Recherches interdites sur les OGM

Recherches interdites sur les OGM

Toutes les académies de France réunies ont affirmé, il y a quelques semaines, que les OGM n’étaient pas dangereux pour la santé. Depuis 10 000 ans, l’homme crée en permanence des OGM. Le blé que nous mangeons aujourd’hui est par exemple le résultat de trois mutations successives. À chaque mutation, la production de blé OGM devenant plus importante, la population a quitté l’état de famine et sa santé s’est fortement améliorée. Le riz OGM qui est mangé depuis plus de vingt ans en Inde a évité des millions de morts.
Aussi bien en France avec le blé OGM, qu’en Inde actuellement avec le riz OGM, l’utilisation d’un nouvel OGM n’a pas produit une nouvelle pathologie dans la population et elle s’est au contraire toujours accompagnée d’une forte amélioration de la santé.
Par contre, tout OGM nouveau dans un champ modifie l’environnement, de même que l’essartage d’une forêt et son remplacement par un champ de blé modifient l’environnement. Les bactéries, les levures, les insectes ou les oiseaux changent avec l’arrivée d’une espèce nouvelle. La modification de l’environnement est une réalité incontournable. Elle peut être mauvaise. On peut par exemple créer un maïs OGM résistant à un pesticide, ce qui peut éventuellement créer des mauvaises herbes résistantes à ce pesticide. Elle peut être bonne. La culture d’un maïs OGM résistant à un parasite évite de déverser dans la nature des tonnes de pesticides nécessaires pour tuer ce parasite. Un bilan doit être fait, et pour faire ce bilan, seule l’expérimentation grandeur nature est valable.
Dans le monde, un fort courant de pensée a toujours eu peur de l’innovation. On croit que le bilan d’une innovation ne peut être que négatif. Quand les machines à vapeur sont arrivées, alimentées par le bois, on a annoncé, calcul précis à l’appui, la disparition de toutes les forêts et aujourd’hui, les forêts augmentent dans tous les pays industrialisés. Le club de Rome avait lancé dans les années 1960 l’utopique « croissance zéro » pour sauver le monde. Aujourd’hui, on nous soumet au « développement durable », comme si les innovations nous menaient automatiquement à la fin du monde. On nous indique, chiffres précis à l’appui, que la production de gaz carbonique va faire monter le niveau de la mer de 100 mètres. On essaye même de nous faire croire que la médecine est aujourd’hui bien plus toxique qu’utile, alors que son action prolonge la vie des Français de trois mois tous les ans.
On nous fait croire que les OGM, bien que nous ne mangions que cela depuis des millénaires, vont nous tuer. Les OGM fabriqués dans un laboratoire seraient toxiques, alors que les OGM fabriqués par un paysan dans son champ ne le seraient pas…
La lutte contre les OGM acquiert en France une dimension politique avec les récentes élections régionales. La région Bourgogne vient de donner l’exemple. Son nouveau président, ancien ministre de l’agriculture, a fait voter, le 23 avril, par son conseil régional, une résolution demandant aux maires d’interdire sur leur commune, la culture d’OGM. La région Poitou-Charentes a suivi trois jours plus tard, s’opposant à tout essai public ou privé d’OGM. Les autres régions vont suivre, car nous sommes en démocratie et que le poids électoral des écologistes est réel.
Aujourd’hui, une France très conservatrice s’oppose non pas aux OGM, mais aux recherches sur les OGM. Sans essai, pas de connaissance possible. Ce comportement suicidaire condamne la France à quitter le développement et à s’installer dans le sous-développement. Nous avions déjà transformé nos chercheurs en fonctionnaires gagnant mal leur vie et ne trouvant plus grand-chose. Nos jeunes chercheurs franchissent l’Atlantique, préférant les contrats à durée déterminée offerts par les Américains. Les prix Nobel et les brevets sont de moins en moins français.
Maintenant, nous interdisons à nos chercheurs de chercher dans un domaine essentiel. Si les Américains étaient un tant soit peu corrects, ils devraient vivement remercier nos responsables…

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Comments (13)

  • LeCartel Répondre

    Après lecture de vos arguments, je ne pense pas avoir le niveau pour débattre avec vous sur ce sujet mais je me permet de vous donner le nom d’un documentaire qui m’a agréablement ouvert les yeux sur les pratiques de ces firmes agroalimentaires prêtent à tout pour dominer les ressources alimentaires (c’est bien plus important que l’argent d’où l’importance du débat).

    Il s’agit de "Le monde selon Monsanto", je trouve que ce documentaire résume bien les intentions de ces firmes d’implanter les OGM dans le monde.

    Bien évidemment c’est à vous de trier l’information et d’en tirer sa part de vérité.

    5 novembre 2008 à 7 h 51 min
  • alexis Répondre

    ouais jsuis d’accord

    14 octobre 2008 à 16 h 58 min
  • olivier de loké Répondre

    Je suis chercheur en neuro-sciences. Je sais de quelle façon il est possible de faire pencher des résultats expérimentaux dans le sens espéré, souvent inconsciemment de la part de l’expérimentateur.

    Il y a pourtant quelques principes de base en biologie qui peuvent aider à raisonner sensémment.
    Chaque élément contenu dans un aliment interagit avec l’organisme dès lors qu’il s’y trouve libéré. Par conséquent, tout élément contenu dans un ogm, s’il est digéré et absorbé par l’organisme laissera obligatoirement une trâce. Si cet élément est réputé toxique isolément, comment devient-il inoffensif dans un ogm ?
    Le problème est qu’on teste l’impact de l’ogm, mais pas celui de chque élément potentiellement dangereux.

    Je trouve la polémique absurde. Ni les anti ogm ni les cultivateurs d’ogm ne sont à blamer, ils jouent tous leur rôle. Les hommes politiques me semblent sur ce point hautement responsables de laisser pourrir une situation qui perdure depuis des années. Avant d’autoriser les ogm il auraut fallut comander des études constradictoires. Maintenant les enjeux économiques sont trop avancés en France. Il ne pourra y avoir qu’un compromis.
    Il faut juste espérer que la dangerosité des ogm ne sera pas du même niveau que celle des additifs chimiques utilisés par l’agroalimentaire, connus pour leur propriétés cancérigènes, mais authorisés malgré tout en raison des pressions des puissant lobis de l’agro.

    Je suis personnellement contre la consommation d’ogm par le règne animal parce que ma philosophie de la vie ne s’accorde pas avec les logiques conjointes du marché et de la productivité agraire dont les protagonistes, multinationales, n’hésitent pas à poursuivre en justice les quelques de semences traditionnelles non stériles. Elles plébiscitent l’argumentation du problème de nourrir la population mondiale. Elle occulte de fait le problème centrale de surpopulation dont l’alimentation n’est qu’une conséquence. Elles se moquent de convertir une partie de leurs immenses bénéfices en dons de semences pour les populations souffrant de famine.

    Je déplore que l’on ne tire pas les leçons de cette course effrenée au productivisme alimentaire au moindre coût.
    La vache folle, la fièvre aphteuse, le sida porçin, les nitrates dans les eaux, la dioxine, la listéria, sont le fait de la production industrielle intensive, jamais de celle artisanale.
    Même la dénonciation des pratiques sauvages de la grande distribution n’ont pas changé leurs pratiques. Ces mêmes grandes surfaces qui ne sont moins chères que les artisans que pour leurs produits bas de gamme dont la liste des ingrédients m’effraie au poinr d’être inquiet pour l’état de santé des classes populaires dans quelques années.

    Autrement dit, on finira pas manger des ogm, et si dans 20 ans, on voit apparaître une recrudescences de pathologies, on pensera alors à ceux qui avaient dit que les ogm n’étaient aucunement dangereux, à l’instar du nuage de tchernobyle stoppé à la frontière, mais pourtant, au dire des médecins responsable d’une recrudescence de cancers de la tyroïde.
    Ah vous ne saviez pas ?   Arrêtez de regarder les love story, star ac’ et compagnie, en abuser fait disparaître progressivement les neurones qui vous permettent de raisonner, déduire. Si si je vous assure, et ça va très vite. Si vous ne me croyez pas, lisez donc changeux, deheane, jeannerod.

    9 octobre 2007 à 0 h 30 min
  • Shimano Répondre

    Il faut pas sous-estimer l’aspect psychologique dans ce refus de masse. Ce sont les Américains qui cherchent à nous imposer les OGM. Or tout le monde sait qu’en matière d’hygiène alimentaire ils n’ont pas nos préceptes, ils sont majoritairement bien plus obèses que les Européens. De plus l’artificiel dans la nourriture ne pose aucun problème à leurs yeux. Et surtout, tout le monde se souvient qu’ils ont essayé de nous imposer récemment la viande aux hormones en estimant que ça n’avait strictement aucune incidence sur la santé. Personnellement je suis récemment allé aux US. J’ai été outragé de risquer une amende prohibitive si j’avais passé la moindre nourriture venant de France comme s’il s’agissait de quelque chose de pestinentiel ; ceci alors qu’ils inonde le monde de pepsi et de coca-cola.

    28 mai 2004 à 0 h 31 min
  • Romanov Répondre

    A mon avis, on a raison d’être méfiant vis-à-vis des OGM puisqu’il y a irréversibilité au bout, et pas de raison urgente pour les employer. De toutes façons, votre article est très discutable puisqu’il instruit exclusivement à décharge. Parmi les arguments à charge citons les suivants. On ne peut pas être sûr de l’innocuité des OGM. Certes ils ne sont pas traités aux pesticides mais en contiennent le principe en quelque sorte. Les effets délétères sont susceptibles d’apparaître des décennies plus tard : c’est le cas avec la radioactivité, avec l’amiante, etc… En conséquence l’argument consistant à dire que c’est inoffensif parce que ça n’a jamais tué personne est un argument d’ignorant. La nature a toujours fait des croisements : c’est certes exact ! Mais ça laisse entendre qu’en faisant des OGM on fait comme la nature. En fait la nature produit des croisements viables sur plusieurs générations. Ce n’est pas le cas des OGM. Par exemple, si vous semez des graines de melons OGM, les melons sont magnifiques mais stériles : on est obligé de replanter (donc de réacheter). Excellent sur le plan commercial, mais douteux au plan biologique. Précisons que dans l’ADN, les bases ne se répartissent pas au hasard comme l’on tend à le faire croire mais dans une proportion remarquablement constante (qui correspond aux séquences de Fibronacci) ainsi que le démontre l’ouvrage « La Planète transgénique » écrit non par un biologiste mais par un mathématicien. Ainsi, il y a une sorte de résonance du vivant, un griffe du naturel. Trafiquer cette séquence c’est bien créer quelque chose d’artificiel, et non une manipulation biologiquement neutre.

    28 mai 2004 à 0 h 02 min
  • Guillermo Répondre

    Nous sommes en guerre, économique certes mais dans une véritable guerre tout de même. C’est le fond du problème comme le discours de Gilles l’explique ci-dessus. L’arrière-pensée de ces quelques multinationales est de nous rendre dépendants d’elles comme un drogué l’est vis-à-vis de son dealer. Sauf que dans le cas des OGM le rapport d’esclavage serait légal. Votre discours, plein de candeur, me rappelle ceux qui, voici encore 15 ans, refusaient de voir l’immigration massive comme une invasion; et qui, un peu comme vous aujourd’hui, décrivaient le Français comme ringard, frileux, ne comprenant pas que l’immigration constituait justement une chance pour ce pays.

    27 mai 2004 à 23 h 19 min
  • philippe Répondre

    je suis agriculteur ,bien conscient que toute évolution comporte une part d’inconnu,mais je crois que qu’il n’y aura pas d’avenir pour l’agriculture(celle dont le défi sera de nourrir 10 miliards d’individus)sans une recherche efficace et apolitique. Merci donc à Monsieur José Bové qui en bloquant la recherche en France,ne laisse travailler que les américains! Demain nous utiliserons des semençes OGM et elles seront americaines…

    27 mai 2004 à 22 h 15 min
  • Didier Répondre

    Cher Gino, …. BOF !.. C’était ma première réaction. Votre propos se veut irrévérencieux, iconoclaste mais manque terriblement de piquant pour quelqu’un désirant manier la provoc’ ! Vous êtes “sans scrupules” dites vous, on s’en doutait un peu, mais çà va mieux en le disant; et ce disant, vous n’attirerez à vous que peu de qualité, plutot des gens comme vous, des consommateurs avides, envieux et peu généreux. Des gens sans intéret parce qu’ils ont traversé la vie sans apprendre grand chose. Il vous faut être contre quelqu’un, tenter de le salir de fiel et de haine pour avoir le sentiment d’exister un peu. C’est dommage, il y a tant de choses à découvrir en écoutant, en comprenant, et peut être en aimant les gens. Petite gouttelette de stress, ne vous croyez pas à l’abri de votre modeste retraite. En URSS, sous Gorbatchev, l’état ne trouva plus un sou pour payer ses fonctionnaires et les retraités. Remarquez donc les pensions qui s’écornent en France, la Sécu qui s’effrite, lentement, petit à petit… Hé,hé,hé… …et ces terribles canicules dans un pays ex-développé, le seul du genre, trop endetté sans doute, la faute à qui ? Là c’est moi qui rigole, là où je vais je ne paierais plus pour vous, vous avez mangé votre pain blanc !!

    27 mai 2004 à 17 h 39 min
  • Gino Répondre

    Réponse à ADOLPHOS. Moi qui était adolescent en 68, je vais essayer de vous rasséréner un peu. PRIMO. A 50 ans passés je suis vieux si vous y tenez. Je ne considère d’ailleurs pas l’age comme une tare. Mais, toujours est-il que vieux ou pas je suis dans une forme olympique, je fais des tas d’activités et en tout cas je ne suis sûrement pas comme vous dites. Merci. SECUNDO. S’il n’y avait pas eu mai 68, il y aurait eu autre chose. Pour quelqu’un comme vous, pour les éternels malchanceux, les envieux, les loosers, c’est toujours la faute de quelqu’un ou “à pas de chance !”. Piteuse mentalité pour quelqu’un qui se dit de droite : vous ne paraissez en avoir ni l’optimisme ni le dynamisme. TERTIO. Quelles que soient mes convictions politiques, je ne renie pas cette époque. Elle était fantastique. Nous avons été irrévérencieux, gaspilleurs, joueurs invétérés et j’en passe ! Quelles rigolades, et quelle jubilation à cet age de tout contester, de tout remettre en question et de voir en plus toutes les instances d’autorité vaciller, de voir l’air atterré des profs, des politiques qui tout d’un coup se mettent à vous prendre tellement au sérieux !!! QUARTO. Si je n’ai pas de regrets, je n’ai pas davantage de scrupules. Je suis plié de rire de savoir que ça retombe sur les aigris comme vous. La vie est trop injuste, je ne la trouve que plus belle !!! QUINTO. Etant fonctionnaire de police, je ne vais pas tarder à avoir ma retraite. Je vais être loin d’être malheureux. Je crois que c’est encore un bonheur que vous n’allez pas connaître quand vous prendrez la votre dans quelques décennies, avec toutes les âneries politiques qui se sont ajoutées depuis. Vous allez encore manquer de chance, j’en suis certain. En tout cas, mille fois merci de m’avoir fait autant rigoler !!!

    26 mai 2004 à 23 h 32 min
  • Gilles Répondre

    Toute cette analyse est dénuée de sérieux. Il ne s’agit pas d’arrêter les recherches sur les OGM, mais de savoir quel bénéfice réel les OGM peuvent apporter à l’humanité. Le problème de l’évaluation des conséquences de leur consommation est très complexe et il faudra des années avant que l’on puisse constater les dégâts irréversibles qui seront éventuellement provoqués par l’usage incontrôlé des OGM. Le problème de fond est la motivation qui a conduit au développement des OGM : il est apparu que dans une économie agricole où règne la surproduction (dans les pays industrialisés) le risque était que les acteurs dominant du marché agricole soit confrontés à la faillite à cause de la chute des prix inévitable due à la concurrence des pays du sud. Ne pouvant plus continuer éternellement à subventionner leurs agriculteurs, les USA et l’UE finiraient par perdre le contrôle du marché des denrées alimentaires. La production d’OGM, outre leurs propriétés permettant théoriquement l’amélioration des rendements agricoles, a l’intérêt de permettre à leurs concepteurs (les grandes firmes agro-industrielles) de détenir les droits (les OGM sont brévetées) sur les semences vendues, et donc d’emprisonner les agriculteurs dans un système où ils seront toujours dépendants du bon vouloir des firmes agro-industrielles dominant le marché. Ainsi de la même façon que Microsoft a imposé au monde son système Windows, dans une situation de monopole qui contredit toutes les théories économiques sur la libre concurrence, les firmes agro-industrielles dominantes imposeront l’utilisation de semences brèvetées, créant ainsi un impôt permanent à tous ceux qui voudraient librement pratiquer l’agriculture. Le malheur, cest que les semences, contrairement aux programmes informatiques, peuvent se propager sans intervention humaine, au gré des vents. Ainsi des procès ont été intentés par ces firmes contre des agriculteurs dont les champs comportaient des semences brévetées que ceux-ci n’avaient pas achetées, tout simplement parce que celles-ci provenaient d’un champ voisin!! Ainsi, pour pouvoir satisfaire les appétits de profits illimités d’une minorité de personnes, on condamne l’humanité entière à vivre dans la dépendance d’un système absurde, et dans la peur d’une catastrophe écologique rendue possible par des apprentis sorciers qui prétendent mieux connaître la nature que des paysans qui ont passé leur vie à produire dans le respect d’un équilibre entre l’homme et son environnement. Ceux qui ont encouragé l’usage excessif des pesticides sont les mêmes qui aujourd’hui prônent la culture intensive à base d’OGM sans aucune restriction. Leur but n’est pas de nourrir la planète, mais de s’assurer que la misère du monde ne viendra pas contrarier leur soif de pouvoir.

    26 mai 2004 à 19 h 01 min
  • guy_nolet Répondre

    C’est en vertu du principe de précaution que, pendant plusieurs siècles, le peuple a brulé les sorcières. Il est navrant de constater que nous en sommes encore et toujours à ce stade reflétant la médiocrité des responsables politiques dont la devise s’avère être ” On ne sait jamais……..”.

    25 mai 2004 à 10 h 44 min
  • Paul.WEBER Répondre

    A vrai dire, je ne connais pas le problème à fond, et je ne vous fais connaître mon avis qu’à titre documentaire. Mais il me semble que le maîs génétiquement modifié est consommé(+ ou – sans modération?) depuis plusieurs années aux états- unis, sans dommage apparent sur la santé humaine.Est-ce que je me trompe? Pour une fois que l’amérique se rend utile vis à vis du reste du monde, et notamment de l’EUROPE, nous devrions en profiter. Ne croyez pas que cette réflexion émane d’un adorateur des états-unis.Je suis au contraire farouchement opposé à ce qu’ils ont fait, et continuent de faire en IRAK, sous l’égide d’un président ,que je ne qualifie qu’intérieurement

    24 mai 2004 à 18 h 01 min
  • Adolphos Répondre

    Que voulez vous, les révolutionaire de 68 sont vieux et fatigués. Tout ce qu’ils demande maintenant c’est que les jeunes payent leur retraites et qu’on ne leur change pas leur petites habitude de vieux…

    24 mai 2004 à 15 h 09 min

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