Le procès de la justice française
De Jean Rouxel, dans Les 4 Vérités, à propos du procès de l’assassin d’Anne-Lorraine :
“ce procès n’est pas seulement de Thierry Devé-Oglou, il est aussi – et peut-être surtout – le procès de ce que l’on appelle par une sorte d’antiphrase orwellienne la « justice française ». Car Thierry Devé-Oglou avait déjà été condamné pour viol – commis également dans le RER D en janvier 1995. À l’époque, il avait été condamné, non pas à dix ans de prison ferme, comme le prévoit le Code pénal, mais à cinq ans, dont deux avec sursis. Et, en réalité, sa condamnation ayant été publiée le 14 février 1996, il a été libéré le 13 février 1997… Un état de faits ahurissant et scandaleux. Quand les juges vont-ils se décider à appliquer la loi ? Et quand les juges d’application des peines, dans ce cas particulier des crimes sexuels, vont-ils comprendre qu’il est relativement facile pour un violeur d’adopter une « bonne conduite » en prison, pour la simple et bonne raison qu’ils sont rarement en contact avec des jeunes filles à violer dans leurs cellules ! Depuis le meurtre de sa fille, son père […] a entamé un long combat contre la récidive et le laxisme judiciaire. L’objectif final est de mettre hors d’état de nuire ces prédateurs sexuels. Je m’associe bien volontiers à ce combat. Il faut au minimum une véritable perpétuité pour éviter toute récidive de ces crimes particulièrement monstrueux. Mais nous ne ferons pas l’économie aussi d’un véritable débat politique sur la peine de mort…”
Comments (4)
Entièrement d’accord avec le commentaire précédent.C’est l’ecole nationale de la magistrature qu’il faut fermer et recruter les magistrat sur concours comme autrefois ou l’on voyait des avocats confirmés par vingt années d’expérience devenir de juges éclairés et qui pouvaient juger en connaissance de cause et non motivé par l’idéologie gauchiste de l’ENM.
Qu’un juge ne soit pas civilement responsable de ses décisions me semble une anomalie. Nous sommes tous responsables de nos actes dans la vie, l’avionneur de ne pas avoir assuré la sécurité, le policier d’avoir usé de son arme, le chirurgien de la mort de son patient etc… etc…
Cela nous montre à nouveau que les fonctionnaires sont au dessus des lois et surtout des français pas comme les autres.
Dela même façon un juge devrai avoir au minimum 45 ans. Un juge de 25 ans peut-être très érudit mais que sait-il de la vie ? C’est comme s’il on apprenait la météo dans les livres sans tenir compte des aléas du temps dans la réalité.
La justice n’est plus en phase avec le peuple français ; d’ailleurs elle n’a plus que son nom pour se prévaloir “Justice”.
Les quelques procureurs et juges qui comme Maurel appliquent encore la loi pourront ils nous réconcilier ?
C’est pourtant simple pour leur faire comprendre !!!
Il suffirait de limiter la liberté de ces violeurs à un périmètre de 500m autour de la maison du juge qui le remet en liberté, là où sont ses enfants et sa femme !!!
Quand sa fille aura été violée et son fils parlera reubeu, il comprendra ce juge !!!