Le Génie français, le triple A et les triples buses

Le Génie français, le triple A et les triples buses

Il fut un temps où la France avait un patrimoine : c’était du temps où l’on bâtissait la cathédrale de Chartres et pas les rocades ouest ; du temps où l’on bâtissait Versailles et pas les foyers de clandestins ; du temps où l’on écrivait la comédie humaine où les philosophes ne s’appelaient pas BHL ; du temps où nos peintres s’appelaient Champaigne ou Jean Clouet et pas Pingouin souillant l’image du Christ ; du temps où l’on civilisait des contrées éloignées et où l’on ne ramenait pas les islamistes au pouvoir en Tunisie ou ailleurs ; c’était aussi le temps où des fils d’immigrés comme Piaf ou Montand enchantaient le monde avec de la chanson française et ne polluaient pas avec du rap de banlieue. Cet ensemble d’apports civilisés et linguistiques de la France au monde, culturels et traditionnels, cela s’appelait la culture française, le patrimoine français.

Avec les triples buses technocratiques, juridiques, économiques, qui nous gouvernent depuis 40 ans (mai 74 pour être précis), la définition du patrimoine a baissé. Le patrimoine français, l’exception française qui avait éclairé le monde depuis Jeanne d’Arc ou les châteaux de la Loire, depuis Racine ou l’art de Rameau, a permuté : c’est la défense du triple A. Le triple A c’est tout ce qui reste au pays de Noah et Doc Gynéco.

Le triple A c’est bien. Le triple A c’est un sucre. Cela permet d’emprunter, de payer les emprunts précédents, de rembourser les intérêts, de ménager des guerres un peu partout et en Iran, de faire un peu d’humanitaire, et d’acheter les électeurs les plus cons à quinze jours des élections. D’une certaine manière le triple A existe dans la littérature de nos génies : c’est ce qu’on appelait le renom, le prestige, l’honneur. Aujourd’hui c’est la volonté d’emprunter du pognon à des pays émergents pour financer notre dette et notre je-m’en-foutisme sidéral. Et puis c’est tout.

Les gens qui nous gouvernent sont des gens qui se prennent au sérieux, des gens qui souhaitent gagner de l’argent, vivre la belle vie, des gens qui admirent le fric. Ils n’ont réussi, ces néocons, ces esprits sérieux, ces néolibéraux de tout poil, qu’à nous faire perdre notre triple A en doublant notre déficit comme par enchantement lors de la soi-disant crise de 2008. Depuis 2007, la France s’est alignée à grands pas sur les puissances qui périclitent, les puissances anglo-saxonnes. La droite anglaise, la droite américaine, et c’est Ron Paul qui le souligne, a aussi été nulle. C’est la post-droite, la droite de la Fin de l’Histoire ; qui veut redresser le pays, mais ne réussit qu’à doubler son endettement ; qui veut remettre le peuple au travail mais brade toute son industrie ; qui veut des guerres partout, mais ne réussit qu’à enflammer ses banlieues ; qui veut chasser le musulman, mais lui donne le pouvoir économique ; qui veut revenir à la morale, mais défend tous les fraudeurs et toutes les canailles du printemps arabe. Et c’est cette droite là qui joue au responsable, qui nous fait le coup du je travaille la nuit pendant que vous roupillez le jour.

Le gouvernement actuel n’aime pas l’histoire. Il veut en supprimer l’enseignement. Et pour cause.

Prenons un exemple : la France de Napoléon III, auquel on a comparé imprudemment l’actuel président, est la France de Baudelaire, de Berlioz et de Garnier, de Mallarmé et de Flaubert. Mais c’est la France d’autre chose. En 1870, après nous avoir aplatis sur le champ de bataille à l’issue d’une guerre mal préparée et surtout sottement déclarée, Bismarck nous demande une rançon de cinq milliards de francs-or. Le chancelier de fer, qui était d’un autre métal que la dame du même nom, pensait bien nous attraper. Mais le peuple était économe et bourgeois, pas bobo ou assisté.

Et nous avons payé rubis sur l’ongle. La petite France patriote des paysans et des marchés de villages, dont on se moque tant dans les salons de Saint-Germain, la France moisie de nos ancêtres, même la France des bourgeois et des bohèmes, a surpayé et renchéri, et ramené quatorze fois l’emprunt. Nous payâmes 70 milliards de francs-or, et cela fait beaucoup en euros (*), en zgloubs, comme disait déjà Philippe Muray, qui savait à quoi s’attendre avec la monnaie des singes de Goldman taxes et des triples buses en quête du triple A.

L’époque où l’on avait des poètes (Rimbaud, Verlaine… Ver qui ?) était aussi l’époque où l’on avait des économies : il faudra l’expliquer à Sarkozy !

Le gouvernement actuel se flatte bien sûr par Pécresse ministresse de mépriser la culture et de la virer de l’école et de partout. Le gouvernement actuel veut des businessmen, et l’on sait que les businessmen ne sont pas des industriels et qu’ils détruisent l’économie de leur pays parce que, comme les vautours, ils n’ont pas les serres des aigles et ne peuvent que dévorer de la charogne.

Le gouvernement actuel déshonore la France. Il la prostitue publiquement, il la vidange diplomatiquement, il la bousille socialement ; il l’humilie culturellement, et il la vend en « prêtant » notre patrimoine versaillais aux pignoufs des États pétroliers qu’il veut enrichir avec sa guerre contre l’Iran. Mais surtout le gouvernement actuel n’est pas sérieux. Après nous avoir avertis de l’imminence de la catastrophe, suivant en cela les enseignements du capitalisme de catastrophe, il nous déclare tout de go que la perte du triple A n’est pas si grave !

Et je suis d’accord : la perte du triple A ne sera pas si grave, surtout si l’on change de gouvernement et qu’on se rappelle un peu de la France d’avant la fin de l’histoire. Tout se passe comme si les Américains et les Européens avaient cru que l’histoire se terminait au moment ou monsieur Fukuyama le déclarait… Mais non, messieurs, l’histoire n’est pas un mauvais rêve, l’histoire ne s’est pas terminée en 1989, et il va falloir vous remplacer pour vous l’expliquer ! Car les triples buses qui nous gouvernent ne se rendent pas compte que ce n’est pas un double A qu’ils méritent, mais un bon triple zéro et un bon coup de pied pétardant dans les fondements. Laissons les poètes au pouvoir eu lieu des avocats, et les gens économes au lieu des économistes.

(*) environ 510 milliards d’après mes calculs.

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Comments (20)

  • Anonyme Répondre

    Alors là, chapeau bas Mr Bonnal. Ce texte mériterait de circuler sur le net. A propos de culture, depuis les années 1920, il n’y a plus de grands écrivains ni de grands peintres en France.

    6 février 2012 à 12 h 12 min
  • greg Répondre

    Je vois pas le rapport avec la droite. C’est quand même pas l’idéologie de droite qui prône l’interventionnisme à tout crin ou l’état providence.
    La période à laquelle vous faite référence entre 1870 et 1914 est une période de libéralisme et de pragmatisme économique en France. Que je sache c’est la dernière fois que c’est arrivé.
    Je ne vois pas d’hommes de droite en France, je ne vois que des politiciens qui ecoutent les sondages et qui pense qu’une loi permet de résoudre un problème,  des gens pleutres et sans imaginations.

    17 janvier 2012 à 13 h 37 min
  • HOMERE Répondre

    Mon pauvre Monsieur Bonnal,la nostalgie n’est plus ce qu’elle était…nous ne sommes plus nostalgiques parce que nous ne rêvons plus.Qui,d’ailleurs,serait capable de restaurer l’esprit qui nous animait dans les années de plomb où nous avions à lutter contre l’oppression et la famine ?

    Nous n’avons plus à nous défendre de l’oppression et de la famine,alors nous cherchons des ennemis dignes d’alimenter nos phantasmagoriques pulsions de nantis.Les hommes politiques sont des cibles rêvées pour concentrer nos hires et dégorger nos impuissances.Je le répète,nous sommes devenus le peuple de la néantidude que le passé n’éclaire plus…observer les commentaires ici;ils ne sont que l’expression de la quantification des avoirs matériels dont nous demandons toujours plus.Aucune introversion,pas la moindre réquisition de l’action,plus de volonté active au changement…..La fin des dirigeants actuels et celle des futurs responsables qui seront élus demain, ne servent que les diatribes violentes de la minorité dopée par cinquante années d’impuissance.

    Je croyais ici,que nous avions comme axe de réflexion l’axiome libéral sustenté par la pensée de la droite conservatrice des acquis moraux hérités de notre histoire.Las,je ne vois que propos exagérés par des personnes exaspérées de ne pouvoir valider leurs positions autrement.

    Ne nous y trompons pas…ces attitudes resteront dans les archives au rayon "à classer" dans la rubrique "faits divers"……

     

    17 janvier 2012 à 12 h 05 min
  • sas Répondre

    Mon cher nicolas….

    je serais tenté de te dire ni coca ni colas…autant je partage ton analyse pertinente de notre situation générale dont moi,je date les causes origineles hautement planifiées en 1789…..autant ta conclusion est légère…

    …tu vois en martinqiue , a fort de france , nous avons été géré par un humaniste chantre de la négritude et autres bravitudes reprise en coeur et annonés par nos crétins hégagonaux dont marie…tu sais l idiote du poitoux qui marche sur l eau et dont on essaye de nous refiler à l insur de notre plein gré son flamby d ex mari……que de la graine de couillon débiles… donc ici, c est bien un poète….. qui nous a géré pendant un demi siècle….

    …..résultat : faillitte, clientélisme, assistannat et explosion de la dette aussi….

    ….alors a pitre avocats imoraux, piètres socialos démagaux…

     

    …il nous faut tout simplement , de simples francais bien construit intelectuellement, riche de savoir et d histoire, exemplaire professionnellement…bon père de famille et surtout PROFANE……afin de diriger le plus grand nombre du troupeau insane….et bêlant dans la bonne direction.

     

    sas

    17 janvier 2012 à 11 h 53 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    @ small bartholdi
     
    parce que vous trouvez que la Tour d’Eiffel est une oeuvre d’art ?
    comme le disait l’architecte du Baron Haussmann :
    " les grandes architectures sont celles qui font de belles ruines !"
    … donc un amas de ferraille qui rouillerait comme Hagondange !

    17 janvier 2012 à 10 h 57 min
  • Jaures Répondre

    Il y a quelque chose d’étrange à glorifier ainsi le passé les yeux embués de sépia.
    Nous avions des poètes, dit Bonnal. Certes, mais que dirait  Bonnal des moeurs d’alors des Baudelaire, Verlaine ou Rimbaud ? L’auteur des Fleurs du Mal a été condamné pour outrage, s’est vu refusé l’Académie Française, laissé dans l’indigence. Verlaine et Rimbaud sont emprisonnés en Angleterre pour "relations contre nature". Les mêmes poètes seraient ici probablement traités de dégénérés.
    De même, que dirait Bonnal de ces artistes dont il semble nostalgique qui avaient nom Courbet, Manet, Daumier, Corot, membres de la fédération des artistes de la Commune de Paris, celle-ci chantée par Rimbaud et l’Union de Poètes ? Nous ferait-il croire qu’à l’époque il eût été du côté des insurgés ?
    Rappelons que sous Napoléon II, la censure était à son apogée, la presse, les Arts et les Lettres sous contrôle, Eugène Sue ou Flaubert trainés en justice.
    L’Age d’Or selon Bonnal.

    17 janvier 2012 à 10 h 45 min
  • Anonyme Répondre

    @ OZONE

    trois raisons (au moins )  :

    1) elle est maitresse de sa monnaie ( enfin la Banque Rothschild la contrôle comme le cours de l’or ! )
    2) son plan de rigueur est un VERITABLE plan de rigueur
    3) il perdure chez eux un sentiment patriotique ( écoutez les chants dans les stades de rugby ! )

    chez nous une seule bouée à la gabegie  : la recherche d’un nouvel impôt  !  !   !

    17 janvier 2012 à 9 h 46 min
  • ozone Répondre

    La dette de l’Angleterre est supérieure et se double d’une dette privée monstrueuse,pourtant les agences les laissent tranquiles,cherchez l’erreur

    La flexibilité du marché du travail est maximun,et pourtant….

    16 janvier 2012 à 21 h 13 min
  • J. Rolland Répondre

    Cet article est une pure merveille, un morceau d’anthologie, et comme le dit n°9 il faudrait l’afficher et le distribuer partout.

    Pour ma part je vais le diffuser à tous mes correspondants en espérant qu’ils en feront autant. Mais comment le faire parvenir aux "triples buses" ?

    16 janvier 2012 à 19 h 59 min
  • Guillermo Répondre

    Article captivant. A propos du triple A, je garde toujours en tête le commentaire ahurissant de bétise de François Hollande. Il déclarait récemment qu’il était vital de conserver notre triple A … si l’on voulait continuer d’emprunter !! Décidément la gauche est irrémédiablement indécrottable. Qu’il s’agisse d’ailleurs de Sarko ou de Hollande on atteint des sommets.

    16 janvier 2012 à 18 h 12 min
  • SMALL BARTHOLDI Répondre

    Voici le temps des Assassins, avait prophétisé Rimbaud dans ses Illuminations. C’est un fait : tout ce qui faisait la beauté et la gloire de la France, encore si palpables pendant le demi-siècle qui précède la Première Guerre Mondiale, a été lentement et très minutieusement détruit.

    Promenez-vous dans Paris : tout ce qui est beau, digne d’intérêt et ravissant provient, peu ou prou, de cette époque bénie. La Tour Eiffel elle-même, symbole éternel de l’ex-capitale culturelle de l’Occident, date de cette époque.

    Depuis 1919, quoi ? Des expos, de la fiesta (de moins en moins montmartroise), des RER, des Vélibs, Beaubourg et la Pyramide du Louvre. Et des immeubles qui ne sont plus que des logements.

    Le XIXe siècle restera notre époque bénie, et celle de toute l’Europe (l’Angleterre et l’Allemagne étaient aussi deux nobles colosses, au mode de vie admirable). C’était l’époque des grands penseurs (Nietzsche, Renan, Darwin), des polymathes, des grands voyageurs (conquête des Pôles), des peintres impressionnistes et des sculpteurs exaltant l’héroïsme (Rodin, Bourdelle), des fontaines Wallace et des grandes sagas romanesques.

    Un siècle d’Assassins divers et variés plus tard, circulez, il n’y a plus rien à voir !

    Que retiendra-t-on de notre XXIe siècle français ? Le matérialisme intégral ne peut produire de grandes oeuvres de l’esprit, juste des taxes et des barres HLM. On attend le liquidateur final. Il ne saurait tarder.

    16 janvier 2012 à 18 h 08 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    dans cet article vous citez UN homme qui est à LUI SEUL les  prémices de ce que nous vivons …
    … Napoléon III  dit le Petit ( tiens ! tiens ! déjà ! ) par Victor Hugo …
    puisque c’est sous le second Empire que s’épanouît  la Banque Rothschild ….
                   ( qui avait fait fortune avec la défaite de son oncle)
    l’Histoire a aussi SES poubelles … il n’est pas encore ( totalement ) interdit d’y aller fouiller ( avec un crochet ,  un masque et des gants  )

    16 janvier 2012 à 17 h 32 min
  • Dubucque Répondre

    Article percutant que j’approuve entièrement ! Il y manque cependant la stigmatisation du peuple qui en porte quelque peu la responsabilité pour avoir porté ces jean-foutres au pouvoir en votant UMPS depuis des lustres et particpé au tout sauf le Fn dans les triangulaires législatives offrant ainsi  presque toutes les mairires à la gauche et le Sénat par voie de conséquence ( ouf; phrase longue mais nécessire) ! Cordialement vôtre ! A.D.

    16 janvier 2012 à 17 h 23 min
  • UANECNARUAL Répondre

    Depuis longtemps je lis attentivement les articles de Nicolas Bonnal.

    Mais c’est la première fois que je lui trouve tant de violence et de desespérence. Malheuresement, on ne peut qu’aprouver ces propos.

    Je crois vraiement  que la sitation  est  grave !

    16 janvier 2012 à 17 h 14 min
  • Inspecteur Juve Répondre

    Très bien tapé, bravo !

    Je vais diffuser autour de moi ce brillant article.

    16 janvier 2012 à 17 h 13 min
  • HOMERE Répondre

    On en revient toujours aux mêmes constats,mais jamais aux remèdes.Bonsoir de bonsoir,serions nous devenus ces minables incapables d’oublier le passé pour bâtir un avenir ? Notre nouveau monde ferait il une place aux génies,aux poètes et autres bâtisseurs ?

    Sans changer nos moeurs,habitudes et sans obliquer notre trajectoire vers des concepts de vie tenant plus en compte les valeurs de notre culture et les exigences morales à poursuivre dans la direction de nos anciens,puissions nous prétendre à une quelconque progression du génie qui fut français ?

    Non !! nous ne voulons plus de celà….nous voulons régresser moralement pour que nos appétits physiques soient toujours plus satisfaits (c’est la condition).

    Vous savez,les créations éphémères des pseudo artistes,de même que les gribouillages de nos pseudo penseurs,ne nous interessent plus…plus rien ne nous interesse que nous !! notre ADN a été polluée par le chromosome de la médiocrité.

    Nous sommes des médiocres et indifférents de l’être….alors le glorieux passé de notre pays.on s’en torche….

    16 janvier 2012 à 16 h 52 min
  • Jaures Répondre

    "Et nous avons payé rubis sur l’ongle." Qui donc nous ? Evidemment à l’époque on ne s’embarrassait pas pour saigner et affamer le peuple. Payer une dette n’était pas un problème, surtout quand les responsables de la guerre et de la reddition (car on s’est précipité pour capituler apeuré par la Commune écrasée avec la complicité de l’occupant) se sont exonérés de l’effort. Car cette guerre qui remplit tant Bonnal de nostalgie a également coûté 140 000 morts et 1 600 000 habitants de territoires annexés.
    Numéro 9 a raison: il importerait de lire ce texte nauséeux en tout lieu afin que l’on sache que la France qui préfère l’humiliation à son peuple, la soumission à la révolte fait encore recette dans certains crânes.

    16 janvier 2012 à 16 h 08 min
  • David Répondre

    Voilà qui est bien dit. Chapeau l’artiste. Merci pour ce beau texte.  David

    16 janvier 2012 à 14 h 15 min
  • Toni Répondre

    NB a écrit: "Car les triples buses qui nous gouvernent ne se rendent pas compte que ce n’est pas un double A qu’ils méritent, mais un bon triple zéro et un bon coup de pied pétardant dans les fondements."

    Commençons déjà par nous occuper de ce point, ça ne va pas faire tout seul ni d’un claquement de doigts.

    16 janvier 2012 à 13 h 27 min
  • NUMERO 9 Répondre

    En raison de sa richesse en érudition, en clairvoyance et en poésie, votre article mériterait d’être affiché dans tous les lieux publics, distribué à l’entrée de toutes les bouches de métro, déposé dans les salles d’attente de tous les lieux où l’on attend, et lu dans toutes les écoles avant de démarrer la classe : félicitations !

    Numéro 9.

    16 janvier 2012 à 11 h 27 min

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