Ce que nous enseigne la démission de Jacinda Ardern

Ce que nous enseigne la démission de Jacinda Ardern

À la grande surprise des grands médias internationaux qui n’ont cessé de l’encenser, la Première ministre néo-zélandaise a annoncé sa démission la semaine dernière.

La raison est qu’elle était détestée dans son pays : sa cote de popularité n’a cessé de dégringoler, passant de 70 % à 29 %, au point qu’elle avait très peu de chance d’être réélue cette année.

Alors pourquoi un tel rejet à l’égard de cette femme jeune qui avait pourtant suscité tant d’espoirs lorsqu’elle fut élue en 2017 ?

Parce que Jacinda, formée et conditionnée par l’oligarchie de Davos, était chargée d’appliquer un agenda contraire aux intérêts du peuple néo-zélandais.

C’est ainsi qu’elle lui infligea les pires mesures durant la période Covid.

On se souvient, par exemple, qu’en août 2021, elle avait pris la décision de placer la nation sous strict confinement après le signalement d’un seul cas de coronavirus, le premier du pays en six mois.

Et quand la page pandémique fut tournée, elle se saisit alors du programme vert ardemment défendu par la classe mondiale des milliardaires.

Tout cela eut pour effet de saccager l’économie du pays et de déclencher un tsunami de protestations face aux conséquences désastreuses : criminalité en nette hausse, crise du logement, inégalités de revenus et inflation galopante.

Selon les observateurs locaux, elle n’a jamais cherché à redresser la barre en appliquant des mesures correctrices. À l’instar de ses condisciples des Young Global Leaders, comme Macron et Trudeau, elle a préféré s’en tenir à la feuille de route imposée par ses « sponsors ».

Pour faire court, si Ardern était une icône pour l’internationale gauchiste, pour le peuple Kiwi, elle n’était rien moins qu’un despote qui a détruit l’économie de son pays. Elle a donc décidé de quitter le navire et je ne doute pas que ces amis qui l’ont promue à ce poste lui en obtiendront un autre, très honorifique, dans une organisation internationale.

S’il faut en tirer un enseignement, c’est qu’un leader « progressiste », chargé d’appliquer un agenda liberticide et destructeur, devient rapidement très impopulaire, jusqu’à provoquer la colère de la foule. Et lorsque la foule commence à gronder et à descendre dans la rue, les dictateurs en herbe préfèrent se mettre au vert le plus loin possible du lieu de leurs forfaits.

Doit-on y voir un avertissement pour ses petits camarades de classe que Klaus Schwab se vante d’avoir habilement placés un peu partout ?

Partager cette publication

Comments (5)

  • Laure Tograf Répondre

    A voir la tronche de Schwab, je ne lui acheterais pas une voiture d’occasion. Mais…certains masos, peut être…

    11 février 2023 à 18 h 08 min
  • vozuti Répondre

    dimanche dernier, un an après avoir été traité en paria par le gouvernement australien de tim morrison corrompu par pfizer, djokovic est revenu pour mettre une claque à l’ignoble morrison, en remportant l’australian open de tennis pour la dixième fois… les crapules n’ont pas toujours le dernier mot.

    31 janvier 2023 à 23 h 43 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      Mais son père a ” de fait ” été “interdit ” de tribune car … trop ” proche ” des Russes !
      Savoir aussi que la France contribue a faire fabriquer en Australie des obus pour l’ artillerie ” ukrainienne …
      Après l’ humiliation des sous-marins on leur devait bien ça aux Australiens et aux Américains ,Démocrates et Républicains confondus
      RESTONS DIGNES !

      1 février 2023 à 9 h 41 min
      • vozuti Répondre

        les joueurs russes ont d’ailleurs été interdit de jouer à wimbledon l’an dernier… peut-etre pour éviter qu’ils dévorent des bébés ukrainiens pour reprendre des forces entre les échanges.
        quand à djokovic, il n’a toujours pas le droit de jouer aux US.
        l’an dernier au moment de l’us open, un journaliste avait demandé à la porte parole de biden pourquoi djokovic était interdit de territoire alors qu’au meme moment des centaines de milliers de migrants illégaux passant par le mexique avaient obtenu le droit de rentrer, sans condition de vaccination.
        sans se démonter, la porte parole avait répondu “ce n’est pas la meme chose, djokovic ne traverse pas la frontière à pieds”.
        ce qui signifie que si djokovic était rentré illégalement avec les migrants, en demandant lui aussi d’etre pris en charge par les aides sociales, alors il aurait eu le droit de jouer le tournoi, sans devoir subir au préalable la punition pfizer.

        2 février 2023 à 0 h 57 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          Vous vous faites aujourd’ hui le chantre de la … vaccination !
          c’ est bien sûr une amicale taquinerie de ma part !
          Pour ce qui est de l’ immigration aus States il est logique que les ” défavorisés ” centro-américains croient encore au ” Rêve américain ” Nexflix et le Media font tout pour ça !
          Comme moi, Chomsky lui n’ y croit plus du tout, tout comme Allan Bloom avant lui… Mais ce sont des Juifs américains cultivés , originaires de l’ Europe Centrale et de … gauche
          Heureusement Guy Millière croit lui encore en un certain cauchemar américain celui de la cupidité à n’ importe quel prix humain !

          2 février 2023 à 10 h 08 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *