Naïveté
La naïveté de ceux qui ont voté pour Macron en 2017 (et ne parlons pas de celle de ceux qui ont voté pour lui en 2022, après un quinquennat ô combien calamiteux) semble sans limite.
M. Jean-Marc Mercier (4V n° 1393 du 5 mai : « Enfin la transition capitalistique ? ») l’illustre parfaitement en nous disant qu’il a admiré Macron au début, mais qu’il est maintenant très déçu.
Quelle surprise que cette déception ! Quand on vote aux présidentielles, c’est certes pour un programme – mais Macron n’en avait quasiment pas en 2017, pas plus qu’en 2022 d’ailleurs –, mais c’est aussi, et surtout, pour une personnalité.
L’idée de voter pour quelqu’un qui s’est marié avec sa mère ne m’a personnellement jamais effleuré – beaucoup trop risqué de confier les rênes à une personnalité aussi « borderline » –, mais peut-être suis-je encore doté de ce « bon sens » dont il semblerait qu’il n’est pas la chose du monde la mieux partagée.
Je recommande à M. Mercier la vidéo du psychiatre italien Adriano Sagatori, qui avait très bien vu le danger dès 2017.
(1) Commentaire
Ne parlons pas de naïveté, osons plutôt parler de lâcheté
les Français seraient à ce qu’ on dit plutôt » à droite »
ils sont surtout restés … d’ incorruptibles … » petits bourgeois » et … bien pensant
Ils finiront croqués comme des petits pois
et comme disait Céline : ….
» en vérité les Français sont mûrs pour toutes les servitudes [ … ] et tous les mensonges «