Evasions et patrimoines : une histoire française

Evasions et patrimoines : une histoire française

On débat beaucoup, cette semaine, d’« Évasion ».

Cahuzac  Prince altier de l’esbroufe, superbe comédien de la repentance, coaché par un conseiller autrement meilleur que le Sérillon du président, fut, lors de sa prestation de mardi, à l’égal du grand acteur Steve McQueen dans la Grande Evasion, création célèbre de l’année 1963. Ce film aurait-il suggéré une idée à notre ex ministre, bien qu’âgé de 11 ans seulement lors de sa sortie ?

La valeur d’un patrimoine n’attend pas le nombre des années !

Ce désormais célèbre acteur dramatique aura su cultiver sa zone d’ombre derrière les leurres éclatants de sa  lumière publique. Nul ne pourrait s’étonner désormais d’une nouvelle et belle carrière dans la tradition  de la grande comédie française, où les figurants ne manquent pas…

D’autres  évasions affectent la France avec  les expatriations des jeunes talents qui s’accélèrent sous ce début de septennat calamiteux. La fortune étant désormais bannie quand elle n’est plus aveugle, les entrepreneurs dynamiques sinon aventuriers, vont labourer sous des cieux plus cléments les chemins fertiles de la réussite.

On ne saurait reprocher à ceux dont les parents ont doublement cotisé à l’éducation en leur offrant des cursus renommés et (donc) privés, de s’en montrer dignes en répondant par le succès. Celui-ci profite souvent au pays d’accueil mais également au devenir des intéressés qui savent anticiper les années futures en créant une épargne avec des investissements risqués ou sécurisés !…

La constitution d’un patrimoine n’attend pas le nombre des années !

C’est ce que les ministres, qui ne sont pas des héritiers, semblent ignorer…

Henri Gizardin

http://target2007.typepad.fr/hgizardin/

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