Anarchie et nostalgie soviétique

Anarchie et nostalgie soviétique

N’étant pas un adepte de la télévision, je la regarde peu, mais suffisamment ces temps derniers pour remarquer dans les manifestations quotidiennes qui ont créé la chienlit dans toute la France, le drapeau soviétique avec faucille et marteau.

Il y a donc en France des partis ou groupements qui sont encore ouvertement communistes et pro-soviétiques. Or, nul n’ignore désormais que le communisme, c’est au total depuis la révolution bolchevique de 1917 130 millions de morts, le crime, les camps de concentration, la corruption, la terreur et la misère. Il suffit de connaître l’histoire récente de l’URSS et de la Chine maoïste pour le savoir. Pour autant, ce sinistre bilan n’empêche nullement la France d’être le dernier pays en Occident à avoir chez elle des partisans actifs d’une idéologie qui a engendré le crime, les camps de concentration, la corruption, la terreur et la misère.

La France démocratique, dit-on. C’est faux. La France n’est pas un pays démocratique. C’est un pays à tendance anarchique avec une minorité qui cherche à imposer sa loi, c’est-à-dire les syndicats politisés qui représentent moins de 10 % des salariés et qui ne subsistent que par les subventions qui leur sont versées par ceux-là même qu’ils combattent, en d’autres termes, en fin de course, par les contribuables. Un comble !

Néanmoins, ces syndicats, CGT, CFDT, UNSA, CFTC, CGC, FO, FSU, etc., plus les lycéens et collégiens, et pourquoi pas demain, les sections d’assaut des écoles maternelles, épaulés par les régiments « subsahariens » anticolonialistes et pillards, imposent au plus grand nombre des Français tourments, gêne et préjudice.

Les mères de famille qui ont un emploi et qui ne peuvent pas accompagner leurs enfants à l’école qui est fermée, les transporteurs routiers condamnés à l’inaction et à perdre leur gagne-pain comme ceux qui en dépendent. Plus d’essence, plus de gasoil ! Les agriculteurs et les éleveurs qui voient leur entreprise péricliter, tous vivant dans l’inquiétude.

Il suffit de 36 grutiers pour paralyser le port de Marseille ou plus de 70 pétroliers attendent que 3 douzaines de grévistes au salaire de 4 000 euros par mois veuillent bien changer d’avis (cf. l’article de Jean Rouxel dans le n° 762). La population de Marseille, elle, slalome entre les tonnes d’ordures non ramassées et a tout loisir pour analyser les conséquences de la « lutte syndicale ». Et on a le culot de nous raconter que 71 % de la population sont enchantés d’être emm… jusqu’à la gauche. C’est le contraire qui est vrai !

Les conséquences de cette pagaille, les voici : plus de 3 milliards d’euros perdus (chiffre officiel) et des milliers de chômeurs supplémentaires, comme si on n’en avait pas assez ! Il faudra aussi indemniser les commerces pillés, les propriétaires des voitures brûlées, les bâtiments publics incendiés. Tout compte fait cette chienlit socialiste et syndicale pourrait coûter à la France près de 10 milliards d’euros. Qui dit mieux ?

Ne parlons pas de l’image de la France à l’étranger. Elle est désastreuse. Toutes les chaînes de télévision dans le monde se font un plaisir de montrer les cortèges aux drapeaux rouges, les files de véhicules devant les stations-service sans carburant, les casseurs qui pillent les commerces, les « jeunes » analphabètes venus « d’ailleurs » bénéficiant pratiquement de l’impunité, puisque, lorsqu’ils sont déférés devant le tribunal, ils en sortent avec trois mois de prison théorique et en rigolant. Tout cela, alors que le chef de l’État s’apprête à présider le G20 et à distribuer ses conseils au monde entier, sans savoir que devant l’opinion internationale, il est discrédité. On ne le prend pas au sérieux, comme d’ailleurs l’ensemble des Français.

Alors, on peut se demander pourquoi la France est si souvent le théâtre de ces désordres à répétition. Depuis 1944-1945, ça n’arrête pas. Les grèves insurrectionnelles dirigées par le PC obéissant à Moscou au lendemain de la Libération, puis mai 1968, puis 1981 avec un gouvernement socialo-communiste, la grève générale de 1995, les émeutes dans les banlieues et j’en passe. C’est que la mentalité française est faite, n’ayons pas peur des mots, de jalousie haineuse et agressive, une sorte de nihilisme destructeur aggravé par le marxisme dont sont encore imprégnés de nombreux politiciens de gauche et une partie de la classe ouvrière. L’idéal, c’est le nivellement par le bas.

Il est, à cet égard, tout à fait significatif de constater que l’ex-URSS et surtout la Chine ayant mis depuis quelques décennies l’autorité de l’État au service du capital ont aussitôt retrouvé la croissance et une certaine prospérité. La Russie qui veut avoir une économie libérale va prochainement privatiser 900 importantes entreprises dont les chemins de fer avec 85 000 km de voie ferrée. La mentalité française, elle, évolue de façon inverse. Les résultats sont là.

Dans une excellente étude publiée le 7 octobre par un quotidien du soir, Arnaud Dupui-Castérès, président de sociétés et ancien conseiller de Jean-Pierre Raffarin, écrit : « 4 ans après l’annonce d’une « rupture » porteuse d’espoir, les Français n’ont toujours pas le moral, c’est le moins que l’on puisse dire. Ils ont peur de l’avenir comme aucun autre peuple. Ils ne font pas confiance à leurs dirigeants, toutes tendances politiques confondues, comme aucun autre peuple… Lentement, mais comme si ce mouvement était inéluctable, le moral de la France sombre dans la grisaille aussi sûrement que ses indicateurs s’enfoncent dans le rouge.

Dans le pays le plus imposé du monde et néanmoins surendetté, le nombre de Français vivant en dessous du seuil de pauvreté, selon l’INSEE, c’est-à-dire avec 950 euros par mois, est de 8 millions de personnes, soit 13,4 % de la population, alors que dans la plupart des pays émergents, les taux de pauvreté se sont littéralement effondrés au cours des deux dernières décennies. Il est à moins de 6 % en Malaisie. Un Français sur deux a un revenu inférieur à 1 580 euros. L’optimisme béat de la classe dirigeante française ne doit plus tromper personne… »

Bref, la France n’est pas un pays émergent, c’est un pays immergé !

Le plus stupéfiant dans le désordre actuel est que 80 % des manifestants ignorent la complexité du dossier des retraites qu’il faudra de toute façon rouvrir en 2014. Il ne s’agit aujourd’hui que d’un colmatage. Les bénéficiaires des 40 régimes spéciaux de retraite ne sont pas concernés. Quant aux étudiants et lycéens, ils ne le sont pas du tout, mais ils trouvent là une bonne occasion de s’amuser avec l’espoir de tuer ou de blesser un policier à coups de pierres, alors, qu’un élève sur 5 arrive en 6e sans savoir ni lire ni écrire, que l’on distribue le bac à tout le monde et que les universités françaises sont de plus en plus mal notées. On va voir ce que cela va donner dans 20 ans

En réalité, cet immense gâchis s’inscrit dans la campagne électorale pour 2012. Sous un aspect social, il est avant tout politique et peut, de ce fait, se prolonger pendant encore longtemps. Et, en attendant, la France, financièrement, reste plus que jamais en faillite.

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Comments (18)

  • Jaures Répondre

    Vous êtes bien magnanime, Eureka: vous oubliez que la France est également responsable de la crise financière, du SIDA et du séisme en Haïti.

    17 novembre 2010 à 17 h 51 min
  • Euréka Répondre

    < Le plus stupéfiant dans le désordre actuel est que 80 % des manifestants ignorent la complexité du dossier des retraites qu’il faudra de toute façon rouvrir en 2014. Il ne s’agit aujourd’hui que d’un colmatage. Les bénéficiaires des 40 régimes spéciaux de retraite ne sont pas concernés. >

    Nicolas Sarkozy avait l’opportunité, par une vraie réforme, de restaurer la justice dans ce pays  et ainsi effacer une première partie de mandat catastrophique. Il n’en a rien été. Bien au contraire : l’Etat confirme qu’il entend perpétuer les inégalités entre les Français. Le pays tout entier est l’otage de la racaille marxiste et rien ne réussira à nous en délivrer depuis que De Gaulle leur a laissé la Sécu, le synidicalisme et la fonction publique pour s’en débarrasser juste après la libération en 1945.  J’en arrive à souhaiter la faillite du pays France, seul évènement qui serait capable d’éradiquer cette engeance experte en intimidations et en  chantages.

    Ce que la France a laissé en héritage au monde :

    –  révolution, logique génocidaire (Vendée) dont se sont emparés les pires des dictateurs (Staline, Pol Pot),

    dictateurs que la France a formés …

    – terrorisme international, né en Algérie, avec les complicités des autorités françaises.  En effet la France a encouragé et même encadré la création des instances religieuses musulmanes dès  les premieres années de la colonisation alors que les populations autochtones n’en demandaient pas tant !  Encore l’influence pernicieuse de la gauche à l’oeuvre.

    La France a toléré l’organisation des nationalistes algériens (étoile  Nord-Africaine de Messali Hadj en 1926, FLN, MNA en 1954, Parti communiste algérien etc etc)

    14 novembre 2010 à 17 h 04 min
  • Jaures Répondre

    "quand on voit tous les jours le niveau des Français moyens, on s’inquiète fortement. " Qu’est-ce qui vous rend ainsi si sûr de votre supériorité, St Tex ?

    Qu’avez vous créé ou réalisé de si marquant qui vous singularise du vulgaire ?

    On peut s’exprimer, même avec colère, sans renoncer à un minimum d’humilité.

    9 novembre 2010 à 17 h 04 min
  • HOMERE Répondre

    Je salue Alceste avec qui j’ai eu l’occasion d’échanger sur un autre blog avec un pseudo différent.Sa contribution ici ne pourra être que bénéfique eu égard à ses connaissances et son esprit imprégné de philo..et de bon sens.Ce que je veux dire,pour compléter son exposé fort judicieux, c’est que l’immigration marxisée par des états originels déclarés "progressistes" a trouvé son prolongement dans l’ex pays colonisateur et bénéficié ainsi aux partis et syndicats de gauche dont les strates militantes sont de plus en plus issues de l’afrique magrhébine et sub saharienne.Etant idéologiquement antisémites,ces peuples constituent ainsi un apport important au mouvement anti juif français.De là à penser que les filières,ou du moins la facilitation à gagner notre pays et s’y installer durablement pour ces migrants serait fortuite si l’intérêt à cette manoeuvre ne rejoignait pas celui précité de gonfler les voiles du socialisme…..et ses effectifs.L’argument du travailleur importé par nécessité de remplir des emplois non pourvus est piquant pour un pays déclarant 2,5 Millions de chômeurs…Serait ce que nos flambeurs d’automobiles ne serait pas formés à autre chose que de glander et insulter l’autochtone ?

    8 novembre 2010 à 19 h 58 min
  • Anonyme Répondre

    @ ALCESTE : je suis assez d’accord avec vous. 

    N’empêche ; quand on voit tous les jours le niveau des Français moyens, on s’inquiète fortement.  Ce peuple passéïste vit dans ses gloires perdues qui n’ont pas toutes été glorieuses quand on se fie aux résultats…   Je l’ai dit : il y a certes des talents, mais étouffés et brimés par la masse des moutons comme vous dites.  Que voulez-vous que l’on fasse avec un peuple pareil qui élit des politiciens à son image ? 

    Le gauchisme se nourrit en effet de l’islam et vice versa.  C’est la phase ultime de métamorphose du léviathan.  Prêt à tous les compromis pour régner, peu importe sur qui, les socialos utiliseront l’islam pour venir aux commandes du pays et se remplir à leur tour les poches, devant le regard niais et l’inertie des bons moutons.  Et 2012 risque fort d’être cet avènement.  Et puis après tout, autant exploser et qu’on en finisse pour entrer dans une nouvelle ère pour le pays mais qui coûtera très cher en vies humaines avant de naître.  Je suis pessimiste à court terme, certes, mais optimiste à long terme.

    8 novembre 2010 à 18 h 49 min
  • Alceste Répondre
    A Saint-Tex (et à quelques autres)
    Mais vous parlez d’évidence, l’ami ! Toutefois, je ne suis pas de votre avis concernant la « nullité » des Français à travers les siècles. Au contraire nous devons être fiers de notre histoire et de notre mission civilisatrice. Les choses ont commencé à se dégrader après la défaite de 40, la libération du pays par les anglo-américains et le sentiment général que nous n’étions plus qu’une nation de second ordre acceptant le plan Marshall et l’American way of life. S’en suivit la guerre d’Indochine que nous avons perdue ; la guerre d’Algérie que nous avons gagnée par les armes, mais perdue à la suite du renoncement gaullien. Avec la décolonisation, la montée du tiers-mondisme d’obédience marxiste et le raz-de-marée de la contre-culture soixante-huitarde, notre pays est devenu un pays de couilles molles gouverné par des pétochards. Avec le déclin moral, la situation ne pouvait que se dégrader et aboutir à ce que vous déplorez à juste raison. Notre pays surendetté court à sa perte. La France s’affaisse sous le poids écrasant de son inertie et son refus de se voir colonisé par le parasitisme migrant, ses valeurs sont remises en cause. Si le gouvernement actuel échoue dans son projet de redressement économique et si les Français sont assez stupides pour vouloir redonner la main au socialisme prodigue et à ses affairistes maçonniques, alors ce sera grave pour le pays.
    Ce que vous dites à propos de l’extrême-gauche est vrai. Mais l’activisme gauchiste n’existe que parce la presse – les médias au sens général – le font exister. Il faut tout de même une forte dose de sottise pour accueillir Besancenot sur un plateau de télé pour l’écouter déblatérer non-stop sa logorrhée débile. En fait, le NPA – et ses alliés de circonstance : trotskistes, anars, Verts, autonomes… ne représentent pratiquement rien. Ou plus exactement, représentent un complément électoral grâce auquel le parti socialiste et ses apparatchiks peuvent espérer revenir au pouvoir. Car tout le monde doit comprendre que si une alliance électorale est déshonorante avec le FN, en revanche elle est fortement recommandée avec la canaille rouge.
    Oui, le gauchisme sous toutes ses formes est potentiellement criminel. Les anarchistes grecs viennent de nous le rappeler. Mieux vaut mettre en avant le prétendu danger du Front national sur lequel journalistes et commentateurs s’accordent avec un enthousiasme moutonnier. Ils savent pourtant  que si les Besancenot, Mélanchon et consorts parvenaient à mobiliser les « masses », ce serait pour ces messieurs-dames, et à bref délai, la balle dans la nuque dans les sous-sols d’une autre Loubianka (l’ex-siège du KGB à Moscou). Quelques soient les oripeaux « dialectiques » dont il se pare, le collectivisme n’a jamais gouverné autrement que part le crime et l’esclavage.
    Le vrai danger du gauchisme en France n’est pas une hypothétique révolution communiste devenue impossible de par la présence d’une forte classe moyenne aux opinions modérées et d’une économie désormais globale. Marx s’est trompé. C’est le capitalisme qui est devenu mondial. Le vrai danger gauchiste est son accointance non dissimulée avec l’islamisme et ses dérivés dit « antisionistes ». Car il y a belle lurette que l’antisémitisme a déserté les rangs d’une droite extrême tombée en déshérence. Aujourd’hui, la haine du juif est à gauche*. Les gauchistes en France espèrent toujours – non pas convertir l’électorat aux joies du collectivisme, mais mobiliser l’engeance sarrasine de nos banlieues dans le but d’infliger au pays un maximum de nuisances en tous genres. L’islam est politico-religieux. Une religion à vocation totalitaire. C’est donc est un bon catalyseur des haines anti nationales, puis antioccidentales comme les cultive le socialisme radical depuis un siècle et demi.
    *Lire Pierre-André Taguieff. La nouvelle judéophobie. Fayard, 2002.
    8 novembre 2010 à 13 h 26 min
  • Anonyme Répondre

    Ce qui crève les yeux dans le fond de tout cela, c’est la nullité des Français.  

    Pour que tout ce merdier ait traversé les siècles, il faut en tenir une sacrée couche !!!

    Et cette nullité s’aggrave.  Il y a des gens talentueux et courageux en France, mais ils sont jalousés, brimés, écartés par les nuls.   Regardez déjà à l’école : si vous n’aimez pas le foot et si vous avez de meilleurs résultats scolaires que les autres, vous êtes mis à l’écart.  Plus tard, si vous ne picolez pas et ne vous droguez pas comme les autres, vous êtes mis à l’écart.  Bref, si vous êtes brillant et normal, vous êtes écarté.

    Hypocrisie, jalousie, mauvaise foi ( lisez Joresse, par exemple) et nullité crasse.  Voilà leur devise.

    Et en effet, on tolère des parti comme le NPA, avec tous ses apprentis Pol Pot.   Quand la TV ou les revues parlent de l’extrème gauche, on oublie ses crimes et on en parle pas.  Quand on parle de l’extrème droite, on entend durant des semaines des cris d’orfraie et bien sûr, rebelotte sur les crimes nazis alors que les nazisme était le National Socialisme. La connerie veille.

     

    7 novembre 2010 à 19 h 25 min
  • sas Répondre

    …..une décision comme celle là…..est un test sur loccident asservi…..

    SI LES ANGLAIS BOUGENT PAS…….le nabot agité et enfariné va probablement se lancer sur une option de ce style en france…..car ca tangue pour eux…et ils vont avoir du mal a finir la mendature…

    ils n ont pas d autre option, pour contenir la montée des extrêmes et des nationnaux y compris en france …la dissimulation et la triche comptable ne suffit plus….

    cqfd

    sas

    7 novembre 2010 à 15 h 22 min
  • petitjean Répondre

    Nous vivons en France dans une "douce" dictature.

    Mais en Angleterre la dictature ne se cache même plus

     

    Royaume-Uni : les professeurs pourront être licenciés pour appartenance au BNP

    Michael Gove, le secrétaire à l’éducation du Parti conservateur, a annoncé que les inspecteurs de l’enseignement auront le droit de licencier tout professeur appartenant au BNP (British national party), sans que celui-ci ait commis le moindre acte contraire ou tenu le moindre propos abusif.

    Les recteurs d’académies sont sur le point d’avoir la possibilité de se séparer de professeurs membres du BNP ou de tout autre groupe à “teneur extrémiste”.

    Cet engagement du secrétaire de l’Éducation, Michael Gove, fait suite au cas d’un militant du BNP ayant fait usage d’un ordinateur de l’Éducation afin de poster des commentaires qualifiants les immigrés de “crasse”. Gove à déclaré qu’il autoriserait les proviseurs et responsables à casser les professeurs pour appartenance au parti d’extrême droite. Les membres du BNP ne peuvent déjà pas travailler pour la police ou l’administration pénitentiaire.

    Le ministre a déclaré au Guardian : ” Je ne crois pas que l’appartenance au BNP soit compatible avec le métier d’enseignant. Une des choses que j’envisage de faire est donner aux recteurs d’académies et aux responsables de l’éducation les pouvoirs et la confiance afin de se déparer des professeurs engagés dans des activités extrémistes.

    ” J’étendrais cela à l’appartenance à d’autres groupes à connotation extrême. Je ne vois pas comment être membre du Parti National Britannique pourrait aller de pair avec le modelage de jeunes esprits.”

    Ce coup d’éclat à été accueilli favorablement par le syndicat de l’éducation NASUWT, qui a plébiscité l’application. Son secrétaire général, Chris Keates, a dit:” J’espère que Michael Gove mettra cela en œuvre le plus vite possible. C’est important pour sauvegarder les intérêts de notre jeunesse.

    6 novembre 2010 à 17 h 03 min
  • petitjean Répondre

    excellente analyse sur les malheurs de notre Pays

    à lire et à faire suivre

    sur polemia.com

    extrait

     

     

    Les trois France : France des privilégiés, France d’origine immigrée, France ostracisée

    La crise sociale rampante que connaît notre pays révèle une fracture profonde qui divise de plus en plus la France en trois groupes concurrents, en trois France rivales.

    La France des privilégiés

    La France des privilégiés d’abord, qui constitue le principal soutien de la majorité parlementaire actuelle et de l’action de Nicolas Sarkozy. Elle est avant tout constituée de la nouvelle classe dirigeante des managers des entreprises transnationales, des institutions financières et de leurs compagnons de route médiatiques et politiques notamment. La France des privilégiés est la France légale, celle des gyrophares et des médias. Elle comprend aussi les retraités riches et certaines professions protégées de la concurrence mondialisée.

    Tous sont les principaux bénéficiaires du libre-échangisme mondialiste.

    Les entreprises transnationales font supporter aux Etats les conséquences de leurs prises de bénéfices, c’est-à-dire des réductions d’effectifs, des délocalisations et de l’immigration. Elles payent moins d’impôt relativement à leur richesse que les autres agents économiques.
    Les seniors ont leur retraite et leur dépendance, financées par les actifs d’aujourd’hui, c’est-à-dire par les enfants qu’ils n’ont pas voulu faire hier. Ils ont profité de la hausse du prix de l’immobilier et de la bulle financière née des privatisations des années 1990. Ils profitent de la hausse continue des dépenses de santé et de la baisse des prix à la consommation qui est une conséquence de l’ouverture des frontières économiques.

    Bien entendu, la France des privilégiés ne comprend pas les grévistes et les accuse de mettre en péril l’économie. Tous sont de chauds partisans des « réformes », dans la mesure où… ils n’en supporteront pas vraiment les conséquences.

    La France d’origine immigrée

    La France d’origine immigrée ensuite. Elle se développe numériquement et se caractérise par un taux d’activité inférieur à sa part relative dans la population. Elle reçoit en contrepartie des transferts sociaux, payés par les actifs, d’un volume plus important que son poids numérique. Elle se protège aussi par des solidarités familiales et claniques fortes, implantées solidement sur des territoires.

    Elle bénéficie de l’attention constante de la France des privilégiés, toujours prompte à s’épancher sur les malheurs des « pauvres Africains » : financement de mosquées, investissements et subventions prioritaires dans le cadre de la « politique de la ville », mise en place d’une discrimination dite « positive » car elle s’exerce en leur faveur, régularisation des immigrants clandestins, législation protectrice, etc. Car les entreprises transnationales ont besoin de l’immigration.

    La France des « jeunes » d’origine immigrée a plutôt tendance à se retrouver épisodiquement du côté des manifestants.

    La France ostracisée

    La France ostracisée, enfin, est composée du reste de la population française, c’est-à-dire des actifs, de la classe moyenne salariée et des Français de souche jeunes ou pauvres. C’est-à-dire tous ceux à qui il revient de vivre dans une économie soumise à la dure loi du libre-échangisme mondialiste. Les plus nombreux.

    Cette catégorie de Français connaît les petits boulots, les contrats à durée déterminée, la crainte du chômage pour elle ou ses enfants et l’accroissement des impôts, des taxes et des prélèvements. Elle a du mal à acheter un logement en centre ville et doit supporter un long temps de trajet domicile-travail. Elle éprouve des difficultés à assurer les fins de mois ; elle est endettée et elle fait ses courses dans les magasins de hard discount. C’est elle qui supporte le plus la dégradation du service public à la française et du cadre urbain. C’est elle qui est du côté des victimes de l’insécurité, quand les « jeunes » ont « la haine ». Ce sont ses enfants qui souffriront des politiques de « discrimination positive » mises en place par la France des privilégiés, après avoir souffert de la dégradation du système d’enseignement public, délaissé par les mêmes. C’est elle enfin que la France des privilégiés accuse en permanence de tous les péchés de la terre : conservatisme, corporatisme, pétainisme, frilosité, xénophobie etc. C’est elle qui est soumise aux perpétuelles campagnes de repentance qui visent à mettre en accusation son passé, son histoire et son identité.

    La France des autochtones souffre et s’inquiète pour son avenir. Mais elle n’a pas droit à la parole et n’intéresse la classe politique que tous les 4 ou 5 ans, lorsque le risque électoral menace.

    La France ostracisée fait grève ou comprend les grévistes, même si elle souffre des arrêts de travail, des retenues sur salaires et des pénuries. Car c’est elle à qui la France des privilégiés promet une retraite tardive, des services sociaux réduits et « la vérité des coûts », c’est-à-dire des tarifs en hausse. Elle perçoit comme une injustice une réforme qui les touchera personnellement, alors qu’elle épargnera la France des privilégiés, cette même France des privilégiés qui a creusé les déficits et la dénatalité et qui aujourd’hui lui fait la leçon.

    ………………………..suite sur polemia.com

    5 novembre 2010 à 19 h 25 min
  • Bourbonnaise Répondre

    Pourquoi 1944-45 ? Ce serait plutôt 1789 Il suffit de relire Gracchus Babœuf, on voit bien que nous sommes toujours dans cette logique. Il faut couper toutes les têtes qui “pourraient” dépasser, et pas seulement celles qui dépassent.

    5 novembre 2010 à 19 h 03 min
  • Mondial Répondre

    Que la situation se détériore en France d’année en année est une évidence. Que la misère touche de plus en plus de français est tout aussi évident comme la montée du chômage. La peur de l’avenir devient la règle pour la jeunesse avec une immigration-invasion dont on n’a pas fini de payer les conséquences. Galère pour les jeunes, misère pour les vieux après 35 ans d’incurie et de mensonges de la classe dirigeante. Quitter la France comme dans le livre ” les corps indécents ” semble le seul salut possible pour échapper à l’islamisation galopante d’un pays qui se meurt, empêtrés dans ses problèmes et ses contradictions. Et pendant ce temps, le monde avance. Comment et dans quel état sera le pays dans quatre ou cinq ans ? Europe implosion à court ou moyen terme ? France nouvelle Corée du Nord (ou presque) en devenir ?

    5 novembre 2010 à 1 h 30 min
  • Alceste Répondre
    Bonsoir,
    Voici quelques livres choisis parmi d’autres qui, en maints endroits, traitent de quelques aspects du fait « sociétal » par le biais de cette discipline bizarre qu’on appelle la sociologie, ce refuge des nullités universitaires. J’en fais mention ici comme complément au papier de Christian Lambert.
     
            L’arrogance française. Balland, 2003. Romain Gubert – Emmanuel Saint-Martin. Ces deux journalistes déplorent (je cite) : « … une maladie à laquelle les Français sont très attachés : croire que la France se doit d’offrir au monde les Lumières, le Droit, la Liberté… ». Le fait est que l’étranger aime à visiter notre pays mais déteste le Français qu’il voit bavard et prétentieux.

            Le terrorisme intellectuel. Perrin, 1997. Jean Sévilla, qu’on ne présente plus. L’auteur y dénonce l’imposture des intellectuels de gauche qui depuis un demi-siècle – non seulement se sont vautrés dans l’apologie des pires criminels, de Staline à Mao, de Pol Pot à Guevara, de Mengistu à Sékou Touré – mais de plus se parent du péplum de la vertu tout en faisant la police de le pensée dans le landerneau littéraire et médiatique.

            La dictature des syndicats. Albin Michel, 2003. Bernard  Zimmern, fondateur de L’IFRAP. « Car ils font la loi. En grève quasi permanente, ils refusent tout changement et cassent les ministres qui s’essaient à de timides réformes. Qui sont-ils ? Les syndicats bien sûr. FO, CGT, SUD, CFDT, chacun a son bastion et le défend, au besoin contre l’intérêt général. »
     
            La France aux ordres d’un cadavre. De Fallois/Rocher, 2000. Maurice Druon. L’auteur (décédé) du Chant des Partisans et des Rois maudits, voyait la France en « régime semi-marxiste, seul pays d’Europe à se trouver dans ce cas. ». Et seul pays à entretenir – outre une ribambelle de groupuscules extrémistes – trois partis trotskistes, un PC croupion et un parti « vert » plus rouge qu’écolo. A défaut de jamais parvenir au pouvoir par la voie légale, il reste de pousser au maximum possible tout leur pouvoir de nuisance.  

            La France qui tombe. Perrin, 2003. Nicolas Baverez. L’auteur « établit le constat clinique d’un déclassement [de notre pays]. En historien, il pointe repères, étapes, degrés et causes. En économistes, il démonte les cercles vicieux de l’incapacité française. »

            Toujours plus ! Grasset, 1982. François de Closets. On ne présente plus l’auteur de ce best- seller de la gabegie bureaucratique française et des féodalités étatiques. Il dénonce aussi l’imposture syndicale qui mobilise sans risque les bataillons de fonctionnaire pour la défense d’intérêts purement catégoriels. « Ceux qui crient le plus fort sont rarement les plus mal lotis ».

            Aux frais de la princesse. Lattès, 2007. Yvan Stéphanovitch, journaliste. 25 ans plus tard et sur le même sujet, une enquête poussée et pas piquée des verts sur les privilégiés de la république. Un voyage ahurissant dans la haute fonction publique. Le salariat doré de l’énarchie.
    A noter un chapitre pas triste sur « le paradis de la discrimination positive ». Ces cent mille fonctionnaires des DOM-TOM, bien logés, exonérés d’impôts, quasiment payés à ne rien foutre, pour « neutraliser toute velléité indépendantiste » !
    Des citoyens un peu plus égaux que les autres qui doivent à leurs ancêtres, coupeurs de canne malgré eux, de se la couler douce sous les cocotiers, dividendes de la traite négrière. Aux frais de la métropole.
      
    Car ainsi va la France. Quoiqu’il arrive, il faut soutenir la réforme du régime général de la retraite. C’est la seule attitude raisonnable à l’heure où l’État est contraint de s’endetter pour verser un salaire aux culs-de-plomb en surnombre ; où il faut piocher sans vergogne dans la caisse du régime général des salariés du privé pour alimenter celle, en permanence déficitaire, des salariés protégés de l’État… (et des paysans !).
    A la lumière des événements, on se dit que le gouvernement a raté là une belle occasion de se montrer plus offensif.  Que risquait-il ? Les dirigeants syndicaux le savent bien : toute grève prolongée se heurte à un obstacle absolu, la pénurie de carburant. Et les vacances, c’est sacré. Nous l’avons constaté : le mouvement s’est délité de lui-même sitôt que l’essence a manqué. Un projet de départ à 65 ans n’eut pas provoqué plus de bazar, somme toute. De toute façon, et quoi que fasse un gouvernement de droite, aux yeux de la gauche nostalgique d’une époque révolue (c’est-à-dire réactionnaire), ce sera toujours mal.
    C’est un malentendu de croire ou faire semblant de croire que les grévistes se sont opposés à la réforme. Le Français est un râleur congénital mais pas un idiot. Il sait qu’il devra travailler plus longtemps et toucher moins. C’est mathématique et la démographie n’est qu’un aspect du problème. Une grève – fut-elle justifiée – ne peut rien contre le raz de marée de la concurrence internationale. Les « mouvements sociaux » étaient moins dirigés contre la réforme que contre le gouvernement et le président Sarkozy. La grève ne fut pas sociale mais politique.
     
    5 novembre 2010 à 0 h 43 min
  • françois Répondre

      Tiens, je croyais que le PIB par habitant ne voulait rien dire il y a à peine une semaine? Mais je vois qu’aujourd’hui, c’est l’argument invoqué pour montrer que l’article ne vaut rien.

      Donner X milliards divers aux entreprises qui sont la source nationale de richesse me semble tout à fait cohérent .Encore que je demande à savoir en quoi consistent ces "dons". Quand on voit en effet que ne pas tout prendre en impôts à ces entreprises est considérée par certains comme un don ou un cadeau, on est en droit de se poser la question de la signification de certains mots.
      Mais donner des centaines de millions à des gens qui vont passer leur temps à me pourrir la vie dépasse mon entendement…

    4 novembre 2010 à 20 h 08 min
  • Jaures Répondre

    Que je vous dise, ami Vincent, je travaille dans le privé et j’ai participé aux manifestations avec plusieurs de mes collègues. Et la plupart de ceux qui n’y ont pas participé ont soutenu ce mouvement dans une proportion que je n’avais pas vue depuis longtemps.

    Si vous  vous êtes imposé au maximum possible, et donc que vos revenus sont supérieurs à 70 000€  après abattement, vous travaillez, non pas jusqu’à mi-juillet pour l’état mais jusqu’à fin mai.

    J’espère vous avoir consolé.

    4 novembre 2010 à 17 h 53 min
  • sugier vincent Répondre

    La France,dernier pays de l’Europe COCOSOSIALOPREDATEUR,qui soit disant au nom du peuple nous met en position d’ESCLAVE pour leurs profits.ILS NE REPRESENTENT PERSONNE à par EUX .Nos dirigeants,(droite , gauche)!!! Que font-ils ? RIEN , le droit de grève les droits de l’homme , la soit-disant démocratie , mais POUR QUI  ?? QUI FAIT LA GREVE ? LA FRANCE = EX URSS ! ! ! Et on nous raconte que 75% de Français sont pour ! ! ! mais je rève  où sont pris les témoignages ? Dans la presse ! les sondages de nos journalistes ! nos fonctionnaires le corp enseignants enfin bref , dans la corporation de la bande de Faignasses , qui depuis 40 Ans nous exploitent NOUS LE PRIVE . J’AI HONTE , la France Laîque mais Quand et Où ? Dans nos écoles nos enfants coplètement endoctrinés à la pensé "UNIQUE GAUCHISTE" ce sont les profs eux mème qui les poussent dans la rue pour manifester , et attention il faut rien dire sinon les gauchos de la classe vous démontent , et à la rentrée les notes sur vos bulletins dégringolent . J’AI DES EXEMPLES , ET JE SUIS PAS LE SEUL !!!!! Comment voulez- vous que la France avance , , et ensuite et en mème temps l’islam radical se frotte les mains , et nous envahi……… il faut rien dire sinon , vous ètes un rasiste, ENCORE UNE FOIS J’AI HONTE,la planète entière se moque de nous,une poignée de traître planqués nous dominent et nous dirigent . Comment faire ? Il faut nourrir toute la plânète !! Le Français est écrasé par des impots directs et indirects on travaille j’usqu’à mi juillet , pour l’état, pour payer nos fontionnaires,nos faignasses,IL FAUT QUOI ENCORE ? IL FAUT VOTER POUR QUI POUR SORTIR DE CETTE MREDE !!! SISSOUX

    4 novembre 2010 à 12 h 35 min
  • Jaures Répondre

    Evidemment, cher Alain, difficile de laisser passer un tel article sans réagir !

    Je me demande même parfois si les Lambert et autres Millière n’écrivent pas leurs éditos en pensant:" Tiens ! Remettons en une couche! On va voir ce qu’en va dire Jaures."

    Sur les grutiers à 4000€, j’ai rétabli la vérité dans le fameux article de Rouxel en référence: ce n’est pas en répétant un mensonge plusieurs fois qu’il devient une vérité.

    Je ne sais pas si Lambert s’est aventuré dans les cortèges, mais il fallait vraiment les chercher pour voir les drapeaux de LO ou du PAC. J’y ai vu moi essentiellement des salariés exprimant leur mécontentement. Il faut quand même, cher M Lambert, rendre hommage à ces syndicats, si peu représentatifs, capables de mobiliser des millions de Français de Juin à Novembre tout en gardant le soutien de la majorité du peuple.
    En fait, les syndicats n’ont pas connu un tel courant de sympathie depuis des années et nous verrons lors des prochaines élections si le PS qui a participé au mouvement est, pour cela, condamné par les électeurs.

    Quant aux fameuses subventions, qui coûtent moins d’un euro par an à chaque contribuable pour financer les syndicats, elles s’élèvent à 65 milliards en aides diverses aux entreprises !

    Sur les conséquences économiques des grèves, elles sont, quand elles ne durent que quelques jours, sans effet. Le mouvement contre la réforme Juppé n’a en rien impacté la croissance en 1996 et dire que les grèves créeraient du chômage alors que la crise financière a coûté déjà plus de 500 000 emplois est tout de même dur à avaler !

    Que les Français ne fassent pas confiance à leurs dirigeants est évident mais de quelle confiance profitent ceux des autres pays Berlusconi, Merkel, Zapatero sont dans le rouge. Obama a subi un revers électoral de même que les travaillistes britanniques. La dette française n’a rien à envier à tous ces pays pourtant souvent dépourvus de systèmes sociaux.

    Les manifestants savaient bien que la réforme ne règle pas le problème des retraites, contrairement à ce qu’assène le gouvernement, c’est même pour cela qu’ils ont manifesté. Et il est pour le moins contradictoire de qualifier d’enfants les jeunes qui manifestent et de les rendre responsables pénalement dés 13 ans.

    Enfin, comparer la France à la Malaisie dont le PIB par habitant n’atteint pas le tiers de celui des Français montre le sérieux global d’un tel article, si déconnecté de la réalité qu’il en devient surréaliste.

    4 novembre 2010 à 11 h 12 min
  • Alain Répondre

    Relativisons: Les manifestants arborant le drapeau sovietique ne sont que quelques centaines, n’en deplaise au Kamarade Jaures qui ne va pas tarder a ressaser ses vieilles rengaines revolutionnaires! Que sont ces quelques centaines de braillards souvent ivres, sur l’ensemble de la population "travailleuse"? :)

    Concernant l’image de la France a l’etranger… Je vis hors de France et peux confirmer que l’admiration pour la France que l’on voyait, a l’Est,dans les annees 90, s’est transformee en franche rigolade! Ce n’est pas la faute des politiciens francais… Mais bien du peuple francais qui a elu, re-elu et encore elu, ces politiciens.

    Alain

    3 novembre 2010 à 17 h 33 min

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