La malédiction africaine de la France

La malédiction africaine de la France

La population française s’africanise chaque jour davantage. Stephen Smith l’a démontré avec précision dans son dernier ouvrage : « La ruée vers l’Europe » chez Grasset.
Les Africains sont déjà des millions en France venus d’Afrique noire et du Maghreb. Des localités sont désormais presque entièrement peuplées d’Africains. La grande majorité de ces nouveaux venus est assistée par l’argent public. La caisse d’allocations familiales, la CAF, c’est le phare qui guide les migrants venus de toutes les régions d’Afrique pour travailler ou ne pas travailler – de toute façon pour être payés. Le coût de cette migration est déjà énorme.
Il s’agit d’un mouvement de fond irréversible, dû à l’évolution démographique de l’Afrique. Au Sahel, en particulier au Mali, au Burkina Faso, au Niger, au Tchad, les populations vont tripler à l’horizon 2050. Déjà, la population au sud du Sahara, écrit Stephen Smith, a plus que quadruplé, passant de 230 millions en 1960 à un milliard en 2015. Dans 35 ans, ce rapport sera de l’ordre de 450 millions d’Européens vieillissants pour quelque 2,5 milliards d’Africains.
La moyenne de progression démographique est, au Sahel, de 7,2 enfants par femme. En France, elle est de moins de 2. À ce rythme-là, en 2100, sur un total mondial d’un peu plus de 11 milliards d’habitants, 40 % seront Africains, analphabètes ou non. Ils seront pour l’essentiel la jeunesse du monde ! Comment allez-vous arrêter ou même ralentir cette évolution ? Les résultats, nous les connaissons : ils sont déjà plus qu’inquiétants et, demain, le seront plus encore.
Les deux tiers des séropositifs dans le monde, écrit Stephen Smith, sont des Subsahariens et des maladies contagieuses que l’on croyait éradiquées reviennent en force.
Au Mali, émigrer est une obligation. Le jeune doit émigrer en France pour envoyer à sa famille le complément qui lui permettra de vivre mieux. Il aura ainsi l’autorisation de prendre femme.
Je me souviens d’une réflexion qui m’a été faite à plusieurs reprises : « Toi, si tu étais noir comme nous, il y a longtemps que tu aurais émigré. – En Suisse, sans doute, ai-je répondu. – Non, en France, parce que ça paie mieux. »
Nul n’ignore que vivre en Afrique où règne l’anarchie depuis la fin de la colonisation – je devrais dire survivre – est difficile. Les guerres sévissent partout. Au Sahel et en Afrique centrale, le niveau de vie reste très bas. Beaucoup de jeunes sont analphabètes. Voici un exemple, parmi tant d’autres, de ces conditions de vie : à Lagos, la lagune reste un cloaque dans lequel, avec les marées et la pluie comme chasse d’eau, la majorité des habitants se procure l’eau à boire et à faire la cuisine ! À Paris – même Porte de la Chapelle entre les poubelles –, c’est mieux.
Cette émigration massive en Europe, et d’abord en France, est assez bien organisée. À Agadez au Niger, quelque 70 ghettos font office d’infrastructures hôtelières. Il y passe de très nombreux migrants chaque mois, en route pour l’Europe, via la Libye, où des passeurs criminels les attendent en toute tranquillité.
Alors, pratiquement, l’Afrique pour la France aujourd’hui, c’est quoi ? Ce sont des échanges commerciaux peu importants, une guerre au Sahel qui nous coûte très cher et surtout la perte de jeunes avec cérémonies désormais habituelles aux Invalides. Tout cela, pour aboutir à quoi ? Et pendant combien de temps ? Alors faut-il tout laisser tomber ? La tentation est forte. Mais pas d’illusion ! Sans la présence militaire française, ces régions tomberaient en quelques mois entre les mains de groupes islamistes et elles deviendraient la base pour agir en France, avec la bénédiction discrète de l’Algérie. Le problème, on le voit, est aussi grave qu’insoluble. C’est un piège d’autant plus redoutable qu’une fois arrivées en France, ces ethnies retrouvent vite leurs habitudes ancestrales : elles se battent entre elles et, bien sûr, la corruption s’infiltre partout. Je rappelle qu’en Afrique même, c’est l’instabilité qui régit les institutions – le Mali vient d’en donner un nouvel exemple. C’est une évolution propre à la mentalité africaine qui connaît la famille et la tribu et non pas la nation, invention des blancs disent-ils. De façon générale, ceux qui attendent la bonne soupe ne peuvent attendre trop longtemps. Capitaines et colonels deviennent vite impatients et la bonne soupe, finalement, arrive mais c’est le contribuable français qui la paie.
Cette évolution est d’autant plus alarmante que cette émigration est renforcée pour l’essentiel par l’octroi de visas et de la nationalité française, distribués par notre administration. En profitent chaque année des centaines de milliers d’individus. Vous en connaissez le coût : des milliards d’euros !
Pour terminer, voici une petite histoire dont je viens d’être le témoin. Dans un supermarché, devant moi, un jeune client payait à la caisse ce qu’il venait d’acheter : deux bananes et une pomme pour 1,62 euro. C’était son déjeuner. Il ne pouvait pas acheter davantage. Il n’en avait pas les moyens. C’était un garçon d’une douzaine d’années des Cévennes ou de Bretagne. Je lui ai offert son « déjeuner » mais j’en aurais pleuré …

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Comments (3)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    c’ est vrai: comme vous , j’ aimerais voir ” expédiés ” vers une autre planète certains ” blancs ” , ” noirs ” , cuivrés , basanés ou jaunes

    4 septembre 2020 à 13 h 52 min
    • ELEVENTH Répondre

      Vous n’avez rien compris.
      Seuls les “blancs” seraient dégagés…avant d’être “mangés”.
      Nous laisserions la terre aux peuples d ‘Afrique… pour la finir.
      Ainsi se réaliserait le rêve des “indigenistes” haineux qui ne veulent que nous annihiler . Pas vous bien sur qui semblez tant les apprécier.

      5 septembre 2020 à 1 h 15 min
  • ELEVENTH Répondre

    D’abord, on ne dit pas “africanisé”, mais “tropicalisé”. Pour rester dans le politiquement correct. “Basané” est encore admis, mais pas pour longtemps. Quand vous êtes entre gens non orientés, il existe bien d’autres termes, mais..motus.

    Il se trouve que je connais assez bien la question pour avoir bien visité l’Afrique et fréquenté nombres d’Africains.
    Aussi ne puis je que souscrire à votre constat: puisque nous nous sentons responsables des résultats de la fornication forcenée de ces populations et de sa progression lapinesque, nous devrons sans cesse leur lacher une part de plus en plus grande de nos biens, sous toutes les formes, jusqu’à leur épuisement.
    Une question me taraude, quand même. Que se passera t il quand, le déséquilibre des populations européennes et africaines, ne permettra plus aux “blancs” d’alimenter les envahisseurs sans cesse plus nombreux? En effet, des gens d’un continent possédant toutes sortes de richesses potentielles (au niveau du continent s’entend) sont infoutus de les valoriser eux mêmes et cherchent à se faire prendre en charge par d’autres.
    Vite, une immense navette spatiale pour l’exil des blancs sur une autre planète.

    2 septembre 2020 à 0 h 41 min

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