Progressivement, l’indiscipline s’est installée partout dans l’école, celle qui consiste à ne plus respecter ni les "enseignants" ni ses condisciples, ni, bien sûr, ses parents. A propos de "parents", il faut dire que l’augmentation du nombre de familles sans père (en attendant la généralisation des familles "Benetton", unisexe, si l’on préfère !), recomposées et même décomposées, l’interdiction faite tant aux parents (dont se plaignent particulièrement les pères d’origine maghrébine que leurs fils ne respectents  plus !) qu’aux enseignants de la moindre "correction", l’avènement de l’enfant-roi, de l’enfant-consumériste,  n’a pas facilité leur tâche.

    Aujourd’hui, il me paraît vain de faire le reproche de cette situation aux enseignants qui, on le voit, en sont de plus en plus les victimes. Mais aussi de les plaindre. Sinon d’avoir mérité, par leur laxisme grandissant, d’être arrivé à devenir la cible de leurs élèves. Eux qui sont toujours prompts à faire la grève pour défendre des avantages acquis ou s’opposer à la moindre réforme, sont responsables de leurs syndicats, et même de l’attitude de l’EDUCATION NATIONAKLE sur un sujet réccurrent ! Les Syndicats tout puissants au sein de l’EDUCATION NATIONALE, n’ont rien fait pour réclamer, voire même imposer, à leur Administration un changement des régles touchant à la discipline    –  je devrais dire à la sécurité  –   dans les Etablissements scolaires. Résultat : les enseignants ne se sentent plus soutenus par leur hiérachie, ils n’osent plus sanctionner leur élèves aussi bien par des mesures de discopline adéquates, que par des notes, et même de simples remarques emprintes d’une certaine fermeté. De son côté, l’EDUCATION NATIONALE où le mot d’ordre général (comme d’ailleurs dans les autres administations) est "SURTOUT PAS DE VAGUES", ne fait rien pour soutenir les enseignants en difficulté, même quand ceux-ci sont victimes d’agressions particulièrement sauvages. On l’a vu avec le cas de la malheureuse Karen TOUTAIN-MONTIVET où, lors du procès de l’agresseur qui l’avait poignardée, l’EDUCATION NATIONALE avait préféré ne pas se porter partie civile. Sans parler du fait que, très probablement, elle ne comptabilise que les "violences contre les enseginants" les plus graves, et/ou les plus "publiques" !

    En plus des observations relevées ci-dessus, il y a à ce phénomène des causes profondes dont les responsables sont, primo, les gouvernants (TOUS les gouvernants, de gauche comme de droite) qui ont ouvert largement les portes à une immigration de moins en moins assimilable et ont pondu des lois "discriminatives positives" pour favoriser les allogènes au détriment des indigènes, deuxio, les Assoces de tous poils, à commencer par celles dont le fonds de commerce est la lutte contre le préttend racisme (tout est "racisme" pour elle dès qu’on fait mine de toucher un poil à leurs "protégés" !)et les discriminations ( "négatives", celles-là !), qui donnent toujours raison à un enfant d’origine allogène par rapport à un enfant d’origine indigène, et, bien entendu, tous les idiots utiles qui considèrent que l’on n’en fait pas assez pour les élèves issus de l’immigration, qu’ils ont des "droits sur nous" du fait de toutes les "misères" que l’Etat colonial français a fait subir à leurs parents ou à leurs grand’parents, et bien entendu, de la précarité de de leur situation, de leur dépaysement, etc. .tertio, le fait qu’une large majorité d’élèves allogènes se sentent largués ‘faute, sans doute, de la part de l’Ecole de n’avoir pas su tenir compte d’un fait essentiel, c’est que le Français n’est pas leur langue maternelle et que, chez eux, leurs parents la maîtrisent peu ou mal, voire même pas du tout, faute, surtout, la plupart du temps de vouloir faire les efforts nécessaires supplémentaires qu’ont fait TOUS les enfants d’immigrés, de toutes ethnies et de toutes nationalités, dans le pays d’accueil pour rattraper leur retard ou leurs handicapes d’origine (dûs à la langue, à la différence de milieu social, à la culture, au dépaysement, etc.) (1), et, surtout, de vouloir s’assmiler, sans parler du fait que, contrairement à leurs parents ou gand”parents, ils répugnent au travail, véritable facteur d’intégration, voire d’assimiltation, préférant généralement profiter   – comme leurs "grands frères" –   à peine seront-ils sortis de l’âge scolaire, des revenus de toutes sortes de trafics (le "business" comme ils disent en toute impunité !) qui arrondiront largement les indemnités et allocations en tous genres auxquelles ils savent que leur statut (je n’ose dire "privilégié") d’issus de l’immigration leur donnera droit. Pourquoi voudrait-on, sachant cela, qu’ils s’intéressent à l’Ecole, qu’ils ne s’y ennuient pas ? Et, on le sait, en classe, l’ennui est la source de tous les débordements.

    Quelles solutions ? Outre des sanctions plus sévères (allant jusqu’à l’expulsion du Territoire (la seule "peine" qu’ils craingent véritablement) vers le pays d’origine de leurs parents (NB. ceux-ci ont pour la quasi-totalité conservé leur nationalité d’origine, même quand ils sont devenus français, même quand ils sont "nés" français par le droit du sol, même quand ils sont devenus ministres !)(2)il faut évidemment renforcer les règlements de chaque établissement, sanctionner financièrement, et même pénalement, voire même expulser TOUTE la famille dès lors qu’ellle n’est pas capable d’éduquer ses enfants, ou exiger d’elle qu’elle renvoie dans sa famille restée au pays ceux qui ne respectent pas les lois ou les règlements. Il faut aussi commencer par le commencement en verrouillant sévèremebnt les portes de l’immigration, particulièrement en supprimant toute aide aux immigrés venus sans contrat de travail. Et, bien entendu, supprimer le DROIT DU SOL ET LA "DOUBLE NATIONALITE". Être français, cela se mérite par le respect de nos lois, de notre cultures, de nos tradition,s etc., certes, mais aussi par la volonté clairement exprimée de le devenir. Tout les reste dest du baratin. Et, surtout que les "droit-de-l’hommistes" et autres gens bien-pensants ne nous parlent pas de la misère de pauvres "déracinés". Outre que s’ils se sentent déracinés, ils ont le loisir d’aller se ressourcer ailleurs, chaque semaine, ils peuvent voir la misère de leur "frères" d’origine. Des gens dont tous les gens honnêtes peuvent admirer la dignité alors que, contrairement à nos "immigrés" (je ne parle pas là, bien sûr de certains "clandestins" qui, par définition vivent dans la cliandestinité où, généralement, ils sont exploités par des compatriotes !), ils vient dans des bidonvilles, sans eaux, sans électricité, sans égoûts. Et sans se révolter contre leurs gouvernants qui vievent dans l’opulence, sans même réclamer .. Certes, ces mesures seront longues, et même difficiles à mettre en oeuvre, et nécessiteront une législation adaptée. Mais je cains que si on laisse les choses continuer, ce ne soit plus 60, mais 100, 200, etc. enseigants qui seront victimes, chaque jours d’agressions violentes. Si c’est ce que l’on veut ….

                  Cordialement,  Jean-Claude THIALET

    P.S. Le chiffre de "soixante agressions quotidiennes" contre des enseignants est à rapprocher des 150 enseignants (cf "LE FIGARO" du 08/03) qui, chaque année, sont eux-mêmes sanctionnés pour diverses sortes de "violences". Violences géréralement dûes au fait qu’ils "craquent". Les statistiques ne font pas état du nombre d’enseignants qui, soumis à la pression permanente de leurs élèves sans parler de celle de leur hiérarchie, et des … parents) sombrent dans l’alcoolisme, la dépression, allant même jusqu’au suicide ou à la tentative de suicide. Sans parler de la démisssion. On a "médiatisé" quelques suicides au Centre de Recherche de RENAULT à Guyancourt, mais jamais, curieusement, ceux d’enseignants. Pas davantage, d’ailleurs, de … policiers ! Bizarre …

    (1) ce qui en fait généralement des déracinés et des parasites !

    (2) pour qui en douterait, je citerai deux exemples. Celui de Rama YADE qui est aussi sénégalaise et qui a annoncé, lors d’un voyage dans son pays d’origine, ses préférences en matière de pays, sinon de nationalité, y compris celle de se faire enterrer au Sénégal. Et celui du jeune tennisman TSONGA qui, lors d’un récent voyage au Congo, a réclamé la nationalité congolaise de son père, ce qui lui a été accordé sur le champ l .Etant donné que l’intéressé est domicilié en … Suisse, il est permis de supposer que ses motivations n’ont pas de raisons fiscales. Quant aux amateurs de football, ils se souviendront des déclarations, elles aussi "préférentielles", de "leur" champion (un champion qui doit tout à la FRANCE !), Zinedine ZIDANE lors d’un voyage triomphal en Algérie …

    9 mars 2008 à 22 h 51 min
  • Barthélémy Répondre
    Les ravages de la fièvre égalitariste ou l’histoire de l’homme sans maître.
     
     
    On s’aperçoit aujourd’hui, pour qui est encore capable d’analyser le réel sans le secours de brigades de sociologues endoctrineurs ou de psychologues organisés en cellules, que la démocratie égalitariste est une colossale imposture. Car après tout, comment respecter encore le Maître puisqu’on lui a donné mauvaise conscience, comment respecter encore le maître puisqu’àprès tout  " il n’est qu’un égal à moi-même" pense  l’élève. Car l’égalitarisme est vide de respect, car l’égalitarisme est vide d’admiration. L’égalitarisme est malsain parce qu’il n’a pas d’autre ressource que de rogner jusqu’au néant les différences humaines.
     
    Finalement, les maîtres sont comme les pères permissifs vis-à-vis de leurs enfants: ils ne sont plus admirés, ni aimés, mais plus généralement méprisés parce qu’ils n’imposent plus rien. Temps des assassins du Père = temps des psycho-sociologues . Temps des assassins du Père = temps des policiers. Temps des assassins du Père= temps des cogneurs du Maître.
     
    Au nom de l’égalité vous ne serez plus quelqu’un avec sa singularité à assumer, mais n’importe qui, une espèce d’homme ayant des droits en tant qu’espèce tout simplement.
     
    Au non de l’égalité l’élève ne dira plus" j’ai échoué", je dois faire un effort et travailler plus, mais " je suis une victime ". Il sera d’ailleurs assisté par les troupeaux bêlant des sociologues ces " mutins de panurges" afin de culpabiliser la société tout entière.
     
    Ne nous y trompons pas, la tolérance dans le domaine de l’éducation, cette lâcheté sous couvert d’humanisme, n’est rien d’autre que ce grand mot qui sert surtout à rendre plus répugnante l’égoïste réalité qu’il recouvre, celle de la démission pure et simple. Mais,commme le bon sens l’impose, les constructions les plus solides sont pyramidales. L’exemple, l’autorité, la morale doivent toujours venir d’en haut et de cela, il y aurait évidemment aussi beaucoup à dire.
     
    Quand il n’y a plus de vrai maître, toute la société est d’esclaves, mais d’esclaves tristes et vides seulement et uniquement obsédés par LEUR pouvoir d’achat et LEUR niveau de vie.
    Il est d’ailleurs symptomatique de l’égalitarisme que sa dernière bonne trouvaille est le sondage. Celle des moyennes, des ressemblances, des statistiques. "Les jeunes pensent que"… " Les femmes croient que"… comme s’ils étaient encore majoritairement capables de penser autre chose que ce que le politiquement correct leur a inoculé à dose massive pendant des décénnies.
     
    " Le détestable égalitarisme étouffe de son épaisse carapace de torchis humide les braises de la vie, et qu’est-ce que la vie si jamais rien n’en rappele le prix " ? disait Jean Cau.
     
    Il est impossible par définition de s’égaler par le haut et cela implique que les sociétés égalitaires se nivellent exclusivement par le bas.
     
    Dès-lors,que pouvons-nous faire me direz-vous? Absolument rien, sinon attendre de toucher le fond afin de rebondir. En cela, je suis plutôt optimiste.
     
    Barthélémy.
    9 mars 2008 à 16 h 50 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    à Fred Engels

    Friedrich Engels était le comparse de Karl Marx, auteurs tous deux de théories frelatées qui ont causé plus de 100 millions de morts. Et le bilan n’est pas terminé, hélas…

    Ces théories ont certainement retardé l’évolution du genre humain de plusieurs siècles et ont coûté un argent fou pour les contenir. L’éducation nationale française a beaucoup puisé dans ces  théories  et des générations entières de jeunes français en ont été intoxiqués.

    Vous pouvez légitimement être fier de votre homonymie, quoique je pense que votre vrai nom soit probablement différent. 

     

    Friedrich = Frédéric en français

    9 mars 2008 à 10 h 16 min
  • Anonyme Répondre

    @ Jaurès
    "Ceux qui n’appartiennent pas à ces catégories doivent donc être aidés" – vous avez tout dit en peu de mots. Vous n’envisagez que de les aider, de les assister, alors qu’il faudrait les encourager, les éduquer, leur donner l’exemple en vue de … ce qui n’est pas pareil. Ce n’est pas en spoliant et décourageant ceux qui réussissent, quitte à les décourager au détriment de tous, que vous parviendrez à enrichir durablement les pauvres qui ont réellement envie de changer de condition, c’est en leur apprenant à s’enrichir en créant eux-mêmes des richesses, par leur travail et leurs efforts personnels. Et ne parlez pas des déshérités dans l’incapacité de changer leur sort, c’est une autre affaire, bien que l’amalgame soit commode pour vous. Comme celui qui fait voir (avec davantage de jalousie que d’altruisme) dans ceux qui possèdent que des profiteurs. Il en existe sous tous les régimes et c’est aussi une autre affaire.
    @MOUTOUNET
    "tous les enseignants sont victimes de certains d’entre eux" – Tout à fait d’accord avec vous. Encore l’effet de cet amalgame qui plait tant aux irresponsables ultras de tous bords.

    9 mars 2008 à 10 h 04 min
  • MOUTOUNET Répondre

    Le titre de l’article: “les enseignants sont victimes d’eux-mêmes” est inexact. Il devrait être : “tous les enseignants sont victimes de certains d’entre eux”.

    8 mars 2008 à 21 h 07 min
  • Anonyme Répondre

    ENGELS : "Bien entendu qu’il faut des moyens MASSIFS pour l’Education Nationale, seule possibilité d’échapper à la décadence intellectuelle inéluctable de la France, programmée par la droite et le patronat…"

    Dans d’autres pays de la CEE (Ireland, Ecosse, Finlande, etc.) ils font beaucoup mieux avec des budgets de l’Educ Nat bien moins importants.  C’est dingue cette mentalité de croire qu’en augmentant par milliards les moyens, on va faire mieux….

    On fait mieux en instaurant la discipline. Point.  C’est ce qu’ont fait ces pays.  Ecoles mixtes, mais pas de mixité dans les classes.  Retour des valeurs de l’effort et des récompenses.  Résultat, explosion des élèves qui réussissent.  L’Irlande a plus de diplômés universitaires que l’UK, et les élèves Finlandais ont le meilleur niveau d’Europe dans toutes les matières.  Et pas de conflits avec les profs.

    8 mars 2008 à 20 h 18 min
  • olivier Répondre

    Je ne vais pas verser une seule larme sur les enseignants. Comme beaucoup l’ont dit justement sur ce forum, ils ont totalement mérité ce qui leur arrive, par leur veulerie, leur lâcheté intellectuelle, leur intolérance envers tout ce qui ne pensait pas comme eux ("le fascisme ne passera pas !"), leur conformisme moutonnier de sous-intellectuels à la pensée formatée par les slogans et les idées à la mode. Alors quand ils se font insulter à longueur de journée par les produits d’une société démente et multi-culturelle, c’est la conséquence directe de leur propre action menée pendant des décennies qu’ils éprouvent. On est toujours puni par là où on a péché.
    Mais je ne vais pas m’en réjouir, car les premières victimes sont les classes populaires françaises de souche qui vont en souffrir puisque le moyen de les instruire sombre peu à peu dans un chaos dément, à l’image de toutes les institutions du pays.
    Je ne me fais aucun illusion sur la capacité de réaction des français. La plupart des gens sont totalement incapables de penser par eux-mêmes ou même s’ils le font, de remettre en cause sérieusement les partis de pouvoir et du système.

    8 mars 2008 à 18 h 58 min
  • Jaures Répondre

    A Hans: Il ne vous est jamais venu à l’esprit que la perspective de devenir homme d’affaires pouvait ne pas intéresser quelqu’un ? Je ne me lamente pas de ne pas être riche. Ma position de "cadre moyen " me convient étant attaché à m’occuper de mes proches et à participer à la vie collective. Je conçois qu’être riche soit le but de certains. Si ils y parviennent en respectant la loi tant mieux pour eux.

    A Tucroy: Ce que j’écris n’est pas une "ineptie" mais un fait: ceux qui réussissent sont les enfants d’enseignants (parce qu’ils connaissent les filières, les méthodes et valorisent l’enseignement et la culture) et de cadres qui assurent de bonnes conditions matérielles d’étude. Ceux qui n’appartiennent pas à ces catégories doivent donc être aidés par une offre scolaire plus large (sorties culturelles, voyages à l’étranger, cours de soutien, places réservées dans les grandes écoles, bourses,…). Là où cela est mis en place, cela marche et donne à la France des cadres de haut niveau.

    A Grutjack: Marx n’a jamais écrit "à chacun selon ses besoins", ce serait, comme vous le dîtes, une absurdité. Ce ne sont pas les 7% d’enfants d’ouvriers dans les universités qui en ont fait baisser le niveau mais les investissements de l’état en sa faveur, inférieurs à ceux des autres pays comparables. Les meilleurs élèves choisissent les grandes écoles qui sont trop chères pour les plus démunis (8000 euros pour HEC: quelles familles peuvent payer une telle somme aujourd’hui ?). Les bons élèves issus des banlieues, et ils sont nombreux, devraient bénéficier de bourses conséquentes pour mener à bien leurs études: ce serait un investissement pour l’avenir.
    Petite précision, Chopin, Wagner, Haydn et bien d’autres n’étaient pas fils de musiciens: rien n’est écrit.

    8 mars 2008 à 18 h 40 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    A Jaurès,

     "7% des enfants d’ouvriers accèdent à l’université et moins de 3% aux grandes écoles".

     Je ne connais pas l’origine de ces chiffres mais ils sont probablement assez exacts.

    De même une proportion énorme (+ de 50% je crois) des élèves entrant à l’X (Ecole Polytechnique de Paris) sont, soit fils, soit petit-fils, soit neveu soit frère ou sœur de polytechnicien(ne).

    Cela n’invalide nullement l’affirmation de l’existence en France d’une authentique égalité des chances. Cette égalité a pour pire ennemie la gauche et ses lubies d’un autre âge, qui dégradent terriblement toutes les conditions environnementales culturelles nécessaires à tout enfant pour profiter de sa chance.

    Il faut savoir par exemple que l’intelligence se forme avant l’âge de 5 ans. Si pendant ces 5 années cruciales, l’enfant n’est pas énormément suivi par des parents déjà eux-mêmes suffisamment disponibles et  instruits pour lui montrer un intérêt de tous les instants et lui prodiguer jeux et amusements élaborés, activités équilibrées, il aura effectivement un handicap culturel majeur par rapport à d’autres qui en bénéficient. Il est à remarquer que cette attention parentale ne se décrète pas et qu’aucun programme gouvernemental aussi coûteux soit-il, ne peut la garantir…

    Voir les deux livres de poche remarquables écrits par un immigré malgache et sa femme alsacienne qui ont démontré que l’on peut obtenir des résultats stupéfiants (bac à 12 ans etc.) en s’occupant beaucoup de leurs  2 enfants : « La méthode Arthur » et de Joana Ramiandrisoa, ainsi que le livre qui fait suite.

    Tout ce que fait la gauche ou presque va à l’encontre de cette nécessité infantile. Les beaux slogans « Libérer la femme », «  Education pour tous », « Non aux racismes », « Non à l’homophobie », etc., que nul ne peut dénoncer (et très peu songent à le faire, assez heureusement), sont en fait pour la gauche autant de chevaux de Troie, qui poussent des agendas annexes pervers destructeurs de l’Egalité des chances.    

    La substance éducative inculquée à un enfant entre 0 et 12 ans, même normalement scolarisé,  provient à plus de 90% de sources non-scolaires, tant est prépondérant l’univers familial et social. L’Education Nationale de 2008, est en bonne partie une monumentale usine à générer des milliards d’heures perdues, voire à dés-éduquer activement et sciemment. Certains établissements ou classes s’apparentent à l’école du crime.  C’est pourquoi il est de plus en plus envisagé par les parents de faire l’école chez eux.

    Voir: http://ecolesdifferentes.info/annuaire.htm  , et bien d’autres sites.

    L’Education Nationale perd pied. Elle a trop déçu et désormais les jours de son omniprésence sont comptés.

    On se rapportera aussi à l’affaire Laurent LAFFORGUE, un des meilleurs mathématiciens du monde, passionné de méthodes éducatives, membre du HCE (Haut Conseil de l’Education) créé par J.CHIRAC, auquel avait été demandé en 2005 un avis éclairé sur les moyens d’améliorer  rapidement les résultats de l’Education Nationale. La simplicité de bon sens des recommandations préconisées par cet expert (en gros retour à toutes les méthodes appliquées avec grand succès en 1922), a précipité la fin de son mandat au HCE. Toute vérité n’est pas bonne à dire.

    LS

    8 mars 2008 à 16 h 37 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<Plus facile effectivement de sous employer des abrutis… aux cerveaux lavés par TF1…  N’est ce pas Messieurs les patrons si écrasés de charges…>>

    Il est vrai qu’il faut être abruti pour regarder TF1, mais personne n’oblige personne…

    Au lieu de perdre son temps, si on en a de trop, il vaudrait mieux s’éduquer et éduquer ses enfants sans attendre que l’état ou plutôt les contribuables doivent s’en occuper.

    Quant aux patrons foutez leur la paix, ils paient assez de leur vie et temps libre pour faire marcher leur entreprise. Pour eux TF1 c’est … pas le temps, connais pas…

    Lieber Herr Engels bougez vous le derrière et faites quelque chose d’utile pour améliorer l’ordinaire de vos concitoyens au lieu de distiller votre fiel.

    8 mars 2008 à 14 h 28 min
  • Gérard Pierre Répondre
    ENGELS Frédéric.
     
    Votre goût pour le sens des nuances m’impressionne : « Supprimons intégralement le budget de l’armée – augmentons l’IS de 200% (il leur en restera toujours trop) et transférons cet argent massivement vers l’Education Nationale. »
    On croirait entendre un cacique attardé du front populaire auquel personne n’aurait encore révélé l’ampleur du cataclysme qu’il généra en mai et juin 1940. Votre conception du « socialisme à la française » bute à l’évidence sur une cécité analytique sans remède.
    L’éducation nationale ne manque pas de moyens. D’un point de vue strictement financier, CHAQUE ETABLISSEMENT DE L’ ENSEIGNEMENT SECONDAIRE EST REMARQUABLEMENT GERE. Les chefs d’établissements et leurs agents comptables font un travail remarquable pour jongler entre les budgets alloués, les budgets sollicités et les budgets refusés. Ils sont capables de justifier le moindre centime de recette et de dépense. Chaque heure, que dis-je, … chaque demi heure même, d’enseignement est comptabilisée, dotation horaire globale oblige. Aucun dépassement n’est effectué. A l’ère de l’informatisation, on pourrait imaginer tout tranquillement qu’il suffit d’additionner toutes les comptabilités des milliers d’établissements pour obtenir une consolidation précise de l’ensemble ! ! ! ………… et bien que nenni !
    Il existe une zone très nébuleuse entre le sommet de la pyramide « éducation nationale » et la base si rigoureusement gérée. Des milliers de « postes » sont occupés et rémunérés dans une opacité totale, sauf pour le SNES qui dans le cas contraire n’aurait pas manqué de déclencher moult grèves en alléguant tous ses poncifs habituels sur la transparence, la démocratie, l’égalité des chances, les programmes, et j’en passe. C’est dans cette zone trouble que « l’altruiste » ENGELS Frédéric entend injecter la totalité du budget de la Défense Nationale afin d’accroître encore le trésor de guerre de ses amis « socialistes à la française ».
    Pathétique ! ……… décidément le droit de vote devrait, comme le permis de conduire, être conditionné par un minimum de connaissances objectives afin de réduire le nombre d’accidents de conduite civique en éliminant les chauffards de la citoyenneté.
    8 mars 2008 à 14 h 09 min
  • no.second.to Répondre

    Le budget de l’ éducation nationale est déjà le plus important de France et quand on voit les résulats de nos chéres têtes blondes(?),il y a de quoi ses poser des questions sur la capacité professionelles de leurs mentors.Celui de la Défense est en chute libre,il est vraiq ue les résulats ne sont pas fameux non plus,un parte-avions qui des ronds dans l’eau en rade de Toulon et des militaires suelment capables de faire eux aussi des ronds mais de jambe dans les ambassades;les dentelles ne sont présentes sur les uniformes mais la guerre du même nom toujours dans la mentalité de nos officiers galonnés tout juste bon à boire le thé prés de l’ école militaire.

    Les enseignants récoltent ce qu’ ils ont semés,la mondialisation en bas de chez nous,car lorsque j’ écris en bas de chez nous , je ne me trompe pas !

    Nos chers donneurs de leçons et moralisateurs du corps enseignat se garde bien de mettre leurs chers  rejetons dans les écoles de ZEP où leurs nouveaux collégues enseignent mais dans des lieux bien protéges de toute ingérence tiers-mondiste et parfois certaines enseignantes demandent d’ accompagner leur progéniture dans ces mêmes zones libres.

    Ils sont ainsi instituteurs de méres en filles et petite filles égrénant leur peu de savoir qu’ ils leurs restent de leur prédecesseurs "Les Hussards Noirs de la République" qui eux ont su insufler à toute une génération d’ enfants souvent illétrés l’ amour de la langue française et du travail bien fait alors que le nombre de ces éléves étaient souvent 35 par classe mais à cette le socialisme à la française tel qu’ il existe de nos jours et qu’ il ne fasse son travail de destruction massif ! En imputant aux français actuels les errements de leurs camarades des années passées qui lancérent la France dans un devoir de civilisation envers les peuples opprimés par des roitelets locaux.

    Miantenant les héritiers de  ces socialiste là viennent nous faire des reproches et  polluer l’esprit e nos enfants pas l’ entre-mise de leurs plus fidéles alliés ,j’ ai nommé la corparation des instituteurs qui non seulement ne se contentent plus d’enseigner mais aussi d’ éduquer d’ où le changement d’ensignement public en éducation nationale .

    Ils ont lamantablment échoués dans tous les niveaux et diverses niches de ce vaste programme que les décideurs tel que Madame Dolto et autres pédo-pschycologue du meme acabit nous l’imposaient par professionnels de la garde interposés.Le traumatisme de cet échouage lamantable de la baleine éducative commence en créche pour mieux se continiuer dans les cycles dit supérieurs amis pour cacher ce ratge grandiose ,on donne le BAC à tous les chiards lobotomisés de la république à quand les 100% pour 100% de réussite à ce même examen,on n’ y est pas encore mais le corps enseignant travaille pour , dormez serein brave bonobo et continuez à aimer le vert couleur d’ un avenir radieux.

    Messieurs Jaures et Fred, vous êtes les exemples parfaits de cette  immense chienlit qu’ est devenue la société française qui demande toujours plus au nom des droits de celui ou celui là mais qui n’ apprend plus le devoir à ses enfants.Alors continuez à tourner en rond comme des derviches tourneurs,vous serez bientôt en osmose avec la future sociéte que vos complices nous préparent et là Ô miracle les seules écoles qui auront le droit d’ exercer ,seront des Madrassas et je suis sûr que les conseils de parents d’élèves auront moins d’ importance et surtout de mauvaises influences.

    A quelque chôse ,malheur est bon

    Oncques ne faillit

    8 mars 2008 à 13 h 53 min
  • sas Répondre

    A gerard pierre ….bonne analyse factuelle…..applicable aussi au métier de la magistrature……où les même barrons locaux et habitués des prêtoires,croisent les détentrices du pouvoir judiciaire le samedi dans les allées des supermarchés…..au moment des courses familliales……inutile de te dire combien sa modère nos courageuses magistrates…..

    et de reprendre une 3 eme fois, mr le commisaire politique…..n’était-il pas interdit  d’interdir en cette époque glorieuse de 1968 ???? vous chanitiez mesieurs dames les cigalles de l éradication nationale…..soit….. et bien dansez maintenant

    nb) il eut été bien plus intelligent d’encourager les cours….. d’échec…….que les leçons de sports de combat poings pieds…. Mais les MAC qui nous gouvernent ont bien compris……puisqu’il favorise maintenant …..le golf au pieds des barres hlm…..

    sas

     

    8 mars 2008 à 12 h 38 min
  • fangio Répondre

    aphorisme
    ils savent apprendre a lire et a compter a leurs rejetons … mais en sont incapables pour beaucoup d enfants des autres

    8 mars 2008 à 10 h 34 min
  • grutjack Répondre

    A Jaures – Il n’est peut-être pas naturel, mais il est inévitable qu’une faible proportion d’enfants d’ouvriers accède à l’Université et aux grandes Ecoles. C’est pire aux Etats-Unis où, s’ils veulent que leurs enfants fréquentent un jour une des prestigieuses universités du pays (les seules qui comptent), les parents doivent les inscrire très tôt dans tout un réseau d’écoles privées horriblement  chères. En fait, c’est l’éducation nationale elle-même, la prolongation continuelle des études qui étaient censées apporter l’égalité des chances. L’arrivée massive d’enfants de tous les milieux n’a réussi à provoquer qu’une chute verticale du niveau de l’instruction.  Il faut choisir entre la quantité et la qualité. Les vagues d’mmigration  n’ont évidemment  rien arrangé. Comment voulez-vous qu’un enfant dont les parents ne parlent pas la langue du pays, ont des moeurs différentes, ait les mêmes chances que ses condisciples "de souche" ? Un fils d’ouvrier deviendra rarement un intellectuel dans la mesure où le fils d’une famille de compositeurs sera presque à coup sûr doué pour la musique. Pour éviter ce genre de discrimination, il faudrait arracher les enfants à leurs parents et leur donner une éducation collective – A propos de collectivisme, vous citez Marx : "A chacun selon son travail". Très bien. Mais on n’en est plus là. Aujourd’hui, on a adopté l’utopie finale de Marx : "A chacun selon ses besoins". Y compris ceux des fatigués de naissance, des crapules, des bandits, des drogués et des alcooliques. De l’espoir légitime d’une égalité des chances, on est passé à un plat égalitarisme, où le bien est égal au mal, le beau est égal au laid, l’imbécillité est égale à l’intelligence, le travail est égal à la fainéantise et … où l’élève est égal au professeur. L’effondrement de toutes les valeurs et de toutes les hiérarchies a créé le chaos dans l’enseignement. Déjà dans les années 70, Ivan Illich proclamait la faillite de l’éducation nationale et réclamait une "société sans école". Il conviendrait peut-être de réexaminer ses idées.  

    8 mars 2008 à 5 h 25 min
  • ENGELS Frédéric Répondre

    Bien entendu qu’il faut des moyens MASSIFS pour l’Education Nationale, seule possibilité d’échapper à la décadence intellectuelle inéluctable de la France, programmée par la droite et le patronat…

    Plus facile effectivement de sous employer des abrutis… aux cerveaux lavés par TF1…  N’est ce pas Messieurs les patrons si écrasés de charges…

    Et le plus drôle (enfin drôle…)… C’est que c’est les "droitiers" eux mêmes qui – pour les mêmes raisons – (sous emplois) favorisent une immigration massive…  Et viennent ensuite faire semblant de s’en plaindre… n’est ce pas Messieurs les SAS – les Michel – et cie…

    Vive le socialisme à la Française

    Frédéric E

    Supprimons intégralement le budget de l’armée – augmentons l’IS de 200% (il leur en restera toujours trop) et transférons cet argent massivement vers l’Education Nationale.

    Bien vu Jaurès – bonnes précisions… Tellement évident en effet. QUI est d’assez mauvaise foi pour ne pas le réaliser ?

    7 mars 2008 à 23 h 26 min
  • Daniel Répondre

    "A quand le classement dans les sectes dangereuses?"

    Oui l’Education Nat répond à tous les critères de classement dans les sectes. Et pour la dangerosité c’est un long réquisitoire qu’il faudrait pour en comprendre les effets pervers. Et tout ça avec des gens de bonne volonté intentionnelle qui n’ont fait qu’accepter un statut ricicule et malfaisant pour tenter de se rassurer.

    Ils ont juste bafoué le principe élémentaire de justice et d’intelligence pendant toute une "carrière". La justice est fondée sur l’égalité de droits et l’intelligence se démontre par la responsabilité individuelle de tout adulte qui doit assumer tous les préjudices à autrui dans le cadre préalablement posé de l’égalité de droits.

    Tout droit acquis, protecteur, qui n’est pas le même que ceux de ses concitoyens produit l’appauvrissement légalisé de ces concitoyens par le principe des vases communicants. Tout droit qui ne respecte pas l’égalité de droits s’appelle privilège. C’est illégal depuis 1789 selon les milieux enseignants qui l’enseignent ,  et qui démontrent ainsi leurs mensonges aux yeux d’enfants qui sentent confusément ce mensonge et bien d’autres chez ces faux "Maitres". Obtenir d’être respecté nécessite d’être respectable en particulier au niveau de l’exigence de la Vérité et de l’exemplarité qui en est la mesure.   

    Le privilège petit ou grand est une violence. Nous ne constatons encore qu’une infime partie des dégats humains qui en résultent en termes de destruction psychologique et de morts. 

    Il peut être dangereux de démontrer brutalement à des privilégiés combien leurs choix constituent la négation affichée de leurs concitoyens (qui en fait n’en sont plus puisque la concitoyenneté est définie, conditionnée par l’égalité de droits!).

    Question:   y a-il une forme de racisme qui pourrait devenir une violence si l’égalité de droits était enseignée et respectée culturellement ?   Egalité de droits: en d’autre termes égalité de sécurité assumée par la collectivité et égalité de chances dans le jeu de la Vie devant les risques non couverts par la collectivité.

    Il peut être dangereux de démontrer à des privilégiés que leurs choix intellectuels sont posés sur des croyances. Qu’ils ont fait le choix de l’incapacité de se mesurer aux risques de leur vie, c’est à dire la reconnaissance implicite de l’incapacité de penser juste, puis de le démontrer. Orgueil démesuré qui produit le pire  des égoïsmes: celui qui, parcequ’il est légalisé,  botte en touche tout principe moral qui pourrait induire un doute sur leur grande bonté socialiste.

    Etrange comme le diable a besoin d’afficher la bonté.

    Il peut être dangereux de prouver que bêtise et méchanceté sont liées, eux qui sont si fiers de leurs diplômes…   Comment peut on se regarder dans la glace quand on sait qu’on joue avec un jeu dont les dés sont pipés à notre avantage jusqu’à la fin de nos jours?

    "Jaurès ne se voyait pas en homme d’affaires"… Mais Jaurès a choisi la pratique la plus éceurante des "affaires". Celle où il n’y a plus de risques et où on fera ses sales petites affaires jusqu’à la fin de ses jours dans la légalité. Pour ne pas prendre de risques, qu’il a bien trop peur d’assumer, Jaurès assure sa sécurité au détriment de  la sécurité de ses "concitoyens"… croyances. Et au détriment des générations à venir… C’est sa façon  socialiste  d’établir l’égalité des chances des enfants…  à conditions que ses chances  à lui soient déjà assurées en fric sale retraite comprise (sale si non mérité, sale si extorqué par la force, soit-elle légale).   Ce qu’il appelle chance consiste à revendiquer l’assistanat…   Et cela correspond effectivement au niveau intellectuel auquel il peut prétendre vivre!     Et ces adultes (en nombre d’années) , veulent le respect des enfants alors qu’ils ne se respectent pas eux mêmes.   Nombreuses couches de mensonges superposées par suite de leur manque d’exigence intellectuelle et spirituelle.

    Un statut pour demeurés au départ et on le devient.

    Ceux qui font des dépressions sont à l’évidence les moins malhonnêtes. Ils expriment de l’humanité qui ne trouve pas la sortie.

     

    7 mars 2008 à 23 h 22 min
  • Anonyme Répondre

    Luc SEMBOUR : "

    Regravons sur tous les frontons de mairies françaises « Liberté-Egalité des chances-Fraternité »."

     

    Non, pas la réalité, ça.  Regravons sur les frontons de mairies la réalité de ce pays :

    "HYPOCRISIE, JALOUSIE, MAUVAISE FOI",

    et là, comme disait un ami, on sera dans le vrai pour une fois.

    7 mars 2008 à 18 h 24 min
  • EIFF Répondre

    L’égalité des chances en langage clair, en bon français, est la traduction de la discrimination positive, de la fameuse promotion éthnique encouragée par nos zélites géniales. Le vernis social qu’on lui accole sert simplement à embarquer les bouffons et les futurs dhimmis dans la grande barque socialo-communiste babelisé.

    7 mars 2008 à 16 h 30 min
  • Anonyme Répondre

    @jJaurès
    " … sauf à penser qu’il est "naturel" que seuls 7% des enfants d’ouvriers accèdent à l’université et moins de 3% aux grandes écoles. Pour réussir ses études en France, il est statistiquement nécessaire d’être enfant de cadre ou d’enseignant." – C’est bien pourquoi celui qui n’est ni cadre ni enseignant doit s’efforcer de le devenir (ou leur équivalent social), par ses propres efforts et non en attendant que cela résulte de l’assistanat. Non seulement il placera ainsi sa progéniture en position de compétition, ce qui est son premier devoir, mais il lui donnera l’exemple de ce que peut faire quelqu’un de responsable dans une société libre.
    Assez cocasse votre référence à l’enseignant, comme représentatif des privilégiés du système.
    Je suis de plus en plus persuadé que vous êtes tout bonnement un provocateur, pour proférer de telles inepties.

    7 mars 2008 à 13 h 08 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<je n’aurai pour ma part jamais envisagé de devenir un homme d’affaires. >>

    Il fallait essayer, se lamenter  ne sert à rien. Mais il est plus facile de ne rien faire…et ensuite de critiquer ceux qui l’ont fait. L’égalité devant la loi est louable, l’égalité devant la vie est plutôt illusoire.

    Je pense que les moyens de s’éduquer et de se perfectionner n’ont jamais été aussi énormes de nos jours, cela compte aussi pour les adultes. L’éducation nationale n’est pas nécessaire pour accomplir cela, on peut très bien la "bypasser" et pour ne pas finir intoxiqué je pense que ce soit préférable.

    Naturellement tout cela suppose qu’il y ait une volonté. Comme on dit en bon allemand "Wo ein Wille ist, ist auch ein Weg!" 1). Malheureusement ce dicton ne semble pas exister en français.

    Devant le tonitruant "Liberté, Egalité, Fraternité" les allemands opposent un bien plus sobre "Einigkeit und Recht und Freiheit" 2)

    1) là où il y a une volonté, il y a un chemin.

    2) Unité, droit et liberté.

    7 mars 2008 à 12 h 58 min
  • Anonyme Répondre

    l’égalité des chances, il faut savoir la saisir.Voyez l’exemple de Rachida Dati et de ses frères

    Bonne journée

    Pastout

    7 mars 2008 à 12 h 12 min
  • Jaures Répondre

    A Luc Sembour: Je partage votre conception de l’égalité. Il s’agit de l’égalité des chances. Marx lui-même écrivait " à chacun selon son travail". Par contre, si vous pensez que l’égalité des chances existe en France, vous vous leurrez, sauf à penser qu’il est "naturel" que seuls 7% des enfants d’ouvriers accèdent à l’université et moins de 3% aux grandes écoles. Pour réussir ses études en France, il est statistiquement nécessaire d’être enfant de cadre ou d’enseignant. Que les aptitudes de chacun soient différentes, c’est une évidence: je n’aurai pour ma part jamais envisagé de devenir un homme d’affaires. Mais il faut que chacun trouve dans son environnement les moyens de mettre en valeur ses propres aptitudes et de s’accomplir. Or, vous aurez du mal à me convaincre qu’un enfant de chômeur, de travailleurs à temps partiel, de familles décomposées, résidant dans des cités en déliquescence  dépourvues de services publics  a les mêmes chances  au départ qu’un jeune parisien du 8ème arrondissement bénéficiant  d’un suivi constant, d’éventuels cours de rattrapage  à domicile (déduits des impôts), de séjours linguistiques, de vacances au grand air, de sorties au théâtre et des meilleurs médecins du secteur 2.

    7 mars 2008 à 11 h 58 min
  • EIFF Répondre 7 mars 2008 à 9 h 57 min
  • ozone Répondre

    MAIS ça VA PAS……!!!

    Avec le systéme décrit par Gerard Pierre vous imaginez le nombre de fils d’ouvriers dans les hautes couches de la société??

    Des ingénieurs,savants,chefs de ceci ou cela…..

    Mais voyons,on est pas fous…..

    Je dis cela parce qu’il me viens en mémoire un commentaire de je ne sais qui sur une radio il y a trente ans,queque chose comme…

    "Toutes ces réformes de l’Education Nationale ont pour but de couler les chances des fils des classes sociales les moins favorisées"

    Méthode globale et tuti cuanti…

    On peut dire que c’est une compléte reussite…

    6 mars 2008 à 22 h 35 min
  • augustine Répondre

    Je ne plains pas les profs. Après tout, ils n’ont que ce qu’ils ont semé depuis des années. Les élèves ne peuvent respecter que des profs respectables.

    Combien en ai-je vu, lorsqu’il y avait la fameuse réunion parents-profs, qui avaient l’air de se ficher pas mal de leurs élèves. Mes enfants ont subi un endoctrinement intense pendant toutes leurs années scolaires. Je me rappelle qu’ils étaient mal vus car ils avaient refusé de porter une main de fatma avec "touche pas à mon pote", truc qui était vendu dans l’établissement, en dépit de toutes les protestations  qu’élevaient certains parents dont moi.

    Ils ne disent même pas encore aujourd’hui que le grand mal vient de cette immigration folle et inassimilable qui a déferlé dans les écoles et qui persécute les profs et les élèves de souche.

    Bien fait pour les profs. Tant qu’ils ne diront pas la cause de ce chaos, ils en subiront l’effet. Ils n’en ont encore pas vu assez.

    6 mars 2008 à 21 h 33 min
  • UN chouka Répondre

    Luc Sembour ,Vous me rapelez  mon sentiment d’écoeurment lorsque je me suis rendu compte que dans l’urss, au moins a la fin,c’etaient les burocrates (administration )qui se métaient les bénèfs dans la poche ,puisque c’etaient eux qui géraient les affaires ?

    6 mars 2008 à 20 h 45 min
  • Anonyme Répondre

    Vous avez à peu près tous raison.  JAURES est, komdab, pathétique à essayer de faire l’avocat du diable et partir hors sujet.  l’égalité des chances, mais elle n’existe même pas dans la nature !  et tout le monde a un cerveau différent, ce qui fait même notre individualité !    La chance est une question de choix qu’on ose faire, et les choix les plus faciles tuent la chance.

    Cependant, il y a des profs bien qui sont hélas noyés dans la masse des abrutis et des tarlouzes qui font dans leur froc maintenant devant les graines de ronces qu’ils ont semées.  Pauvres profs qui craignent pour leur petite peau étriquée de gauchiste et qui se débinent souvent (arrêt maladie) pour ne pas faire face à leurs fauves. 

    Ah oui, il faut que les petits Français connaissent les enfants d’autres ethnies… sauf que les enfants d’autres ethnies amènent avec eux le vent des guerres tribales séculaires voire attaviques avec l’irrespect de la vie humaine, comme chez eux où l’on tue avec désinvolture pour une broutille.  Belle éducation ethnologique, en effet.  Il est certain que les guerres traditionnelles entre arabes et noirs, comme me l’a raconté aujourd’hui un prof de collège, contribuent à la paix civile en France.

    Celà dit, il y a des élèves de milieux défavorisés qui réussissent tout simplement parce qu’ils ont des parents qui ne les lâchent pas et sont toujours sur leur dos.  Et souvent, ce sont des filles.  Il n’y a rien à faire, quand on s’occupe de ses mioches, ils réussissent généralement.  Des délinquants, il y en a beaucoup dans les couches sociales défavorisées, c’est un fait indéniable, même s’il y en a quelques uns aussi chez les bourgeois, essentiellement chez les bobos de la gauche-caviar d’ailleurs.

    Quant à l’Education Nationale, c’est plutôt la déséducation nationale, oui.  Pour la majorité, un tas de gens qui gaspillent l’argent du contribuable (budget en hausse, nombre d’élève en baisse) en prouvant chaque jour leur incompétence. Sauf certains qui, au front, font sincèrement ce qu’ils peuvent mais sont incapables de freiner le tsunami du nivellement par le bas orchestré depuis mai 68*.  Honneur à ces derniers et paix à leur âme et leur esprit (j’en soigne un paquet qui pêtent les plombs et finiront en dépression à vie).

    * Notez que mai 68 a eu quand même quelque intérêt positif sur quelques principes rigides.

    6 mars 2008 à 19 h 00 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    Regravons sur tous les frontons de mairies françaises « Liberté-Egalité des chances-Fraternité ».

    Abolissons l’ «égalité des chances» socialiste pour  rétablir l’ «égalité des chances» véritable sans handicaps. 

    LS

    6 mars 2008 à 14 h 57 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    A Jaurès,

      vous avez une tendance typiquement de gauche à vouloir cacher votre idéologie derrière des "espèces en danger». 

     Vous nommez en particulier « les policiers, les magistrats, les facteurs, les petits commerçants, les personnes âgées, les homosexuels, les juifs, les femmes » présentés par vous comme victimes expiatoires innocentes d’une situation créée parce qu’on ne fait pas assez pour "l’égalité des chances". Vous sous-entendez que le tiers-monde migratoire de France ne bénéficie pas des « moyens » éducatifs qui leur permettraient de prendre l’ascenseur social.

     S’il y a un pays où l’égalité des chances existe, c’est la France (elle est loin d’être la seule heureusement).

    Mais s’il y a un pays où l’égalité des chances est battue en brèche par une idéologie perverse,  toutes les chimères socialo-communistes, c’est la France aussi.

    Dans la devise « Liberté-Egalité-Fraternité », la gauche fait constamment un contresens essentiel de compréhension : elle croit dur comme fer que le mot Egalité signifie « égalité tout au long de la vie des individus ». Alors que précisément il faut comprendre « égalité des chances », et seulement des chances.

    Faire un maximum pour assurer  une réelle « égalité des chances » n’est pas du tout le but de la gauche, puisqu’elle ne sait que brider, freiner et gêner ce processus ce qui annihile les chances de l’ensemble de la population.

    En entravant tous les processus compétitifs par la taxation, et une myriade de règles, elle dénie bel et bien l’ « égalité des chances »qu’elle feint de vouloir.

    En résumé, elle confond « égalité au départ » et « égalité à l’arrivée » en voulant imposer artificiellement une « égalité permanente ».

     Entre chaque individu, Il y a des disparités énormes de ressources physiques ou autres, d’intelligence, de persévérance, d’environnement familial et culturel. Il n’y a donc pour chacun « égalité des chances » à faire valoir ses atouts particuliers que si le système n’est pas systématiquement plombé par une discrimination permanente consistant à fabriquer des handicaps sur mesure pour « brider » ceux qui ont les meilleures performances.

    La France est un gigantesque système de discrimination positive tous azimuts à l’école, comme dans tous les secteurs économiques.

    Le gouvernement français se comporte comme un organisateur de courses de chevaux omniprésent qui ne cesse de surveiller son champ de course, afin de veiller à ce que chaque compétition, aussi petite soit-elle, se passe entre égaux du début à la fin.

    Résultat : les courses sont sans intérêt, les chevaux s’ennuient, les jockeys se font désarçonner par les plus fougueux. Beaucoup de propriétaires de haras embarquent tout ce qu’ils peuvent dans leur camion pour filer aussi loin qu’ils peuvent de ce champ de course ridicule.

    Les spectateurs boudent et se font rares. Les recettes s’effilochent et l’organisateur sombre dans des dettes inextricables. Malgré les taxes punitives sur les propriétaires qui n’ont pas encore trouvé le moyen de rompre leurs habitudes en fuyant, il ne voit pas comment il va nourrir les vieux chevaux abandonnés dans les paddocks par leurs propriétaires en fuite. Il songe de plus en plus à les euthanasier en commandant un rapport au consultant adéquat (P.LANCE est sur les rangs).

    Depuis deux siècles la lèpre socialiste consume la chair française pendant que la sclérose gauchiste en plaques mine le système nerveux national.  

    C’est pourquoi un pays comme la France qui a un temps été le plus riche du monde est devenu une petite république râleuse et miteuse toujours plus marginale, et « sociale ».

    Il faut d’urgence abolir l’ « égalité des chances » socialiste et rétablir l’ « égalité des chances » véritable sans les handicaps. 

    LS

    6 mars 2008 à 14 h 39 min
  • UN chouka Répondre

    Je ne partages pas vraiment cette analyse.

    A une époque ou le chacun pour soi ne peut plus se cacher dèrière les raisosn d’état, d’ordre publique, de rèspèct,le tous ensemble etc………………..les gens semblent se dire :

    Qu’ils ayent se faire voire avec leurs baratins inèptes et malhonète ,mèrçi, j’ai déjas donné !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    La débandande sociale qui ne saurait échaper a pèrsonne est le fait des bonnes gens mal intentionés?

    Ou soyons juste,"les gens sont intéréssés par leurs intérets tres privés ,qui ne vont pas du tout dans le sens de la société que nous avons connu et tous ensemble, ils disent chacun pour sa poche ,et aprés moi le déluge" .

    Le monde change, et les relations gentilles changent aussi.

    Ou est le mal la dedans ?

    Veut ‘on le beurre,l’argent du beurre, et le …………………de la crémière ?

     Pourquoi cèrtains s’en donneraient a coeur joie, et d’autres devraient se sacrifier pour le bien etre des autres ?(chacun pour soi, pour tout le monde , ou c’est encore du foutage de bibine ?)

    Cèrtains bien installés dans les rèstes du vieux système, ne veulent pas lacher le morceau, mais pourquoi, les autres se sacrifiraient’ils ?

    Je ne suis pas sur que ce comm,passe :-)  

    6 mars 2008 à 13 h 02 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<les policiers, les magistrats, les facteurs, les petits commerçants, les personnes agées, les homosexuels, les juifs, les femmes …bref, tous ceux qui sont quotidiennement harcelés, battus, agressés, dépouillés ne seraient-ils pas également "victimes d’eux-même" ?>>

    Les persones ci-dessus ne sont pas victimes d’elles-même mais d’auteurs qui bien souvent sont aussi impliqués dans la violence scolaire. Nul besoin de chercher trop loin…

    <<Sur les 15% d’enfants qui ne maîtrisent ni l’écriture, ni la lecture en 6ème>>

    Je me suis laisé dire que c’est plus, certains parlent de 40%.

    <<Luttez pour l’égalité des chances.>>

    On voit ce que cela donne, les milliards confisqués aux travailleurs et entrepreneurs qui sont injectés dans les banlieux n’ont pas servis à beaucoup. Il est vrai que le terreau sur lequel on les a semé est plutôt réfractaire à la culture.

    Ma conclusion: le socialisme est un dogme qui conduit à la misère morale et physique des personnes qui le subissent. A quand le classement dans les sectes dangereuses?

    6 mars 2008 à 11 h 49 min
  • EcranBleu Répondre

    Qui sème le vent récolte la tempête. Ils n’ont que ce qu’ils méritent. Il faut que la situation empire encore un peu, au point de devenir intenable, pour qu’ils essaient enfin de se remettre en question.

    Tout indique que la République française atteint ses limites. Les délires maçonniques d’une société "multiculturelle" vont tout faire exploser.

    Le plus tôt sera le mieux, avant que les "de souches" ne soient minoritaires dans le pays de leurs ancêtres.

    6 mars 2008 à 2 h 31 min
  • Elsaesser Répondre

    On ne peut que s’aligner sur les commentaires déjà exprimés.

    Je rajouterai qu’à mon époque (les enseignants qui l’ont connue doivent la bénir), on restait debout jusqu’à ce qu’on nous dise de nous assoir et nous commencions par dire bonjour à l’enseignant.

    Cela soulignait le respect qui était du à la personne qui était dépositaire de la responsabilité de la classe et indiquait clairement qui détenait le pouvoir.

    Il ne serait venu à l’idée de personne d’appeler l’enseignant par son prénom et encore moins par un surnom, même gentil. Je ne pense pas que cette pratique aujourd’hui généralisée soit une initiative des élèvent qui nous ont suivi.

    Quant au tutoiement, même pas en rêve comme on dit aujourd’ui.

    J’étais jeune sous-officier au début des années 70 et j’avais une parente enseignante dans le primaire. Que n’ai-je entendu comme reproches quant à la manière des militaire de mener la troupe. j’ai perdu de vue cette dame, mais j’aimerai bien débattre avec elle de l’évolution de nos univers respectifs, trente ans après. Je respecte toujours mes soldats qui me le rendent bien (et c’était déjà comme ça avec les appelés, même si parfois on les rudoyait un peu), mais chacun tenait son rôle à la place qui était la sienne.

    A force d’apprendre aux élèves à remettre en cause l’autorité (en les envoyant aux manifs qui ne les concernent pas par exemple), les enseignants en on perdu de vue qu’ils en étaient eux aussi dépositaires . Avec leur comportement d’irresponsables ils s’ en sont désaisi eux-même.

    Comme la nature est généreuse, y compris avec ceux qui ont un comportement contre nature, elle leur a laissé les yeux pour pleurer. Vous avez chanté, eh bien dansez maintenant.

    5 mars 2008 à 21 h 53 min
  • Mancney Répondre

    Je regrette que l’on ait pas eu plus tot cette liberté, ou cette impunité si vous préférez, d’insulter et de casser la gueule des profs… J’ai entendu parler d’un c..nard de prof de maths a Lakanal, dans le temps, qui aurait été bien servi. Parait que chez les curés, c’était pas mal non plus, et que c’était rarement les éleves, en bande ou pas, qui gagnaient la partie.

    Allez, pendant des années, on a voulu du "Changement", alors, on l’a eu, et ce n’est pas fini. Barrack Hussein Obama, lui, il dit "Change", et il ajoute " Yes, we can do it!" et il fait des rallyes, aussi, qui s’appellent "Stand for Change". Ca, c’est un programme, non? J’aime quand les Ricains se mettent a faire comme nous. Curieux de voir comment ils vont réagir… si ils vont accepter, ou non, le bordel programmé.

    Félicitations au corps enseignant pour avoir bien mérité sa récompense, la derniere édition de "Retour de Manivelle", en ouvrage de luxe, dorée a l’or fin.

    Best,

    Mancney

    5 mars 2008 à 18 h 18 min
  • Jaures Répondre

    " Les enseignants sont victimes d’eux-même". Mais alors pourquoi s’arrêter aux enseignants ? Prolongeons le raisonnement: les policiers, les magistrats, les facteurs, les petits commerçants, les personnes agées, les homosexuels, les juifs, les femmes …bref, tous ceux qui sont quotidiennement harcelés, battus, agressés, dépouillés ne seraient-ils pas également "victimes d’eux-même" ?

    Sur les 15% d’enfants qui ne maîtrisent ni l’écriture, ni la lecture en 6ème, la quasi totalité est issue de milieux défavorisés, immigrés ou non. A Neuilly, il y a 12% d’immigrés. Pourtant on ne retrouve pas les difficultés de Clichy sous Bois. Il est vrai qu’on a affaire à des enfants d’embassadeurs, d’hommes d’affaires, de rentiers,…

    Dans tous les collèges, si vous vous y intéressez un peu, vous verrez que les meilleurs, enfants d’immigrés ou non, sont ceux dont le milieu permet un suivi réel . Les classes d’excellence dans les cités de banlieue (à St Denis notamment) ont des résultats remarquables. Les élèves recrutés sur dossier dans les grandes écoles, après une année de remise à niveau en culture générale, obtiennent les mêmes résultats que les lauréats issus des lycées des quartiers bourgeois.

    Vous voulez réellement que la sécurité revienne dans les collèges ? Vous souhaitez une meilleure insertion des jeunes issus de l’imigration ? Luttez pour l’égalité des chances. 

    5 mars 2008 à 14 h 59 min
  • Gérard Pierre Répondre
       Lorsque j’étais lycéen, dans les années cinquante, 90% du corps enseignant était masculin. L’accès au cycle secondaire était conditionné par un examen d’entrée incontournable, établissant clairement que le postulant savait au moins lire, écrire et compter. L’autorité était alors d’autant moins un principe discutable que la force physique était située du « mauvais côté », qu’elle ne subissait nullement la critique en cas d’utilisation, et que tout chef d’établissement avait le loisir d’exclure définitivement, sans avoir à se justifier outre mesure, tout trublion âgé de plus de quatorze ans.
     
       Chaque année, le passage en classe supérieure était conditionné par l’obtention de la moyenne générale sur l’ensemble de l’année scolaire, doublée de l’obligation de n’avoir aucune note inférieure à la moyenne dans les matières principales. Le BEPC était un examen réel, se déroulant sur trois jours, portant sur chaque matière enseignée, et comportant des écrits et des oraux. Le passage en classe terminale était conditionné par la réussite préalable au 1er bac, portant lui aussi sur l’ensemble des matières enseignées et comportant lui aussi des écrits et des oraux, le tout se déroulant sur plus d’une semaine. Il n’y avait pas, alors, ce simple et complaisant …… « bac de français » ! ! !
     
       Depuis, les exigences qualitatives ont fondu chaque année un peu plus, comme neige au soleil, sous l’effet d’un réchauffement du climat …… idéologique, …… de l’égalitarisme utopique ! ! ! …… L’âge limite de présence dans l’institution scolaire a été porté autoritairement à seize ans, …… tandis que l’on abaissa par ailleurs la majorité légale de vingt et un à dix huit ans ! ! ! …… La profession s’est en outre féminisée à outrance. Les frêles enseignantes, majoritaires en nombre à présent dans l’institution, doivent composer avec des malabars de moins en moins polis car de moins en moins éduqués.
     
       Si j’analyse quarante années d’observation de l’évolution de notre éducation nationale, je constate que nous avons abouti au paradoxe suivant : une débauche de moyens « contribuablement » de plus en plus lourds n’a généré qu’une régression inversement proportionnelle à l’augmentation de ces moyens. Le système produit aujourd’hui à grands frais d’innombrables bacs + 5, souvent peu soucieux de maîtriser la syntaxe, auxquels les entreprises du secteur privé confient des tâches qu’elles réservaient auparavant à de simples techniciens issus du tas et promus à l’ancienneté. Où est l’intérêt ?…… On embauche à présent des bacs + 2 (minimum) …… pour trier le courrier arrivé au secrétariat central ! …… où est l’intérêt ? …… dans le salaire ? ……… la smicardisation généralisée est passée par là entre temps ! ……… Loi de l’offre et de la demande obligeant, car s’étant elle aussi inversée ! …… Un professeur de technologie me confiait encore récemment : « Nous formons des BEP de peintre en diplômant des jeunes qui peinent à calculer le volume d’une pièce ! … oui monsieur, nous en sommes là ! »
     
       A qui la faute ?…………… utopie, quand tu nous tiens !
     
       L’utopie est comme l’hydre. Lorsque nous la combattons elle se reforme ailleurs et autrement. Un phénomène relativement nouveau depuis 1968, et concomitant avec la féminisation de la profession, vient encore compliquer le problème de la violence exercée contre les enseignants : LA PROGRESSION DE L’ISLAM.
     
       La violence est indissociable de l’islam. Elle est élément dogmatique du coran et de la sunna. Elle constitue le bras armé de l’expansion de cette doctrine politique totalitaire adossée à un prétexte religieux. L’utopie égalitariste réduit ce projet politique exotique au rang de « religion comme les autres ». Singulièrement, ce sont les plus ignorants en matière de connaissances religieuses et les plus accrocs à la laïcité, LES ENSEIGNANTS, qui lui font la part la plus belle : il ne faut pas heurter les musulmans dans leurs croyances ! ! ! ……… Le « mâle » musulman n’acceptant pas la domination d’une femme de sa religion, accepte encore moins celle d’une femme « incroyante », fut-elle professeur bardée de diplômes. Tout est réuni pour que le phénomène de la violence s’amplifie dans les mois et les années à venir si les enseignants ne se livrent pas à une courageuse remise en question …… dogmatique, … et si les politiques ne se dessillent pas enfin les yeux. Mais j’avoue qu’en ce domaine, je suis sans illusion.
    5 mars 2008 à 13 h 43 min
  • Ben Répondre

    Gauchisme, mensonge par omission, occultation de la vérité, excès de fonctionnaires, excès de taxes et d’impôts pour les payer, laxisme, impolitesse, violence impunie, ignorance. Malgré cela, les gens réélisent la même racaille. Ils sont fous. J’ignore si les profs sont irrécupérables mais ils sont profondément détraqués.

     Pour un fonctionnaire obsédé par les congés payés et les hausses de salaire semestrielles, tout, absolument tout, même l’agression, est un prétexte pour prendre plus d’argent au contribuable. Tu as raison, U.S., il faut supprimer leur argent excédentaire pour les responsabiliser. Beaucoup ont l’illusion de pouvoir puiser indéfiniment dans la réserve d’argent taxé. C’est cette illusion qui cause presque tous les problèmes gauchistes.

    5 mars 2008 à 13 h 16 min
  • U.S Répondre

     

    Dans l’enseignement chaque fois que la vérité est occultée, les choses empirent.

    Les profs sont tellement lavés du cerveau par leurs idées de gauche, qu’il ne leur viendrait jamais à l’idée que les grands responsables du problème de la violence à l’école, c’est eux, collectivement. Patiemment, avec constance et une fermeté suicidaire dans l’erreur, ils ont bâti leur enfer public. 

    Individuellement bien-sûr beaucoup d’innocents souffrent.

    Il y a quantité de solutions. Aucune ne passe par les élèves qui par définition sont à former. Tout passe par les profs qui eux sont déformés et en bonne partie irrécupérables.

    Le gros problème c’est que chaque appel au secours des profs s’adresse en fait exclusivement au contribuable qui n’est pour rien dans leur situation et qui finance (par obligation) la gabegie en prolongeant une agonie toujours plus douloureuse. L’école française a beaucoup TROP de moyens pour ce qu’elle fait. Il faut réduire le budget de l’Education Nationale de façon drastique pour le mettre en rapport direct avec ses résultats.

     Après, tout ne pourra aller que mieux.

    5 mars 2008 à 1 h 25 min
  • Florin Répondre

    Que les gauchistes planqués derrière leurs pupitres se fassent agresser par ceux à qui ils gâchent l’avenir, ce n’est que JUSTICE ! 

    Les gamins qui, à la fin de la sixième, ne savent toujours pas lire et écrire, sont irrémédiablement condamnés. On peut jeter l’opprobre sur les parents, sur la société, sur le bon Dieu, mais ceux qui sont PAYES pour ce boulot et qui échouent, ce sont les profs, tout de même.

    On a refusé la sélection à l’école et à l’université. On a dévalorisé le travail (manuel, mais pas seulement).
    On a systématiquement parlé aux enfants de "droits " mais JAMAIS de devoirs. On leur a, en plus, menti
    en leur disant que, hors de la fonction publique, il ne pouvait y avoir de salut.

    Je vois autour de moi des profs. Habillés en loubards, queue de cheval et boucles d’oreille, pour les hommes (quand il ne s’agit pas de jeans troués, gourmettes ou chaînes attache-clebard) – on a envie de leur mettre un coup de poing rien qu’en les voyant – alors, demander aux élèves de les respecter relève de la mission impossible.

    5 mars 2008 à 1 h 04 min
  • ozone Répondre

    "C’est trés bien s’il y a beaucoups d’étrangers dans les classes,comme ça les petits Français apprendront les modes de vie des petits du Monde entier"

    A quelques mots prés il etait fréquent que les profs disent cela devant les caméras de télés il y a trente ans.

    Voila,ils sont servis

    5 mars 2008 à 0 h 40 min

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