Lettre ouverte à Monsieur le président de FranceTélévision et à Mesdames et Messieurs les journalistes

Lettre ouverte à Monsieur le président de FranceTélévision et à Mesdames et Messieurs les journalistes

Durant 18 mois, vos deux collègues journalistes sont restés otages en Afghanistan. Vous leur avez apporté aide et soutien.

A leur retour, ils vous ont manifesté leur reconnaissance, comme ils ont remercié les autorités de notre pays et salué l’engagement des services pour obtenir leur libération ; et vous avez organisé de grandes fêtes pour les célébrer. Vous en avez fait des héros.

Des héros… qui ignoraient que la guerre est dangereuse.

Des héros… qui ont prétendu que personne ne les avait prévenus du danger.

Mais ça, ils ne pouvaient pas le savoir, car ils ne voulaient pas le savoir. Et vous ? Saviez-vous que des héros sont morts ? Morts pour la France. Non, vous ne le saviez pas, car vous ne vouliez pas le savoir.

Le mercredi 29 juin, dans l’indifférence des journalistes, le corps du parachutiste Cyrille Hugodot est revenu en France. Vous ne le saviez pas ? Non, car vous ne vouliez pas le savoir.

C’est le 25 que Cyrille est mort à Kaboul, des suites de ses blessures reçues lors de l’engagement du 1er Régiment de Chasseurs parachutistes pour sécuriser le rapatriement de vos deux journalistes. Vous ne le saviez pas? Non, car vous ne vouliez pas le savoir.

Peu avant, un autre parachutiste, Florian Morillon, était mort dans les mêmes conditions. Vous ne le saviez pas ? Non, car vous ne vouliez pas le savoir.

Vous préfériez faire la fête, et ça, vous nous l’avez fait savoir.

Cyrille Hugodot était papa d’une petite fille âgée de 4 ans… Vous ne le saviez pas ? Non puisque vous ne voulez pas le savoir.

Au cours des cérémonies officielles aux Invalides puis à Pamiers, comme lors de l’office religieux à Abondant (Eure et Loir), une petite fille de 4 ans se demandait ce qui était arrivé à son papa. Peut être auriez vous pu le savoir… mais vous ne vouliez pas le savoir. Une petite fille de 4ans ,à qui son papa manquera plus de 18 mois.

Mais ça, vous ne semblez pas vouloir le savoir. Non, vous ne pouvez pas le savoir… Car vous faites encore la fête avec vos héros.

Mais la petite fille de 4 ans ? Y aura t il quelqu’un parmi les journalistes pour penser à elle ?

Monsieur le président de France Télévision, Mesdames et Messieurs les journalistes, RÉVEILLEZ VOUS. Et puisque vous avez décidé d’oublier les héros morts pour La France, essayez de ne pas oublier une petite fille de 4 ans… Elle est là, et vous regarde de ses grands yeux.

Jean de La Bâtie

Ancien du 1er régiment de parachutistes, père d’un parachutiste Mort pour La France.

Partager cette publication

Comments (15)

  • NL Répondre

    Attention le communiqué de Papou est un document bidonné!! Il suffit deffectuer quelques recherches sur internet pour s"appercevoir que le nommé Gérard LIENBENGUHT réfute les propos tennus dans ce communiqué qui d’après lui aurait été falcifié par ajout de texte au vrai communiqué.

    Même s’il est probable que ces deux journalistes imprudents qui sont loin d’être des héros (je ne vois pas en quoi on doit en être un lorsque l’on est v ictime d’enlèvement…!!) n’ont pas respecté les consignes donées par le ministère des affaires étrangères et que cela ai coûté cher à la France en terme de  vies humaines et d’argent dépensé, il faudrait que notre ami PAPOU vérifie ses sources avant de demander de faire circuler un communiqué….!

    17 juillet 2011 à 0 h 47 min
  • WatsonCorsica Répondre

    C’est important que la France entretienne des guerres pour plusieurs raisons :

    – tester le matériel en situation réelle

    – tester les hommes en situation réelle

    – tester les hommes avec le matériel en situation réelle

    – tester le matériel avec les hommes en situation réelle

    – tester les ennemis en situation réelle

    – tester les hommes avec les ennemis en situation réelle

    – tester les ennemis avec le matériel en situation réelle

    – … etc

    Seule condition : ne pas perdre d’hommes ou le moins possible mais s’il n’y a jamais de pertes il n’y a pas de stress, or comment tester le matériel sans situation de stress de guerre ?

    Quant’aux ennemis, on s’en carre complètement, on ne va pas pleurer un taliban ou un khadafi, de plus c’est bien de faire savoir que la France peut frapper quand elle veut, comme elle veut et qui elle veut – à Condition de réellement frapper – et non pas se faire frapper !

    16 juillet 2011 à 23 h 41 min
  • revizor Répondre

    Bien entendu la mort de nos jeunes soldats est bien triste et je compatis.

    Pour autant dans cette affaire il faut bien bien voir la responsabilité des politiques, qu’ils soient socialistes ou UMP.

    Car qui a décidé d’envoyer nos troupes occuper l’Afghanistan, bombarder le peuple libyen, d’intervenir en Afrique , au Liban et au Kosovo.

    Qui a voté pour la continuité de l’intervention en Libye?

    Nous savons bien que les guerres entraînent des morts mais inconsciemment nous l’avons oublié.

    Pourtant l’Indochine ou l’Algérie c’était autre chose.

    A l’époque les cercueils des soldats tués dans les TOE arrivaient tous les jours dans nos ports.

    Nous croyons être invincibles du haut de nos avions et du pont de nos navires et nous croyons ne pas payer pour les milliers de victimes tuées sous nos bombes et par nos armes.

    Je crois qu’il faut laisser les peuples afghans et libyens régler leurs affaires entre eux.

    S’ils ont envie de s’entretuer c’est leur droit mais ne nous en mêlons pas.

    Ces guerres sont trop coûteuses en argent mais aussi en vies humaines.

    Notre armée ne doit servir que pour la raison pour laquelle elle a été instituée, à savoir la défense de nos frontières, de notre intégrité territoriale et de notre souveraineté nationale.

    Notre armée ne doit pas être utilisée pour des raisons idéologiques, à savoir imposer la démocratie, tout comme l’armée rouge était chargée d’imposer le socialisme.

    16 juillet 2011 à 17 h 00 min
  • mica576 Répondre

    Complet soutien à l’auteur de ce texte destiné aux responsables de France Television.

    16 juillet 2011 à 14 h 14 min
  • François Répondre

      Attendez, on va sûrement avoir droit à un bouquin où les deux héros raconteront leur aventure en crachant au passage à la gueule de la France et de son armée…
      Enfin, d’habitude, c’est comme cela que ça se passe!…

    16 juillet 2011 à 12 h 02 min
  • Anonyme Répondre

    Rappelez vous du Liban. Année 1985: Michel Seurat et Jean-Paul Kauffmann (France) : respectivement, chercheur au CNRS et journaliste à l’Événement du Jeudi enlevés le 22 mai 1985. Michel Seurat décède au cours de sa détention, Jean-Paul Kauffmann est libéré le 4 mai 1988. Année 1986: Philippe Rochot, Georges Hansen, Aurel Cornéa et Jean-Louis Normandin (France) : journalistes à Antenne 2, enlevés le 8 mars 1986 et libérés respectivement, pour les deux premiers otages, le 20 juin 1986, puis le 24 décembre 1986 et le 27 novembre 1987.Camille Sontag (France) : enlevé le 7 mai et libéré le 11 novembre 1986. Année 1987 :Roger Auque (France) : journaliste, enlevé le 13 janvier 1987 et libéré le 27 novembre 1987. Connaissons nous le nom des autres? Qu’en pense le grand défenseur des droits de l’homme de ce site ?

    16 juillet 2011 à 11 h 42 min
  • Papou Répondre

    C O M M U N I Q U E

    En nous réjouissant, ( sur le plan humain ), de leur libération, nous vous demandons de bien vouloir diffuser très largement ces informations par mail.
     Ces informations ne seront jamais publiées par la presse,  dont on connaît les orientations politiques et partisanes, au mépris de la vérité.

     

    Il faut rétablir la vérité….

     Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier.

     

    Le 30 décembre 2009, deux militants de gauche, accessoirement journalistes à FR3, se rendent sans protection dans une zone à risque contrôlée par les talibans, pour

    "assurer les talibans de la compréhension et du soutien de la presse et de la gauche française dans leur lutte".

    C’est le scandale médiatique que dénonce le Général de division D. Roudeillac, Saint Cyrien, commandeur de la Légion d’Honneur et de l’Ordre National du Mérite, autour de la capture des journalistes Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier.

    "LES DEUX JOURNALISTES DE FR3 NÉTAIENT PAS EN REPORTAGE QUAND ILS ONT ÉTÉ ENLEVÉS. LEUR AVION LES ATTENDAIT, LE REPORTAGE ÉTAIT TERMINE !" hurle le général dont le témoignage a été censuré par l’A F P et par l’ensemble des médias.

     

    "Les deux "touristes" farfelus irresponsables sont partis faire du militantisme politique à titre personnel dans les montagnes Afghanes, de leur propre initiative, une fois leur reportage avec l’armée terminé !!" ajoute Gérard Liebenguth, Président Amicale Nationale du 22°BCA et des Troupes de Montagne.

     

    Gérard Liebenguth : "Et pendant ce temps les médias nous bassinent sans arrêt avec leurs deux abrutis prisonniers volontaires à qui les professionnels sur place avaient vivement conseillé de ne pas aller dans les montagnes afghanes."

     

    Gérard Liebenguth : "Une initiative, qui plus est, totalement personnelle et irresponsable, puisque prise après leur reportage réalisé (et non dans l’exercice de leur travail donc, comme le déclarent abusivement leurs collègues de FR 3 et des J T (en toute désinformation délibérée)"

     

    L’Elysée était parfaitement informée de la faute coupable des deux gauchistes.

     

    Le secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant, a critiqué leur "imprudence coupable", tandis le chef d’état-major des armées, Jean-Louis Georgelin, très irrité de devoir engager la sécurité de ses troupes pour les deux irresponsables couverts par les médias, annonce au micro d’Europe 1 le coût des opérations de recherche. "Nous avons déjà dépensé plus de 10 millions d’euros dans cette affaire". "Je donne le chiffre parce que j’appelle à la responsabilité des uns et des autres". On sent, dans sa déclaration, qu’il brûle de lâcher le morceau. Contraint par sa hiérarchie, il ne pourra en dire plus. Il ne pourra pas dire que les deux hommes n’étaient pas les journalistes en opération qu’on nous a présenté au moment de l’enlèvement, mais " ces deux personnages ".

     

    Gérard Liebenguth, lui, met les pieds dans le plat, et raconte. (Vous remarquerez que Mediapart, grand défenseur de la liberté d’expression à géométrie variable, si prompt à dénoncer les "affaires" du gouvernement, est resté bien silencieux, ainsi que l’ensemble du métier – corporatisme de la presse oblige).

    Gérard Liebenguth : "(c’était une) excursion perso, au lieu de reprendre leur avion prévu, en préférant prendre des pseudos guides, plus cupides que compétents, au lieu de ceux, plus éprouvés et surs, que leur avait fournis l’armée. Excursion politique et non journalistique, puisque au seul motif idéologique gauchiste qu’ils avaient manifesté. Une irresponsabilité qui a déjà coûté fort cher en recherches sur place, avec la mise en danger de militaires et équipages d’aéronefs ayant effectué des recherches en zone à risques les jours qui ont suivi leur disparition !!, comme déjà rapporté par des éléments de l’armée de l’air sur place, ayant du participer aux recherches de ces imbéciles irresponsables !!"

     

    Général (2S) Roudeillac : " Je crois que cet incident mériterait d’être porté à la connaissance du plus grand nombre. Malheur à celui qui montre du doigt la partialité des médias !!! "

     

     

     

     

     

    15 juillet 2011 à 23 h 39 min
  • veyrenc Répondre

    D’ailleurs depuis le retour de ces journalistes on ne voit plus leurs confrères des journaux télévisés faire l’annonce concernant tous les otages français…seuls comptaient donc les journalistes de France Télévision ? politique peut être ? à quel syndicat peuvent appartenir deux journalistes de France Télévision ?

    15 juillet 2011 à 23 h 07 min
  • Ginette Répondre

    J’adhère totalement à cet écrit de Mr J. de la Bâtie. Il est scandaleux que le microcosme journalistique n’ait cessé de nous apitoyer sur le sort de leurs deux confrères qui ont pris des risques inutiles dans un pays à la situation plus que dangereuse. Maintenant que ces deux "pieds nikelés" sont rentrés, la presse ne fait pas grand cas – si ce n’est aucun – de ces soldats en mission dont certains perdent la vie, d’autre se voient blessé, ainsi que des autres otages. Ce n’est pas le même monde. Les "journaleux" ne s’émeuvent que de ce qui peut arriver à leur caste. La confiance du public en recherche d’information s’émousse et si ce n’est que pour se distraire, rares sont ceux qui font encore confiance aux médias traditionnels pour être informés.

    15 juillet 2011 à 17 h 12 min
  • vozuti Répondre

    la seule information que les médias français ont diffusé sur la guerre en afghanistan ces dernieres années est que 2 journalistes y ont été pris en otage.     cette information a été martelée  tous les jours plusieurs fois par jours pendant des mois,comme si le travail de journaliste consistait uniquement a relater sa propre vie et celle de ses collègues.     les journalistes français sont payés uniquement pour parler de leurs propres problèmes et  aussi bien sur ……pour administrer la dose de propagande quotidienne que doit avaler chaque français derrière son poste de TV.   pour s’informer,il est inutile de compter sur cette caste  d’aparachiks.

    15 juillet 2011 à 16 h 43 min
  • RaLeBolHenri Répondre

    JE ME REPETE ENCORE UNE FOIS : Radios,Télés,Presse,Journalistes,Enseignants,Syndicats,Fonctionnaires,Tribunaux , à 95%,,,,tout à gauche , et notre sarko,,,,il parait à droite,,,,,notre gouvernement,,,,il parait à droite,,,,,ils savaient pas eux aussi ???? VOUS VOUS ETONNEZ QUE LA FRANCE SOIT DANS LA M***E . Vous attendez quoi ,,,, ??? que les caves se rébiffe . Etes vous conscient que le FDS en a plein le c,,,de cette injustice et discrimination permanante à la quelle il est confronté . ON PEUT PLUS RIEN DIRE , NOUS SOMMES LES ESCLAVES DES ROUGES , des milliers d’assocs nous espionne journalièrement et avec notre propre fric nous traine en justice,C’EST LA GESTAPO des temps modernes…….et il faut rien dire ?? OU EST NOTRE LIBERTEE QUE NOS ANCIENS NOUS ONT LAISSER COMME HERITAGE ??? C’est deux collabos de journalistes……il fallait les laisser avec leurs pots barbarres d’ islamistes ,,,,,,et les FDS paye,paye,paye et toujours il paye pour ces traitres . La France est aux mains des rouges,NOS VRAIS ENNEMIS NE SONT PAS CE QUE L’ONT CROIT,,,,,,CE SONT NOS DIRIGEANTS CORROMPUS,LACHES,C’EST EUX LES RACISTES,,,,LES ANTIS BLANCS . RaLeBol .

    15 juillet 2011 à 15 h 53 min
  • Guillermo Répondre

    Ahurissant cet article.  L’auteur n’avait donc pas encore compris les ordures que sont ces journaleux,  "les chiens" comme avait dit Mitterand.

    Maintenant les militaires seraient bien inspirés de ne pas intervenir quand ils ont l’ordre de protéger ou de récuperer des journaleux. 

    Qu’on les laisse crever pour le droit  à l’information comme ils disent.  Qui s’en plaindra dans l’opinion publique ?

    15 juillet 2011 à 14 h 16 min
  • sas Répondre

    MARTINIQUE GUADELOUPE CAYENNE …..tout est possible….mais n oubliez jamais que les fonctionnaires ou assimilés d ici finnissent toujours par retourner en FRANCE;;;

     

    Plus de cannabis, d’alcool et d’hallucinogènes dans la tour de contrôle de l’aéroport : voilà les recommandations contenues dans une note du directeur du centre de contrôle de Cayenne Rochambeau en Guyane, intitulée «Comportements dangereux et incompatibles de certains agents» que s’est procurée le Figaro.

    Les aiguilleurs du ciel, qui avaient déjà été épinglés pour leurs RTT illicites en 2009, font l’objet d’un nouveau rappel à l’ordre. «Les substances psychoactives ont des effets sur le cerveau qui diminuent la capacité de jugement et de raisonnement et allonge le temps de réaction», rappelle la note datée du 28 juin 2011. Il leur est donc demandé de cesser de fumer du cannabis pour se concentrer sur les avions pendant leurs vacations, c’est-à-dire pendant leurs heures de service opérationnel. Ces vacations sont au nombre de deux ou trois par semaine.

    Et la liste des produits interdits est longue : «alcool, opioïdes, cannabinoïdes, sédatifs, hypnotiques, cocaïne, psychostimulants, hallucinogènes et solvants volatils», détaille la note. Il s’agit avant tout de «prévention» mais il est tout de même précisé qu’il faut «couper court à ces pratiques, afin d’enrayer ces comportements dangereux et incompatibles avec la sécurité des usagers qui ne peuvent plus perdurer».

    La sécurité des voyageurs est bien sûr au coeur du dossier : l’an dernier, l’aéroport de Cayenne Rochambeau était le 27ème aéroport français en terme de trafic, avec environ 420.000 passagers.

    ET BEN TIEN

    SAS

    15 juillet 2011 à 12 h 46 min
  • GUS Répondre

                 Mr. MITTERAND, lors des obsèques de BEREGOVOY, les appelait  "les chiens", et aucun d’entre eux n’a,osé à ce moment là, lever le nez. Il s’agissait , mais là, on avait compris, des journalistes.Les chiens en question, habitués à flairer les étrons pourvu qu’ils puissent vendre du papier, se foutent pas mal que l’élite de nos troupes aille se faire flinguer pour sauver ces deux cons égarés chez les barbares à l’autre bout de la terre. Et en plus, ils étaient prévenus. On retrouve là toute la vanité de cette profession de voyous analphabètes, surs d’eux mêmes et dominateurs, si prompts à corriger l’impertinent qui oserait s’aventurer dans la contradiction.

                  Quant à la gamine de 4 ans, n’est-ce-pas, devinez ou ils se la mettent…

    15 juillet 2011 à 11 h 54 min
  • WatsonCorsica Répondre

    Et j’ajouterais :

    Que si tous ces militaires meurent aujourd’hui en Afghanistan c’est parce qu’ils ont toujours ces journalistes dans leurs basques à la recherche névrotique de la " bavure " des forces occidentales.

    Je rappelle qu’en 1944 les Américains ont bombardé St Lo pour couper la retraite des Allemands. 12000 morts civils en une seule nuit du fait des forces US… et la guerre a été gagnée ! Imaginez maintenant s’il y avait eu sur place Antenne 2 ; toutes les grandes consciences auraient crié au génocide et à la bavure et la guerre aurait mis 10 ans de plus et 10 millions de mort en plus. Car c’est ça faire la guerre ; savoir sacrifier des vies pour sauver des vies ! Tous les militaires le savent mais ont les pieds et poings liés dans le dos par ces journalistes. Résultat : les guerres s’enlisent et les militaires français meurent de peur de la bavure. Mieux vaut un militaire français tué qu’un civil afghan tué, voilà le résultat de la présence des journalistes en Afghanistan.

    Aujourd’hui la solution consisterait à raser les villages afghans où la présence des Talibans ou Al Kaeda est suspectée. Mais cela est impossible à cause des Taponiers et autres abrutis qui font redouter aux militaires l’image diffusée sur tous les médias d’un petit garçon tué par une roquette. Les Talibans et autres muzlims au combat ont très bien compris combien les journalistes étaient leurs alliés et n’hésitent plus à utiliser la population comme bouclier humain et à exhiber des corps déchiquetés d’enfants. De plus, si la menace de raser les villages infiltrés par les talibans était effective, cela exhorterait la population à prendre ses distances avec ces fous d’Allah !

    Mon souhait serait que ceux et celles qui me lisent relaient cette opinion dont on n’a jamais parlé et que les militaires ne peuvent exprimer par devoir de réserve… Merci pour eux.

    15 juillet 2011 à 11 h 23 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *