Les idées saugrenues et dangereuses de la République

Les idées saugrenues et dangereuses de la République

La République (on doit maintenant dire les « valeurs républicaines ») véhicule un certain nombre d’idées fausses, parfois ridicules, et souvent dangereuses.

La première d’entre elles veut que « tous les hommes soient égaux ». Cette contre-vérité qui date de la révolution de 1789, due aux privilèges abusifs de la noblesse et du clergé, a pris un caractère sacré qui génère une confusion permanente. Comment peut-on dire qu’un paysan analphabète d’Afrique est l’égal d’un professeur agrégé de médecine. Il n’empêche que, devant l’urne électorale, son bulletin de vote, s’il est français, a la même valeur que celui du professeur. Or, la France compte déjà 3 millions d’illettrés (chiffre officiel) ! De plus, l’analphabète étant égal à tous les autres, pourquoi s’opposer à une immigration massive d’analphabètes ? « Les mauvais valent les bons. » C’est peut-être cela que nos dirigeants de droite et de gauche appellent la modernisation sociale.

Autre idée étonnante, nouvelle celle-ci : la priorité accordée aux femmes. Il est vrai que les femmes, en France et de façon générale partout dans l’Occident chrétien, ont subi des discriminations depuis l’origine des temps. Il est, par exemple, inacceptable qu’à compétences et travail égaux, les femmes soient moins rétribuées que les hommes.
Mais, de là à tomber dans l’excès actuel, il y a un précipice. Voilà, en effet, que, maintenant, ces pauvres femmes, après avoir tant souffert pendant des millénaires d’avoir été reléguées derrières leurs fourneaux à langer les petits-enfants, doivent tout diriger. C’est un impératif, sinon c’est l’amende.

Il faut autant de femmes que d’hommes dans les instances dirigeantes des partis, au Parlement, au conseil d’administration des grands groupes. « Le Monde » du 12 juin titre en première page : « Les femmes occupent 41,5 % des postes de maître de conférences, mais seulement 19,9 % des postes de professeurs ». L’équilibre des sexes n’est pas atteint. C’est un vrai scandale. Faut-il sonner le tocsin ? Ceci dit, l’objectivité nous conduit à dire qu’en France, la situation en ce domaine n’est tout de même pas catastrophique. On peut se consoler avec Martine, Marine, Ségolène et nos Christine (Boutin et Lagarde) et, bien sûr, Carla Bruni-Sarkozy. Bref, ces excès sont ridicules. La valeur d’un être humain ne réside pas dans son sexe. Et si une femme ne veut pas être député ou PDG, on ne peut tout de même pas la forcer !

À cette idée dépourvue de bon sens, s’en apparente une autre que l’on pourrait appeler le « tout sexuel ». Il n’est pas de jour où les médias ne nous servent une histoire sexuelle, généralement sordide, et toujours déplacée. Nous avons eu droit à l’affaire Strauss-Kahn, qui aurait provoqué déjà 200 000 articles dans la presse mondiale (une certaine presse américaine qualifiant l’ex-directeur du FMI de « crapaud lubrique » en qui le peuple français plaçait toutes ses espérances). Puis, ce fut le tour d’un secrétaire d’État à la Fonction publique, pourtant bien sous tous les rapports, spécialiste du massage des pieds, qui peut-être passa parfois au massage général, notamment sur une secrétaire ayant un penchant prononcé pour l’alcool, nous racontent les journaux. Le lendemain, on apprend qu’un certain Mahéas, sénateur PS, est condamné pour agression sexuelle et qu’à Marrakech, il se serait passé des choses… C’est le bas-empire et c’est sans fin. Ceci sans parler du harcèlement sexuel, qui est condamnable et que l’on devrait codifier dans un nouveau code. Ce ne serait jamais que le 70e du droit français, auquel d’ailleurs, à l’exception des spécialistes, plus personne ne comprend rien, puisque la France est régie par plus de 400 000 textes officiels, souvent contradictoires.

Toujours est-il qu’il serait bon que dans ce code soit prescrit désormais, pour éviter tout harcèlement, de s’adresser à une dame en lui déclarant : « Puis-je me permettre, Madame, de prendre la liberté de vous soumettre une proposition ? » Tout cela relève du comique de théâtre et il serait temps de faire preuve d’un peu de sérieux.

Autre idée qui fait fureur : l’écologie. Aujourd’hui, il faut être écolo. D’ailleurs, en théorie pure, on pourrait avoir un président de la république écolo. C’est ainsi que se profile une dame d’origine norvégienne qui aimerait bien résider à l’Élysée, mais les écolos, eux aussi, se bousculent aux primaires, comme les socialistes. Ils ne s’entendent pas. Quel est leur programme ? C’est difficile à dire. Supprimer le nucléaire ? Fort bien, mais pour le remplacer par quoi ? Par des centrales au charbon, la pollution en prime ? Par des moulins à vent ? Par une facture énergétique double de ce qu’elle est aujourd’hui ? Le prix du gaz a déjà augmenté de 63 % en 6 ans. Et si l’on commençait par la propreté des trottoirs et la fin de la pollution par le gaz à effet de serre des voitures toujours plus nombreuses ? On dit aussi que les écolos sont favorables à une immigration à tout va. On en connaît déjà les effets ! Tout cela non plus n’est pas sérieux.

Enfin, dernière idée fausse : la repentance. Il faut condamner l’esclavage et la colonisation. Bien, mais de l’esclavage pratiqué par certains pays islamiques et qui dure encore, pas un mot, surtout pas un mot. Quant à la colonisation qui a fait passer notamment l’Afrique de la Préhistoire aux temps modernes, on a tout le loisir de constater ce qu’est la décolonisation. Voyez la Côte d’Ivoire, ses tueries et ses destructions et tant d’autres territoires…

Pour terminer, une question : lorsque le maire de Sevran, en Seine St-Denis, Stéphane Gatignon, parce que la police est débordée, fait appel à l’armée pour tenter de rétablir l’ordre dans sa commune livrée à la guérilla entre bandes issues de l’immigration, ne peut-on pas parler des effets désastreux de la décolonisation au sein même de notre pays ?

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Comments (18)

  • Jaures Répondre

    Hans, j’ai trouvé plus gros: la Britannia Project du groupe Clipper avec 7,58 MW. Elle, est une éolienne offshore.
    Par contre, j’ai des données différentes des vôtres sur l’E-126 qui, selon http://www.enerzine.com/3/4064+135m-de-haut-pour-la-plus-grande-eolienne-du-monde+.html culmine à 135m (avec 127m de rotor).
    Je pense que ce modèle se décline en plusieurs versions qui évoluent avec les progrès de l’éolien.

    28 juin 2011 à 19 h 11 min
  • Jaures Répondre

    "Laissons faire le temps et elles sauront elles mêmes s’imposer.’
    Près de deux millénaires pour simplement commencer à prendre place dans les instances de décision, accéder à tous les métiers, aux formations,…

    Ne pensez-vous pas que les femmes ont été assez patientes comme cela ?

    28 juin 2011 à 19 h 00 min
  • Quéribus Répondre

    Je verrais bien certaines femmes disparaître de la vie publique pour retourner à leurs fourneaux !  Elles y seraient certainement moins malfaisantes… Je veux dire par là que ce n’est pas parce que l’on est une femme que l’on est forcément "au top". Laissons faire le temps et elles sauront elles mêmes s’imposer. Quant aux mecs néfastes (et il y en a, beaucoup trop), ils seront bien obligés de s’effacer, tout naturellement. Cette obligation de quotas est une véritable faute sociologique.

    28 juin 2011 à 13 h 04 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<J’écrirai bien que vous mettez de l’eau à mon moulin mais on dirait que c’est facile.>>

    Que sait-on déjà bien? Vous y compris.
    Dans l’ignorance cessez ce ton condescendant si typiquement socialo "sait tout"!

    À quand la sortie de la vie assistée et l’entrée dans la vie responsable de l’entrepreneur?
    Il est bien sûr plus facile de critiquer que de d’entreprendre.

    NB: E-126 n’est pas sur l’eau mais bien sur la terre ferme!

    28 juin 2011 à 8 h 57 min
  • Jaures Répondre

    Merci Hans, je ne connaissais pas ce produit mais j’avais écrit: "Bien entendu, on peut installer offshore des éoliennes encore plus grandes et plus puissantes: certaines dépassent 7MW et on espère atteindre bientôt les 8 puis les 10MW !"

    J’écrirai bien que vous mettez de l’eau à mon moulin mais on dirait que c’est facile.

    27 juin 2011 à 13 h 13 min
  • sas Répondre

    pratiques maffieuses et saugrnue entretenues pr la ripoublik :

     

    Cinq hauts fonctionnaires ont comparu vendredi devant la Cour des comptes

     

    Ils ne viennent pas combler un poste vacant, leur a ctivité – quand ils l’exercent – ne correspond à aucun besoin défini et leur recrutement ne fait l’objet d’aucun concours ni critère de sélection… Dans le jargon de l’Éducation nationale, on les appelle les «IAP», les inspecteurs de l’académie de Paris. Vendredi, leur condition a été passée au crible devant les hauts magistrats de la Cour des comptes. Fait exceptionnel, cinq hauts fonctionnaires, parmi lesquels deux anciens directeurs de cabinet du ministère de l’Éducation nationale et un recteur, comparaissaient vendredi en toute discrétion devant la cour de discipline budgétaire et financière de la Cour des comptes, juridiction administrative chargée de punir les infractions en matière de finances publiques. En cause : la douzaine de nominations intervenues au sein de cette inspection si particulière, entre 2006 et 2008. Le procureur général estime en effet qu’existaient «de sérieuses raisons de mettre en doute la régularité» de ces nominations.

    En réalité, la 3e chambre de la Cour des comptes a mis le doigt sur ce qu’elle a appelé pudiquement, à l’occasion d’un rapport daté de février 2010, «une survivance historique injustifiée». Les inspecteurs de l’académie de Paris existent dans les textes depuis 1810, mais, au fil du temps, le mécanisme a été dévoyé, si bien que ces emplois publics servent surtout à «permettre des nominations de collaborateurs d’autorités politiques», explique noir sur blanc la Cour, qui a dénoncé au total vingt-deux titulaires nommés par ce mécanisme réactivé par Jack Lang lorsqu’il était ministre de l’Éducation nationale. «L’objectif de ces nominations n’était pas de faire exercer des fonctions d’inspection au sein de l’académie de Paris, qui sont d’ores et déjà assurées par des personnels compétents, mais de garantir aux personnes ainsi nommées une rémunération pérenne, quels que soient l’endroit et la manière dont elles exerceraient par la suite leurs activités», souligne la Cour. Les inspecteurs peuvent être rémunérés de 4500 à 6000 euros.

    Ainsi l’inspection de l’académie de Paris se renfloue-t-elle volontiers à l’occasion des alternances politiques. Nicole Baldet, secrétaire de Lionel Jospin, y a trouvé refuge en avril 2002, comme Christophe Borgel, membre de la direction du PS, Claude Roiron, secrétaire nationale du PS, ou encore Christophe Degruelle, ex-directeur de cabinet de Jack Lang. Plus tard, Anne Peyrat, ex-conseillère culturelle de Chirac, Arnaud Teullé, candidat malheureux à la mairie de Neuilly, ou encore David Teillet, délégué général de l’UNI, membre du cabinet de Xavier Darcos, y ont également trouvé place.

     

    Peines d’amende requises

     

    Toutefois, pour des raisons liées à la prescription, seules les nominations effectuées depuis juillet 2004 étaient examinées vendredi par la cour de discipline budgétaire et financière. Le procureur général a critiqué le fondement juridique «évanescent» de ces nominations, ainsi que la mise à disposition, ensuite, de ces inspecteurs, parfois vers d’autres organismes. Avant de mettre en exergue des «absences d’activité» . Traduction : trois personnes parmi les douze citées vendredi n’ont rendu aucun service pendant de longs mois selon l’enquête de la Cour. Les recteurs mis en cause par les hauts magistrats – qui leur reprochent de ne pas avoir géré ces hommes – ne comptent eux que deux recrues inactives, l’une parce que sa lettre de mission n’a pas pu être finalisée, l’autre pour l’avoir tout simplement refusée…

    Malgré tout, vendredi, sur le banc des accusés, les cinq hauts fonctionnaires cachaient avec difficulté le sentiment de porter un chapeau trop large pour eux. «Les uns et les autres, nous avons reçu des commandes, a souligné sobrement Patrick Gérard, ex-directeur de cabinet de Gilles de Robien, puis de Rachida Dati, qui a pris la parole au nom de ses collègues. Il ne s’agissait pas de nos demandes…» Le procureur général a requis des peines d’amende de plusieurs centaines d’euros. Le gouvernement a toutefois déjà décidé de mettre fin à ce système. D’ici à l’automne prochain, les inspecteurs parisiens doivent intégrer le corps national.

    sas

    27 juin 2011 à 12 h 57 min
  • HansImSnoggeLoch Répondre

    <<Les éoliennes terrestres les plus puissantes ont un rotor de 112m et produisent 6MW (ce sont celles de Dardesheim). Soit 3 fois plus que les éoliennes de l’ancienne génération avec des rotors à peine plus grands.>>
    Faux, "E-126" du constructeur allemand "Enercon" est avec une puissance nominale de 7.5 MW et une hauteur de 198m avec une pale érigée verticalement la plus puissante et la plus haute du monde.
    Voir éolienne au centre de la photo ci-dessous.

    Aus der Distanz wirkt die Windkraftanlage E-126, die sich auf einer Anhöhe des Pfälzer Waldes über dem Weiler Schneebergerhof dreht, überraschend filigran. Beim Näherkommen wird dann aber ihre gewaltige Dimension ersichtlich. Mit einer Gesamthöhe von 198 Metern überragt sie die fünf anderen Windräder in ihrer Nähe beträchtlich. Der 2800 Tonnen schwere Stahlbetonturm, der den dreiflügeligen Rotor und die Turbine trägt, ist dabei 131 Meter hoch.

    Il serait d’ailleurs sympa de mentionner que Dardesheim se trouve dans le Land de "Sachsenanhalt" et non dans le Bas- ou Haut-Rhin comme on pourrait le penser.

    PS: j’ose espérer que la photo sera affichée par le modérateur.

    27 juin 2011 à 9 h 11 min
  • Jaures Répondre

    François, vous êtes incroyable ! Je ne sais plus avec vous quel langage utiliser !
    Mais, bon, il paraît que ressasser est la plus efficace des pédagogies. Donc ressassons.

    Les éoliennes terrestres les plus puissantes ont un rotor de 112m et produisent 6MW (ce sont celles de Dardesheim). Soit 3 fois plus que les éoliennes de l’ancienne génération avec des rotors à peine plus grands.
    C’est bien que la taille du rotor n’est qu’un des éléments du rendement des éoliennes.
    D’ailleurs, le rotors des éoliennes de 2MW est passé de 100 m à 80m. On en trouve aujourd’hui de 60m (Tjaereborg, Danemark).
    Bien entendu, on peut installer offshore des éoliennes encore plus grandes et plus puissantes: certaines dépassent 7MW et on espère atteindre bientôt les 8 puis les 10MW ! Ce qui premettrait, avec moins de 10 éoliennes, de fournir en électricité une ville comme La Rochelle.

    Sur le photovoltaïque, vous pouvez consulter http://www.ecosysteo.com/news/290808-record-europeen.phpce qui mettra à jour vos connaissances en matière de rendement.
    Les rendements que vous citez, de 8 à 10%, seront bientôt atteints par les nouvelle cellules en kësterite qui, quand elles seront au point, feront chuter le coût de production en remplaçant le silicium

    26 juin 2011 à 17 h 05 min
  • François Répondre

      Jaures, allez voir les sites sur les éoliennes, vous constaterez ce que je vous ai dit, à savoir que la puissance ( et non le rendement) suit rigoureusement le carré du diamètre ( donc la surface) d’une éolienne. Aujourd’hui, les plus puissantes éoliennes font 120m de diamètre. pour doubler leur puissance comme vous le dites, il faudra passer à 170m de diamètre ( et non à des mats de 170m). Cela les fera culminer tout de même à 190 ou 200 m…Le rendement, lui reste sensiblement constant pour une bonne raison que vous refusez de voir: La partie " hélice" a déjà un rendement excellent qu’il est illusoire d’améliorer significativement. Et si on passe à 100% de rendement pour cette partie, cela ne fera jamais gagner que 10 à 15% de puissance à diamètre égal.
      Quand aux panneaux solaires, je vous ai parlé d’un rendement de 8à 10%. Une visite sur le site http://www.cipcsp.com vous apprendra qu’un unité élémentaire de 100 cm2 délivre aujourd’hui une puissance de 1,3w. Dans 1m2 on ne peut en mettre que 100 ( en réalité un peu moins, l’assemblage et les connexions consommant un peu d’espace). Ce qui fait une puissance produite maxi de 130w au m2 dans les meilleures conditions d’ensoleillement et d’exposition. La puissance rayonnée par le soleil , à notre distance, est de 1300w au m2. D’où un rendement de 10% dans le meilleur des cas… rendement qui était déjà à peu près cela il y a 30 ans. Mais on peut toujours rêver en couleur…
     

    26 juin 2011 à 0 h 15 min
  • HansImSnoggeLoch Répondre

    <<J’ai répondu à chacune de ces contre vérités. Si j’en ai oublié, je compte sur vous pour me les rappeler.>>
    Qui peut prétendre détenir la vérité?
    Les spécialistes eux-mêmes n’arrivent déjà pas à se mettre d’accord sur le sujet.
    À lire dernier "Popular science", special issue, future energy.($4.99)

    Vieil adage, éventuellement encore valable si la Halde le veut bien:<< il ne faut pas jamais p…. plus haut que son c..>>

    25 juin 2011 à 20 h 23 min
  • François Répondre

       Ce n’est pas une arrogance de penser que notre culture est supérieure, c’est normal.
       Vous trouvez normal que  le Papou trouve sa culture supérieure, pourquoi le Français n’aurait il pas ce même droit?
       Vous trouvez normal que le Guinéen soit fier de son histoire, pourquoi devrions nous avoir honte de la nôtre?
       Vous admettez sans problème que le Zaïrois taise ses crimes et monte en épingle ceux des autres, pourquoi ne l’acceptez vous pas pour nous ( ou plutôt vous)?
       Petit détail historique: Il n’y avait pas de peuple Algérien. C’est la France qui a créé l’Algérie et fait un pays d’un ramassis de tribus pillardes qui se combattaient entre elles. C’est elle qui a mis en valeur un pays laissé en friche par ses occupants. On se fiche de l’intention, il faut voir le résultat. D’une région peuplée de pillards nous avons fait un pays riche avec routes, hopitaux, écoles, industrie… Et il faudrait avoir honte? Par contre ce que ces incapables en ont fait depuis l’indépendance, il faudrait l’admirer?
      

    25 juin 2011 à 16 h 24 min
  • Jaures Répondre

    "Toutes inepties bues, pour qui se prend-on?" Chiche, Watson ! Démontrez-moi que ce que j’ai écrit était inepte.
    Ce n’est pas moi qui ai écrit que pour augmenter le rendement des éoliennes il fallait des mâts de 170 m. Que le photovoltaïque voit son rendement stagner à 8%. Qu’il n’existe pas de villages autonomes en énergie renouvelable…
    J’ai répondu à chacune de ces contre vérités. Si j’en ai oublié, je compte sur vous pour me les rappeler.

    25 juin 2011 à 11 h 21 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<Sur l’écologie, j’incite M Lambert à lire mes contributions à l’article de Millière de la semaine passée afin d’éviter de colporter toutes les inepties circulant dans les troquets les plus mal fréquentés à propos des énergies renouvelables>>

    Pourquoi ne pas les publier à l’Académie des Sciences? Qui sait un prix Nobel pourrait récompenser ces contributions géniales?
    Toutes inepties bues, pour qui se prend-on?

    Vieil adage, éventuellement encore valable si la Halde le veut bien:<< il ne faut pas p…. plus haut que son c..>>

    Très bien votre article,  Mr.Lambert, vous au moins fabriquez des clous avec des têtes.

    24 juin 2011 à 13 h 23 min
  • gelbo124484 Répondre

    M. Jaurès aura pris soin de résumer ma réaction face à cette tribune, et ce, avec davantage de verve et d’esprit que je n’eus pu le faire.
    J’aimerai en revanche ajouter un avis (le mien, pour être précis). Votre paragraphe sur la colonisation s’appuie sur une rengaine répétée et déclinée depuis des décennies par ce que la France compte de pire en matière de suffisance ethno-centriste et en vanité occidentale. Selon vous, donc, notre invasion des continents africains et asiatiques fut mue par de louables intentions. Il fallait amener le progrès aux "sauvages", leur imposer par les armes le respect de normes et de valeurs qui ne sont pas les leurs, qui ont été façonnée par une culture millénaire et qui évidemment s’opposent à celles de ces hommes et femmes qui à votre sens vivaient encore à la Préhistoire. Quel arrogance de penser notre culture supérieure, notre société plus aboutie, nos dogmes plus plausibles que les leurs. Selon quels critères vous basez-vous pour arguer que nous leur étions supérieurs ? Les peuples algérien, viet, ou malgache nous ont-ils fait part de leur besoin de vivre à l’occidentale ? Nous ont-ils réclamé des routes et des automobiles, des costumes trois pièces et des balais brosses, la formule de l’eau de Javel et l’enseignement des Evangiles ? A ma connaissance, non.
    Il est très aisé, lorsque nous nous gargarisons de nous-même, bouffis d’orgueil et de préjugés hautains, de nous sentir investis d’une mission d’évangélisation pour le destin eschatologique des autres, de nous croire supposés apporter la technologie à ceux qui n’en ressentent pas le besoin, de nous croire si supérieurs qu’il serait criminel de ne pas "aider". Je ne doute pas que les desseins de certains étaient sincères. Je parie que le principe du Jihad vous déplaît. Pourtant, certains musulmans sont convaincus que tu crois mal, que tu vis dans le péché, que tu es promis aux flammes de l’enfer, et pour le bien de ton âme, ils te convertiraient bien. Les missionnaires catholiques qui partaient la Bible sous le bras avaient les mêmes propos.
    Crois-tu honnêtement que la tentation de piller des richesses qui n’existaient pas en Europe n’aient pas été trop forte ? Que les gouvernements étaient plus intègres et bienfaisants qu’aujourd’hui ? Que les autochtones jouissaient des mêmes droits et du même confort que les métropolitains qui débarquaient ? L’argent du pétrole, du gaz et des minerais spoliés servaient-ils les intérêts du peuple local, qui travaillait dans des conditions optimales, selon un rapport d’égal à égal avec le patron, ou bien ceux de grands bourgeois parisiens qui se baffraient pendant que les autochtones cravachaient durs et n’avaient même pas le droit de vote ?

    24 juin 2011 à 3 h 41 min
  • SAS Répondre

    INTERDICTION AUX FEMMES DE FAIRE DE LA COURSE A PIED DE FOND….seule

    Marie-Jeanne Meyer, 17 ans.
    Lorsque le jogging devient une pratique sportive dangereuse au point d’attenter à la vie de ses pratiquantes, en particulier, il devient un problème de société qui doit interpeller les dirigeants d’un pays. Sinon, il y a tout lieu de les poursuivre pour leurs manquements et pour leur non assistance à personnes en danger. Après Nelly Crémel, ( 2005), Martine Jung ( 2007), Marie Christine Hodeau ( 2009), Natacha Mougel ( 2010), Patricia Bouchon ( 2011) …, c’est au tour de la lycéenne, 17 ans, Marie Jeanne Meyer, enlevée, probablement violée, brûlée puis enterée dans un trou par ses bourreaux, d’intégrer le " hit parade" des joggeuses assassinées . D’autres victimes suivront sans aucun doute puisque l’assassinat des joggeuses devient désormais un "sport national", un peu comme les incendies de voitures tous les 14 juillet, jour de la fête nationale.
     
    Faut-il désormais réglementer le jogging, légiférer ou interdire aux femmes de le pratiquer, sauf sous certaines conditions ? Au risque de faire hurler les " défenseurs des Droits de l’Homme", les féministes et autres, la réponse est affirmative notamment tant que la France ne mettra pas en place des mesures pour mettre hors d’état de nuire ses fauves en liberté qui s’attaquent de plus en plus régulièrement aux joggeuses esseulées dans les campagnes, dans les forêts domaniales, sur les pistes ombragées ? Que font les défenseurs de la cause féministe ? Attendent-ils que les prédateurs ne se contentent plus seulement de tendre des pièges à leurs proies à l’abri des regards, au coin des sentiers, mais étendent leurs zones de chasse au coeur des villes, dans les jardins publics, les clubs de sports, en profitant de l’indifférence et de l’égoïsme des citoyens ? Faut-il attendre que des parents, des "grands frères" et autres empêchent à leurs filles, soeurs, femmes et mères, de sortir toutes seules faire un jogging, voire leur impose le port d’une armure ou d’un voile opaque avant de se risquer à prendre de l’air dans les bois? On peut légitimement s’interroger devant la barbarie décomplexée dans laquelle la France bascule irrémédiablement.

    sas

    23 juin 2011 à 16 h 52 min
  • IOSA Répondre

    Etant un homme, je préfère de loin me faire violer par une ou plusieurs femmes ( même vieilles) que par des hommes…..En somme, je donne la priorité aux femmes, mais pas dans tout parce qu’elle est une femme.

    Mais tout celà n’est que bavardage de commères, juste bon à combler le vide de cet article, à croire qu’il n’y aurait que le scandale pour attirer les lecteurs.

    IOSA

    22 juin 2011 à 23 h 48 min
  • Jaures Répondre

    Tout d’abord, rectifions une contre vérité: les texte exact de la Déclaration des Droits de l’Homme est " Tous les hommes naissent libres et égaux en droits".
    Cela ne veut évidemment pas dire que tout le monde est semblable mais que le droit s’applique à tous, que l’on soit  "fils de César ou fils de rien", que l’on soit professeur agrégé ou paysan. Et bien entendu, que le bulletin de vote aura le même poids.
    A ce titre, rien ne dit que la masse de diplômes amène à plus de lucidité politique.
    Heidegger, grand et brillant penseur, soutenait Hitler tandis que des paysans analphabètes rejoignaient le maquis

    Où se trouve par ailleurs, la "priorité aux femmes" ? Au mieux, on leur propose la parité, et nous en sommes encore loin. Quoi ! Les femmes ne seraient pas députés, membres de conseils d’administrations, PDG, professeurs,…pour l’unique raison qu’elle n’en auraient pas envie ? Quelle explication a-t-on de cette étrange attitude ? Gageons qu’avant 1946 beaucoup disaient que les femmes n’avaient pas envie de voter.
    Pourtant, chaque fois que la parité s’est légalement appliquée, il n’y a pas eu à attendre pour que les femmes occupent les postes disponibles. Ainsi, depuis la parité sur les listes, de nombreuses femmes obtiennent des postes de maires ou d’adjoints dans des villes importantes.
    Malheureusement, par un conservatisme affligeants, certains préfèrent cumuler les postes jusqu’à des âges canoniques plutôt que de laisser la place à une jeune élue compétente.
    Les assemblées fourmillent de Christian Lambert.

    Concernant les rapports de séduction avec les autres, femmes ou non, c’est pourtant clair: tout est permis entre adultes consentants. Celui qui ne sait (ou ne veut) lire dans le regard ou l’attitude de l’autre s’il y a consentement est un hypocrite patenté.

    Sur l’écologie, j’incite M Lambert à lire mes contributions à l’article de Millière de la semaine passée afin d’éviter de colporter toutes les inepties circulant dans les troquets les plus mal fréquentés à propos des énergies renouvelables.

    Enfin, avant de faire la leçon aux autres, il importe d’avoir fait le ménage dans sa propre maison. L’Histoire de France, comme celle de tous les pays du monde a connu ses périodes sombres. C’est un honneur de les reconnaître.
    Comme Jean-Baptiste Clamence, seule notre aptitude à analyser nos égarements nous donnera licence pour pointer du doigt les horreurs et exactions que le Monde offre chaque jour à notre jugement.

    22 juin 2011 à 17 h 42 min
  • greg Répondre

    La situation est ainsi et j’ai de plus en plus l’impression que vous êtes à Londres et que j’écoute la radio en cachette. Il y a un tel fossé entre ce que que tout le monde peut constater et ce que tous le monde croit que lorsque que l’on constate on se sent de plus en plus seul et attentif à ce que l’on peut dire.
    Est ce une spécificité française, notre société est elle si manipulée ?
    L’esclavage est en effet repris par les minorités de couleur pour exprimer des revendications sociales et obtenir plus comme si une dette devait être couverte, comme si les français blancs et chrétiens étaient tous descendant d’esclavagistes et représentaient encore les maîtres des plantations.

    Est ce la même situation au Portugal et en Angleterre ? Qui pourtant furent initiateur et bien plus actif dans le commerce d’esclaves européen.
    J’ai bien l’impression que non. Comment la repentance a t elle pu se développer aussi librement et devenir aussi ubuesque dans notre pays ?
    Et bien jettez un coup d’oeil dans les livres d’histoire référencés par l’éducation nationale vous comprendrez vite où est la source de la schizophrénie actuelle, et du succès de la démagogie, du clientélisme et de l’électoralisme depuis 30 ans. Tout trouve son origine dans notre système éducatif et dans les dérives idéologiques que l’état y a laisser se développer. Les esprits y sont formés a embrasser le marxisme édulcorée, le keynesianisme providentiel, l’internationnalisme pacifique et l’écologie comme sacerdoce. Rien sur l’esprit critique, l’observation, l’analyse, le libre arbitre, la méthode, l’organisation, le sens réel des mots, l’expérience, le mérite.
    En fin bref je pourrais me répandre encore longtemps comme ça, mais c’est inutile. Continuez cependant à vous exprimer cela donne un peu d’espoir, comme ce que devait ressentir ceux qui écoutait radio Londres, en cachette.

    22 juin 2011 à 15 h 12 min

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