Wikileaks et la liberté d’information des citoyens

Wikileaks et la liberté d’information des citoyens

L’affaire de la divulgation de 250 000 câbles diplomatiques américains par le site Wikileaks fait grand bruit. Certains parlent même de « 11 septembre diplomatique » !

Il est certain que cette divulgation va un peu compliquer les relations internationales. Non pas du fait du contenu de ces câbles, dont il est probable que les dirigeants de la planète connaissaient déjà la teneur. Mais du fait de cette épée de Damoclès qui sera désormais suspendue au-dessus de leurs conversations. Il est bien évident que vous ne traitez pas Poutine de « Batman » ou Berlusconi « d’incapable », si vous avez des raisons sérieuses de penser que vos appréciations se trouveront bientôt dans le domaine public !…

Mais les démocraties sont ici prises à leur propre piège. On ne peut pas dire que la liberté d’information est fondamentale pour tout État de droit et s’étonner que le responsable d’un site internet divulgue les informations dont il dispose.

Bien sûr, selon toute vraisemblance, ces informations ont été obtenues frauduleusement. Mais quelle est la responsabilité réelle du fondateur du site Julian Assange ? En droit, on pourrait répondre qu’il s’agit d’un recel. Mais pourquoi Wikileaks serait-il plus fautif qu’un autre média ?
Car les informations de Wikileaks ne circulent pas simplement « sous le manteau » ou sur internet. Plusieurs célèbres quotidiens de gauche (« New York Times », « Guardian », « El Pais », « Spiegel » et, chez nous, « Le Monde ») ont repris ces informations. « Le Monde » a même théorisé cette utilisation : « Ces documents, même illégalement transmis à Wikileaks, risquant à tout moment de tomber dans le domaine public, Le Monde a considéré qu’il relevait de sa mission d’en prendre connaissance, d’en faire une analyse journalistique et de la mettre à disposition de ses lecteurs. »

L’expression est tout de même curieuse : puisque les documents risquent de tomber dans le domaine public, autant anticiper et le faire nous-mêmes, semblent dire les journalistes de notre distingué confrère !

Ce que je retiens personnellement de cette affaire, c’est qu’internet est vraiment le lieu où les citoyens, souvent asservis à la propagande politico-médiatique, peuvent reprendre leur information – et donc leur liberté – en main. Bien sûr, les informations y sont fort inégales. Mais, au moins, on peut y trouver des informations non conformes au « politiquement correct » ambiant. Et ce n’est pas pour rien que les pouvoirs publics cherchent à limiter la liberté des internautes…

Partager cette publication

Comments (11)

  • Anonyme Répondre

    @ SAS,

    Voilà une réponse d’un vrai expert qui parle clair, qui ne calomnie pas, qui ne défend pas votre fumeuse théorie du complot qui veut que "l’état croupion dicte sa loi à Goliath", bref, une vraie réflexion qui éclaire les évènements d’une façon plus objective, tout en mettant à mal vos théories à la mords-moi le noeud, tout en prouvant une fois de plus, que Obama est la plus grande catastrophe qui soit arrivée aux USA au cours de son histoire, non seulement il s’agit d’un salaud, mais d’une ordure de la pire espèce.

    Au fait, où en êtes-vous avec vos bouteilles de boissons alcoolisées qui mettent dans le cirage ?

     

    L’hebdomadaire Becheva s’est entretenu avec le professeur Guilboa, de l’université de Bar-Ilan, expert en sciences politiques et tout particulièrement en affaires américaines. Pour lui, les grands perdants de cette fuite sans précédent de documents secrets sont les Etats-Unis et l’Occident. Il s’explique: «A partir de cet instant, du moins à court terme, toute autorité diplomatique qui entrera en contact avec les Américains sera moins motivée à se confier librement et hésitera avant de leur fournir des informations qui pourraient être pour eux de la plus haute importance, de crainte que les informations remises ne soient révélées au grand public. Ce phénomène nouveau pourrait fort affaiblir les Etats-Unis et renforcer ses ennemis.» Pour lui, les gagnants sont les chercheurs des universités, qui ont accès également à des documents concrets et qui sont moins contraints de se fonder sur des suppositions et autres théories: «Ça me fait penser qu’en 1971, 43 documents qui ont été divulgués à propos de la guerre du Vietnam ont servi pendant des années de sources solides à de nombreux travaux. »

    Mais, plus généralement, il déclare qu’il n’a pas été surpris outre mesure par ces révélations: «Tout le monde agit de la sorte. Même les pays les plus virulents contre les Américains en public peuvent dans la discrétion présenter des positions radicalement opposées à celles qu’ils affichent. Dans cette optique, Israël n’a pas été spécialement touché, car ce que nous disons tout haut correspond le plus souvent à ce que nous disons à voix basse. Le problème majeur, c’est l’attitude d’Obama envers Israël, quand il a tenté de laisser croire qu’une coalition moyen orientale contre l’Iran n’était possible qu’au prix de concessions israéliennes, au moment même où des pays de la région s’étaient déjà prononcés en faveur d’une telle attaque.»

    http://www.israel7.com/2010/12/%c2%abobama-a-voulu-tromper-israel%c2%bb/

     

     

    6 décembre 2010 à 5 h 36 min
  • Anonyme Répondre

    @ SAS,

    Malgré beaucoup d’efforts, j’avoue que j’ai du mal à comprendre les propos incohérents & impossibles à déchiffrer que vous venez, une fois de plus, balancer sur les internautes qui fréquentent ce site.

    Jusqu’à quand allez-vous continuer à venir polluer nos conversations avec vos sorties où la confusion totale & vos borborygmes sont vos moyens naturels d’expression ?

    Jusqu’à quand allez-vous continuer à baver sur Israël & Netanyahu sur qui vous faites une fixation haineuse pathologique, que vous dénoncez violemment quel que soit le sujet traité ? Comme indiqué dans mon post, il est étrange qu’une organisation qui voulait dénoncer les graves manquements aux droits humains élémentaires pratiqués en Chine, Russie, Dictatures Arabo-Africaines, Régimes Totalitaires divers & variés, soient exonérés de cette grande lessive, tandis que les USA & Israël, les deux plus grandes démocraties de la planète, soient mises en cause, souvent pour des sujets que ceux qui savent où bien s’informer, connaissent depuis des lustres. Ignorez-vous à ce point le niveau mental au ras des pâquerettes de nos torchonistes incapables d’inventer l’eau tiède ou allez-vous continuer à essayer d’enfoncer des portes ouvertes à grands coups de bélier ?  

    Ressaisissez-vous s’il n’est pas trop tard, nous sommes prêts à échanger nos points de vues, mais par pitié, parlez en français compréhensible, cela nous facilitera les choses pour nos discussions…

    Netchayev

     

    5 décembre 2010 à 9 h 16 min
  • sas Répondre

    De toute evidence……ces pseudos collactes d informations ultra secrete ne pêuvenet pas sortir d un chapeau et plantre largement les etats unis…….tout en faisant la joie IMMENSE ET NON DISSIMULE DE L ETAT D ISRAEL ET NETANYAHU…voir même publique…

    donc sauf a être con ou myrro voir les 2 à la fois…..l etat croupions essaie de faire chanter Golliath…..pour une obscure raison….peut être le non accord a pilloner l iran ou une crasse de ce style !!!!!

    …..la seule manoeuvre a avoir pour contrer les méchants….est d ignorer le flot dinfo qui est déversé et de faire le contraire de ce qui devait normalement etre fait en cas de connaissance à l insue de notre plein gré de ces infos….

    RESTONS INMANIPULABLE…..et ce par quiconque

    quid en revanche : comment un besson traitre a la nation , et ministre de l industrie peut lui a titre personnel ??????exiger les poursuites et la fermeture du site français ou relais de wikileaks en france ?????  on comprend donc mieux les origines "parapluie" extraordinaires qui protègentx la tête du généralissime traitre au siens et à la patrie …d adoption

    sas

     

    4 décembre 2010 à 12 h 43 min
  • Anonyme Répondre

    Eric le Bourlout 01Net Informatique le 29/11/10 à 19h15
    ===========================================

    Qui se cache derrière Wikileaks ?
    Wikileaks de nouveau sur le devant de la scène.
    Avec la publication des câbles diplomatiques américains, il réalise peut-être son plus gros coup.
    Retour sur un site et son fondateur, Julian Assange.

    Julian Assange, le fondateur de Wikileaks
    Crédit : New media days (CC)

    Paradoxalement, ce site qui veut «ouvrir les gouvernements» et prône une transparence totale, est un des sites des plus secrets du Web. De Wikileaks, on connait surtout son mystérieux cofondateur et porte-parole Julian Assange.

    Cet Australien de 39 ans, ancien hacker, a lancé son «bébé» en 2006 avec “des dissidents chinois, des journalistes, des mathématiciens et des techniciens en provenance des Etats-Unis, de Taiwan, d’Europe, d’Australie et d’Afrique du Sud. L’objectif à l’époque était de développer un Wikipedia non censurable, pour la fuite et l’analyse de masse de documents”.

    La section «A propos» de la première version du site, aujourd’hui disparue, ajoute que “[le premier objectif de Wikileaks] est d’exposer les régimes oppressifs en Asie, de l’ancien bloc soviétique, de l’Afrique sub-saharienne et du Moyen Orient”. En bon hacker, Assange assure que les individus qui envoient des documents le font de manière parfaitement anonyme, par le biais de systèmes de cryptage divers, notamment le réseau TOR.

    Quelques mois seulement après son lancement, Wikileaks produit son premier grand fait d’armes : la publication du «manuel des opérations courantes au Camp Delta», qui détaille le fonctionnement du centre de détention de Guantanamo. Viendront ensuite, en 2008, la publication de la messagerie électronique de Sarah Palin, la colistière de John McCain pour la Maison blanche, ou encore des documents embarrassants pour l’Eglise de scientologie. Pêle-mêle, citons encore en 2009 la liste des sites censurés en Australie, une série de rapports confidentiels de l’ONU ou une collection impressionnante de messages du 11 septembre… Autant dire que Wikileaks n’a pas chômé.
    Wikileaks v2.0

    En parallèle à la publication de ces nombreuses révélations, le site, dont l’équipe est bénévole, ne cesse d’en appeler aux donations pour subvenir à ses besoins. A tel point que Wikileaks va jusqu’à fermer ses portes début février 2010, faute d’avoir pu réunir les fonds nécessaires à son fonctionnement. Du jour au lendemain, tous les contenus du site disparaissent. Ils ne reviendront pas.
    Wikileaks est en réalité en train de passer à la vitesse supérieure et se prépare à diffuser des documents bien plus compromettants. Cela commence par la vidéo présentant une attaque de l’armée américaine sur Bagdad en 2007, qui tua douze personnes, dont des enfants et deux journalistes de Reuters. Puis, le 25 juillet, Wikileaks diffuse, avec l’aide de grands journaux, quelque 92 000 documents de l’armée américaine sur la guerre en Afghanistan. Suivront, en octobre 2010, les 400 000 documents secrets sur la guerre d’Irak puis les 250 000 câbles diplomatiques livrés depuis ce week-end.

    En quelques mois, Julian Assange a réussi à faire de son site une machine à faire trembler les gouvernements. Mais l’Australien n’en demeure pas moins un personnage trouble, qui a été lâché par de nombreux compagnons de route dans sa quête de la transparence totale. Peu après la publication des documents sur la guerre d’Afghanistan, Wired rapportait «qu’au moins une demi douzaine d’employés du site avaient démissionné», notamment Daniel Domscheit-Berg, porte parole allemand du site. La faute à Assange, accusé par Domscheit-Berg de ne pas prendre suffisamment de précautions avant de publier des documents et de se comporter «comme un genre d’empereur ou de marchand d’esclaves».

    Un mystérieux comité consultatif
    Difficile aujourd’hui de savoir qui travaille avec Assange sur Wikileaks. A une époque, le site affichait fièrement un «comité consultatif» qui comprenait des personnalités hétéroclites, dont plusieurs dissidents chinois comme Wang Dan, un des leaders de la révolte de Tiananmen. Cette page a disparu du site, peut-être à la suite d’un article du magazine Mother Jones, qui mettait en doute l’existence même de ce fameux comité : Tashi Namgyal Khamsitsang, un ancien représentant du Dalai-lama, dit à peine souvenir d’avoir reçu un e-mail de la part de Wikileaks.

    Et Ben Laurie, expert en sécurité informatique – il a notamment écrit Apache-SSL – indique au journal en riant « Wikileaks a soi-disant un comité consultatif, et je suis soi-disant membre. Il avoue juste avoir vu Assange quelquefois, alors que ce dernier était en recherche de conseils afin de sécuriser les envois de documents confidientiels : C’est un type étrange. Il semble être assez nomade, et je ne sais pas comment il fait pour vivre comme cela, pour être honnête. Il arrive avec un sac à dos, et je soupçonne que c’est tout ce qu’il possède», indiquait-il à Mother Jones.
    Un sac à dos… Et de nombreuses infos explosives dans un coin de disque dur. Wikileaks et le mystérieux Assange n’ont sûrement pas fini de révéler des secrets. Récemment, le Twitter officiel du site indiquait que «les prochains mois verront un nouveau monde, dans lequel l’Histoire globale sera redéfinie».

    Copie intégrale de l’article paru hier, dans 01 NET Informatique (vérifier sur le site).

    ==========================================================================

    Parmi les questions que nous sommes en droit de nous poser : A l’origine, ces fuites (dénonciations) étaient surtout destinées aux pays totalitaires : Chine, Russie, Ancien bloc soviétique, dictatures communistes, Moyen Orient; or, non seulement tout ce beau monde a été épargné, mais ce sont les grandes démocraties qui se trouvent dans la tourmente.
    Alors ? Manipulation ? Noyautage ? Financement occulte ? Récupération ? Désinformation ? Détournement ? Diabolisation des démocraties en épargnant les Putin, Chavez, Hu Jin… & toute la clique de tyrans sanguinaires arabes tout dégoulinants de pétrole & de sang, qui vont de Kadhafi à Ahmedinedjad, en passant par Al Bachir le génocidaire soudanais ?

    Alors quoi, il n’y a rien à reprocher à toute cette racaille dans cette montagne de documents ? Libé, le Monde, Marianne & autres torchonistes n’ont pour l’instant relevé, selon leurs mauvaises habitudes, qu’un seul côté du problème. Une émiplégie chronique chez ces débiles profonds ?   

    Voilà, j’espère que grâce à cet article, WikiLeaks est un plus facile à comprendre…

     

    3 décembre 2010 à 18 h 30 min
  • françois Répondre

      Bien vu, richa83! Mais vous savez ce que c’est, les journalistes sont plus égaux que les autres…

    3 décembre 2010 à 12 h 22 min
  • richa83 Répondre

    Ces mêmes médias qui se régalent de faire semblant de découvrir cette merde, sont pourtant les premiers à gueuler cpmme des putois si l’on s’avise d’essayer de les écouter!
    c’est y pas beau l’hypocrisie à ce degré ??

    3 décembre 2010 à 8 h 46 min
  • Anonyme Répondre

    Tempete dans un verre d’eau… Rien de nouveau, rien de vraiment secret, on n’est bien loin de l’affaire Ciceron. Les professionels de la politique n’ont rien appris, et certainement pas Sarkosy sur ce que l’on pensait de lui.
    Fuites plus embarrassantes que graves, et pendant que certains passent pour des imbéciles, les grands gagnants sont les médias, qui ont vraiment de quoi blablater pendant un moment et qui s’en donnent a coeur joie (11 Septembre diplomatique… Tu parles!), et aussi les Arabes et les Africains, et les autres, qui continuent a faire leurs gosses tranquillement chez nous pendant que tout le monde regarde ailleurs et qui préparent tranquillement leur prise de pouvoir politique en Europe demain (et ils ont bien raison, parce que etre couillon comme les Occidentaux aujourd’hui, ca n’autorise pas a perdurer et il vaudrait peut-etre mieux saborder l’espece, ce qui est en cours).
    Quand meme un truc marrant dans les leaks : La mere Clinton qui demande a ses ambassades d’espionner les voisins (comme ca se fait partout depuis que les ambassades existent)… mais qui ne veut pas que d’autres espionnent, ou au moins divulguent, ses petits secrets pour concierges… Excellent sens de l’humour, n’est-ce-pas?
    Quand aux fuites informatiques en générale, c’est surprenant qu’il n’y en ait pas plus… un peu comme les accidents d’avions, si vous voulez.

    Best,

    Mancney.

    3 décembre 2010 à 0 h 23 min
  • richa83 Répondre

    Beaucoup de bruits pour quel résultat??
    Autant de cables considérés comme secrets….. ça sent plutot l’entourloupe!

    2 décembre 2010 à 18 h 52 min
  • Vlad Répondre

    Cela s’apparente plus a des ragots de chiottes qu’a des scoops! Ce qui explique que Aissange ne se soit pas fait encore dessouder.

    2 décembre 2010 à 10 h 37 min
  • grepon Répondre

    Appelez moi quand les cables du NSA, du Defense Intelligence agency, de SOCOM, de nos armees, ou de la CIA seront sur Wikileaks.    Pour ce qui en est de notre State Department, ce n’est pas une organisation vecteur serieux de programmes secrets d’importance.   Ce n’est pas du tout le meme profil de fonctionnaires qui s’en occuperait, bien sur, bien que les missions du State Department ont une importance disons bureaucratique.   C’est un infrastructure non negligeable pour toutes sortes de services ayant lien avec la citoyenete et/ou immigration, et le commerce.  Dedans il y a la mission diplomatique des consulats, bien sur, mais il serait trop de presumer trop des fonctionnaires dans ce domaine, du moins sans precisions.

    1 décembre 2010 à 16 h 20 min
  • glenarvan Répondre

    D’abord, on est stupéfait ! Qu’un simple bidasse s’amuse à compiler des notes d’ Etat plus ou moins secrètes que le hasard d’une affectation lui met entre les mains, qu’en outre il les transmette en toute impunité à WIKILEAKS sachant pertinemment qu’elles seront divulguées, voilà qui en dit long sur les lacunes informatiques et sur le légèreté qui a présidé à l’embauche dudit bidasse…lequel est en prison depuis le mois de Mai et risque 52 ans de prison aux USA.
    Ce qui est rassurant est que les informations dévoilées – hormis quelques jugements à l’emporte-pièce, regrettables – correspondent en gros à ce que le citoyen moyen connaît des politiques étrangères des Etats.
    Fallait-il ? Ne fallait-il pas dévoiler ces notes ? Je pense qu’aucun document ultra secret n’a apparemment pas été publié, sauf si le site a conservé des documents tout à fait confidentiels, ce que j’ignore. Néanmoins, l’éthique journalistique est en défaut dans cette parution, mais, abreuvés de soi-disant informations comme nous le sommes, on peut saluer cette initiative…dans la mesure où elle ne provoquera pas des difficultés internationales insurmontables, ce que nul ne sait encore.
    Jugement partagé, donc, sur cette publication. Quant à M. ASSANGE, il doit avoir tous les services secrets du monde aux trousses et je ne donne pas cher de sa liberté…au moins.

    1 décembre 2010 à 13 h 36 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *