Sectes, islamisme et Islam

Sectes, islamisme et Islam

Le Coran est-il authentiqueUne campagne injustifiée a créé une opposition fictive entre religion, sensée bonne et secte, sensée dangereuse et mauvaise. Or, comme le dit É. Barnavi, il y a des religions parfois meurtrières tel le christianisme au XVIe siècle. Plutôt que de dérives sectaires, il faut parler de dérive religieuse, mais cela peut aller beaucoup plus loin.

Ainsi qu’en est-il de l’Islam d’aujourd’hui ? Ici, parler de dérive devient absurde. Les « bien-pensants » affirment qu’il ne faut jamais confondre islamisme et Islam. Certes, mais qu’est-ce que l’islamisme ? Ne faut-il pas le considérer comme une secte, voire comme LA secte, comme le disaient certains vers 1890 de la franc-maçonnerie ? Curieusement, nul ne le fait, alors que d’aucuns qualifient ainsi l’Opus Dei.

Le malheur, c’est que, même parmi les musulmans les plus opposés au terrorisme, la plupart n’ont jamais condamné l’islamisme d’un point de vue « théologique » et que, de ce point de vue, il n’y a aucune différence entre le wahabisme de la monarchie saoudienne et le salafisme qui veut détruire cette dernière, tous deux n’étant qu’un aspect du « rite hanbalite » du Moyen-Âge, toujours considéré comme orthodoxe. Observons au passage que l’on ne s’est guère soucié de Français de souche convertis à l’Islam, milieu composite où on trouve, hélas, d’authentiques terroristes.

Bien plus, ceux là même qui rêvent d’une modernisation de l’Islam, débarrassé d’archaïsmes choquants, sont souvent considérés comme hérétiques, voire apostats ! Les « modernisateurs » risquent même, dans de nombreux pays musulmans, de très graves ennuis ! Ce serait alors eux qui constitueraient une secte contrairement aux Salafistes, simples criminels politiques, pas religieux.

Le problème est encore rendu plus difficile par cet étrange masochisme qui amène à considérer tout ce qui est d’origine européenne comme « intrinsèquement pervers » d’où l’accusation grotesque de racisme contre toute critique de l’Islam, (même formulée par des « intellectuels de gauche »), et ce, par des « défenseurs des droits de l’homme ».
À cette défense inconditionnelle de tout Islam correspond à l’opposé, la critique radicale de ceux qui, comme M. Lagartempe, voient la racine du mal dans le Coran, en totalité. Thèse étayée d’ailleurs par une connaissance réelle, même si biaisée, du sujet. L’Islam serait alors complètement irréformable. Que penser alors ?

L’Islam résulte d’un mélange complexe de christianisme, de judaïsme, de mazdéisme et de quelques traces des religions antiques du Moyen-Orient (païennes). Son prophète (gourou ?) fut en même temps un homme de guerre qui poursuivit, dans une fort petite région géographique, un combat victorieux pour la conquête du pouvoir à La Mecque.*

Mais son second successeur, Omar, sut prolonger cette guerre tribale en conquête du monde. Et c’est de cette conquête que naquit une civilisation héritière de l’Antiquité et souvent raffinée.*

Malheureusement, elle fut toujours perturbée par des troubles politiques d’une extrême violence, associant des problèmes dynastiques et, souvent, des révoltes de populations pauvres ou éloignées et se réclamant de la supposée pureté originale de la religion comme cela fut explicité par le grand Ibn Khaldoun (1332-1406). L’histoire de nombreux pays (tel le Maroc) est tout à fait caractéristique. Ainsi, au bout de quelques siècles, un extrême dogmatisme stérilisa la pensée et rien ne put parvenir à modifier cet état de choses.

On peut et doit critiquer la notion moderne des Droits de l’homme, très réductrice, souvent arbitraire et surtout hypocrite comme le montre son absurde emploi pour justifier une campagne anti-secte qui va à l’opposé même de cette notion ! Il n’en reste pas moins qu’au-delà de ces critiques, l’essentiel sert de fondement au monde où nous vivons et que certains éléments, tels l’égalité des sexes ou la liberté de penser sont incontournables.

Or, entre la charia, même adoucie, et les Droit de l’homme, même relativisés, l’incompatibilité est totale, absolue. Il y a opposition entre un monde très ou trop mobile, « bougiste », et un autre, celui du salafisme, figé sur la volonté de ne rien changer à un univers n’ayant jamais existé réellement, féroce, cruel, qui est à l’opposé du meilleur de ce que fut la civilisation arabe musulmane.

* M. Sfar – Le Coran est-il authentique – Éd. Sfar (1, rue Cassini – 75014 Paris)

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Comments (49)

  • Neuvy Répondre

    Un voyage imaginaire au pays des identités antiques ;

     

    « Origines de l’islam » de Laurent Lagartempe 

    Editions de Paris, septembre 2009

     

    Ressentir le choc des mentalités pour mieux comprendre le drame ; et pour cela s’immerger dans les cultures d’époque : c’est à quoi vous convie l’auteur.

     

    La rigueur chronologique est la condition première d’une juste interprétation de l’histoire. Inverser une succession temporelle d’événements conduit inévitablement à prendre l’effet pour la cause, et la cause pour l’effet. Or cet anachronisme relatif à la datation des faits, assez facilement repérable et remédiable, est moins insidieux que cette autre sorte d’anachronisme, celui qui se rapporte à l’optique globale à travers laquelle on perçoit les événements du passé. Regarder agir les acteurs du passé avec les yeux du présent est la tendance naturelle, toujours difficile à surmonter. Le souci d’éviter cet écueil tient une place importante dans le livre de Laurent Lagartempe, sous forme d’un chapitre entier intitulé  « Préalables à l’intelligence des faits »

     

    Cette précaution s’avère être essentielle dans le cas particulier de l’histoire des origines de l’islam, étant donné que tout ce qui s’est écrit en langue arabe sur le sujet est littéralement infecté d’anachronismes, relatifs à l’interprétation des faits autant qu’à leur datation.  Il faut avoir à l’esprit ce fait plutôt insolite que l’on ne retrouve pratiquement aucun document en langue arabe, qu’il s’agisse des légendes mahométanes ou de l’historiographie proprement dite, qui ne soit antérieur à la fin du 8e siècle. Or on sait pertinemment  que, très tôt et constamment ensuite jusqu’au 9e siècle, on a beaucoup écrit en langue arabe et beaucoup détruit à la faveur de féroces  luttes de chefs pour le pouvoir.

     

    Il y eut ainsi, durant deux ou trois siècles, de successives manipulations  de récits, ayant pour but de donner au passé le visage que l’on voulait qu’il ait dans le présent, et qui chaque fois évoluait au gré des puissances du moment. L’aspect le plus insidieux de ces manipulations anachroniques est celui qui tient à l’usage de certains  mots arabes essentiels, ayant eu au départ un sens très différent de celui qu’ils ont acquis ensuite, et qui apparaissent dans les récits du passé avec le sens nouveau qu’ils n’avaient pas alors. Pouvoir s’affranchir de ce trucage sémantique, exige une immersion mentale imaginaire dans ce que fut la mentalité arabe de plusieurs époques successives et une initiation au glissement de sens subi par certains mots ; ce qu’autorisent maintenant les études linguistiques qualifiées, dont le livre donne un aperçu, essentiel à la juste interprétation des événements.

     

    Qui plus est, l’événement « origines de l’islam » considéré dans sa globalité et rapporté à son  contexte socio-politique, appelle une juste appréciation de l’état des mentalités d’époque, tant des Arabes eux-mêmes que des peuples partenaires du drame. Ce qui conduit l’auteur à accomplir  un voyage imaginaire au pays des identités antiques ; dans ce qui, à l’époque, caractérisait les Perses, les Grecs, les Juifs et les Arabes, du point de vue de leur mémoire collective, de leur conscience identitaire et de leur imaginaire. Au total, c’est une véritable immersion mentale rétrospective au sein des cultures et des civilisations du Moyen Orient au 7e siècle, que propose le livre. 

    12 octobre 2009 à 0 h 09 min
  • Neuvy André Répondre

    « Origines de l’islam » de Laurent Lagartempe

    Editions de Paris, septembre 2009

    D’accord ou pas d’accord, vous devrez en convenir : le discours de l’auteur n’est celui de personne d’autre.

     

    Laurent Lagartempe,   un « électron libre » 

     

    Sa vie professionnelle l’a mis au contact direct du monde musulman, sans que pour autant il en ait conservé des attaches affectives ou intéressées susceptibles d’infléchir la libre expression de sa pensée. Sa qualité d’agronome l’a aussi mis à l’abri des dépendances à l’égard de ce qu’il est convenu d’appeler les « sciences humaines » et du conformisme inhérent à leurs écoles de pensée. Sa démarche d’analyste du monde musulman procède d’expériences de terrain, revisitées à la lumière d’apports bien informés d’analystes beaucoup plus qualifiés que lui, dont il nourrit sa pensée sans pour autant se plier à leurs poncifs. Son « Petit guide du Coran » paru en 2003 aux Editions de Paris, avait mis en œuvre une méthode d’approche inédite à ce jour. Le « Livre sacré » des musulmans, tant de fois analysé et commenté avec précautions et respect, se trouvait  pour la première fois soumis à une grille analytique dont la sécheresse quantitative répugne habituellement aux  chercheurs de « sens » : Sociologues, philosophes, théologiens… Or cette sèche approche quantitative, s’avère être celle qui donne accès aux différents « sens » dont est porteur le livre, de la façon la plus précise, la plus objective et la plus exhaustive.

     

    Fort du succès de son approche analytique originale du Coran, et de l’expérience que lui vaut sa connaissance coranique du monde musulman, Laurent Lagartempe s’attaque maintenant à l’histoire des origines de l’islam avec une égale liberté d’esprit. N’étant pas historien de formation, l’auteur aborde le sujet avec la rigueur exigée de tout chercheur scrupuleux,  rigueur dont  il a déjà fait preuve dans un  précédent ouvrage « Histoire des Barbaresques » gratifié d’une préface de l’éminent historien Jacques Heers. L’information qu’il mobilise sur le sujet est cette fois en grande partie inédite. Ce qui s’est vraiment passé au Moyen Orient au 7e siècle est en effet en grande partie occulté par l’omniprésence médiatique de la légende mahométane, prudemment  ménagée par la critique historique. Prenant en compte l’événementiel classique de l’histoire des empires perse et grec de l’époque, l’ouvrage récapitule en outre les apports originaux les plus récents de courageux pionniers de la recherche historique, curieusement ignorés de la grande presse.

     

    Fidèle à sa ligne de conduite habituelle, de rigueur dans la prise en considération des faits, autant que de hardiesse dans la recherche des significations, l’auteur  brosse un tableau exhaustif des événements ayant affecté le Moyen Orient durant la première moitié du 7e ; tableau composé de façon à faire ressortir la succession et l’enchevêtrement des causes ayant abouti à l’émergence de l’islam. Outre les causes circonstancielles de cet avènement, liées aux forces et affrontements de l’époque, l’analyse fait une place importante aux causes structurelles inhérentes à l’histoire et à la conscience identitaire des peuples en présence. Les tensions intervenues à cette époque entre Grecs, Perses, Juifs et Arabes sont envisagées dans une optique apparentée à celle illustrée par Huntington, « Le choc des civilisations » à propos des relations internationales contemporaines, après la chute du mur de Berlin dans les années 80. L’auteur se trouve ainsi conduit  à dresser, dans une première partie de l’ouvrage,  un portrait anthropologique et culturel approfondi des quatre protagonistes ; ce qui lui permet de situer l’événementiel du drame dans une perspective historique de « temps long », avec mise en évidence de causes remontant loin dans le passé, et de séquences  événementielles antérieures annonciatrices ou anticipatrices  du drame.

     

    C’est finalement en forme de tragédie classique que le récit prend corps dans la seconde partie du livre, avec quatre « personnages-peuples » de caractère bien typé en proie à leurs passions, engagés dans une action que l’on voit se développer en quatre actes successifs vers un tragique dénouement. Au total, c’est le souci d’avoir à prendre en compte l’ensemble des causes et des effets, proches et lointains, qui préside à la composition de l’ouvrage, pour une présentation synthétique qui soit lisible en dépit de la complexité du sujet. On est évidemment ici bien loin de la version simpliste autant que mythique que nous en donne la légende mahométane. La version beaucoup plus proche de la réalité, que propose  Laurent  Lagartempe est à la fois instructive, inédite, dérangeante et  passionnante :  Un véritable scoop de rupture avec le consensus hagiographique dominant qui sévit à propos de l’histoire  de l’islam et de ses origines. 

    6 octobre 2009 à 6 h 18 min
  • NEUVY Répondre

    « Origines de l’islam » de Laurent Lagartempe,

    Editions de Paris, septembre 2009

    Offrez-vous un  périple à travers l’espace et le temps historiques :  plus que de la géopolitique, c’est de la géo-anthropologie.

     

    Néolithique contre paléolithique

     

    Le mot « Origines » est ici à prendre au sens large du terme : incluant les faits propres à l’événement lui-même, et aussi tout ce qui s’y rapporte de près ou de loin ; qui plus est, l’auteur n’est jamais à court d’interprétations. Ses exposés ne sont  jamais seulement une sèche relation de ce qui a eu lieu, mais sont toujours assortis d’une quête de sens, d’un effort d’élucidation des interférences causales et des effets subséquents. Réciproquement les significations exprimées se veulent étayées de faits significatifs. Parfois, dans un but  didactique,  l’exposé de la conclusion  précède celui de la démonstration. C’est le cas pour la thèse la plus fondamentale du livre, celle qui se rapporte à l’« effet nomade » vu en tant que  cause première du drame ayant abouti à l’émergence de l’islam.

     

    Une thèse de ce genre ne se démontre pas en quelques paragraphes d’un chapitre. C’est  à travers tout le livre qu’il faut en chercher les explications et les justifications. Autant  donc en proposer  d’emblée une image claire, à travers deux cartes figurant au tout début du livre, précédant même l’introduction. L’examen  de ces cartes appelle l’attention sur un aspect de l’histoire des civilisations trop souvent sous-estimé, à savoir la constante  pression agressive des peuples nomades sur les peuples sédentaires, pression préhistorique autant qu’historique. L’auteur avait déjà consacré à l’exposé de cette thèse plusieurs chapitres de son précédent livre « Histoire des Barbaresques » montrant que  « l’agressive présence aux frontières des barbares nomades fut le grand tourment de tous les empires. » Ce fut le cas  pour les anciens empires, de Sumer à Assour ; ce le fut également pour ceux, plus récents de Perse, Rome et Byzance. La conquête arabe en est un modèle typique.

     

    Les invasions arabes sont en effet l’un des derniers avatars de ce perpétuel tourment infligé par des peuples barbares aux peuples civilisés des cités, des royaumes et des empires. En effet les véritables acteurs et profiteurs du grand chambardement ayant affecté le Moyen Orient au 7e siècle sont les Bédouins, peuple composé de turbulentes  tribus nomadisant dans les espaces de steppes et déserts de l’immense Arabie (dite actuellement Saoudite). En matière d’histoire la causalité est non seulement plurielle, mais encore souvent équivoque, douteuse, difficile à établir… La prudence conduit souvent à parler de facteurs accélérateurs ou répresseurs…  de circonstances propices ou non … ou même de pures coïncidences.

     

    En ce qui concerne l’émergence de l’islam, l’« effet nomade » a joué un tel rôle dans l’aventure que l’on ne saurait l’écarter en tant que cause, non pas cause unique bien sûr, mais sans doute « cause première », celle sans laquelle les autres causes n’auraient pu devenir opérantes.  L’« effet nomade » est ce processus majeur qui durant huit ou dix millénaires a continuellement ralenti l’opiniâtre aspiration des hommes à s’organiser en communautés de sédentaires, producteurs de bien et inventeur de cultures humanistes. Dernier « effet nomade » de grande ampleur avant l’épopée de Gengis-Khan au 13e siècle, cette cause première de l’émergence de l’islam est essentielle à la compréhension de ce qu’est véritablement l’islam. L’islam fut dès l’origine imprégné d’esprit bédouin, et n’a jamais depuis cessé de l’être.

     

    28 septembre 2009 à 5 h 10 min
  • NEUVY Répondre

    Intéressez-vous au nouveau livre de Laurent Lagartempe : « Origines de l’islam »

    Editions de Paris, septembre 2009

    D’accord ou pas d’accord, vous n’aurez pas à le regretter : un excitant périple à travers l’espace et le temps vous y est proposé.

     

    Laurent Lagartempe ne fait pas les choses à moitié. 

     

    Analyste rigoureux du monde musulman, il entend ne laisser échapper aucun des facteurs historiques directs ou indirects, proches ou lointains, pouvant avoir pesé de façon sensible dans le déterminisme complexe ayant abouti à l’émergence de l’islam. Le regard qu’il porte sur l’événement se situe donc aux « antipodes » de celui propagé par  la légende mahométane, d’un processus d’émergence dont la causalité se réduirait, à la limite, à la geste inspirée d’un unique personnage. Son parti pris s’identifie à celui de l’historiographie contemporaine, qui est d’admettre a priori  qu’en tout événement il y a nécessairement pluralité de causes.

     

     Ses prises de vue historiques participent d’avantage du grand angle que du zoom. Il est précis et concret lorsqu’il s’agit de retracer les péripéties guerrières de l’événement lui-même, mais il ne manque jamais de distancier le regard sur les faits pour en faire mieux ressortir les significations. Et, significativement,  la place que tient dans le livre le récit de ces péripéties se réduit à quatre des treize chapitres qui le constituent. L’auteur se veut rigoureux dans la relation des faits, mais il se veut plus attentif encore au décryptage des motivations et implications  politiques, sociologiques, idéologiques, qui les sous-tendent. Ce qui, pouvant a priori paraître étrange, conduit l’auteur à consacrer les quatre premiers chapitres du livre à un considérable coup de projecteur sur les cultures et civilisations des peuples protagonistes du drame : Perses, Grecs, Arabes et Juifs.

     

    Le détail pittoresque d’un paysage ne manque jamais de solliciter le zoom du spectateur ou du photographe, mais c’est souvent en réduisant la focale que l’on parvient à en percevoir tout le sens. L’objectif grand angle est ce qui permet d’embrasser le paysage dans  son ensemble et d’en percevoir  la cohérence.  Un site particulier n’est jamais disjoint du panorama qui l’inclut ;  il lui doit même souvent beaucoup de ce qu’il est. Le caractère particulier des événements qui ont affecté le Moyen Orient durant la premier demi 7e siècle, se perçoivent déjà bien lorsqu’on focalise sur les faits eux-mêmes. Ils se perçoivent mieux encore lorsqu’on  les considère inclus dans  le panorama géographique et historique qui les habille et  les détermine.

     

    L’intelligence d’un paysage ne se limite d’ailleurs jamais à ce qu’il est dans l’instant. La géologie nous sensibilise au caractère transitoire de son apparence actuelle. On sait que les traits essentiels de son relief sont  l’aboutissement d’une longue et considérable orogenèse, dont la connaissance ajoute du sens à ce qui s’exprime dans son instantané. Dans le cas d’un  événement marquant comme dans celui d’un site remarquable, il est toujours profitable  d’appréhender l’objet dans ses perspectives à la fois spatiales et temporelles. Au sens du livre de Laurent Lagartempe, le mot « origines » doit être pris dans son acception la plus large : il englobe les implications causales culturelles autant que matérielles, anciennes autant que contemporaines. Le coup de projecteur sur le passé est même si pénétrant qu’il va jusqu’à situer l’événement dans la perspective, quasi intemporelle, d’affrontement entre nomades et sédentaires, autrement dit entre communautés paléolithiques et néolithiques. C’est à une prise de vue de très grand angle que le lecteur d’« Origines de l’islam » doit s’attendre. 

    21 septembre 2009 à 12 h 51 min
  • moslim Répondre

    je répond au magne : tu ma fait rire, l’islam est une religion et pas une politique, un conseil pour toi, n’ecoute pas ce qu’elle dit : wafa sultan parce que c’est une vraie folle et pour elle le plus important dans la vie c’est l’argent et la télé.

    27 avril 2008 à 17 h 06 min
  • PHOENIX Répondre

    J’ai oublié de dire que je trouvais l’article de P. BARRUCAND très pertinent dans l’ensemble, spécialement lorsqu’il se demande s’il ne faudrait pas considérer l’Islamisme comme "LA SECTE" …..

    MAIS  : 

    1°) Poser la question c’est dans ce cas-ci y répondre

    2°) Comme je l’ai déjà écrit ailleurs  – et à condition d’avoir réellement étudié le Coran, on finira tôt ou tard par se rendre compte que c’est l’ISLAM EN SOI qui fonctionne tout entier comme une secte colossale d’un milliard et demi de membres !! (le nombre ne fait rien à l’affaire, comme dirait l’autre…)

    Je jure que je pourrais développer ceci beaucoup plus longuement…. mais il est déjà bien tard pour cet article et ses réactions, non ? ?

    pOUR ILLUSTRER d’un seul point l’affimation ci-dessus, que l’on pense simplement au sort réservé aux apostats….  et j’ai dans ma besace des dizaines d’exemples !

    Toujours là, Mohamed ?

    Cordialement 

    23 mars 2008 à 11 h 05 min
  • PHOENIX Répondre

    MOHAMED  ABDEL :

    "Bientôt plutôt la paix… Dans un monde où une seule religion sera garante de l’homogénéité unverselle…"

    Moi aussi je vous remercie pour avoir été aussi clair dans votre post et – à l’instar de Thialet – en souhaite la lecture vivifiante à un max. d ‘"idiots utiles"…..

    "LA PAIX…"     "L’homogénéité universelle…"

    De Saladin à Staline en passant par Napoléon et Hitler (et tous leurs émules respectifs), l’Histoire grouille d’utopistes criminels qui ne souhaitent qu’une chose :  "la paix" en passant par l’"homogénisation" accomplie à coups de massacres et de lavages de cerveau……

    En réponse :  A BAS  le totalitarisme le plus dangereux du monde actuel, à bas donc l’islam radical avec tous les moyens disponibles  ! !

    23 mars 2008 à 10 h 40 min
  • Anonyme Répondre

    @Jean-Claude Thialet

    Ne faites pas semblant de ne pas comprendre. Si je fais référence à Franco, c’est uniquement pour rappeler que l’histoire d’un peuple et a fortiori celles des hommes, est faite d’alternatives plus ou moins durables. En l’occurrence, l’épisode islamique a laissé en Espagne des traces autrement plus profondes que le franquisme, même si l’évocation de ce dernier vous ramène à Pétain. Alors ne chassez pas avec trop de désinvolture cet épisode (islamique) de son histoire au simple prétexte qu’il vous dérange.
    Je suis libre penseur, donc pas plus musulman qu’autre chose, et j’observe. Et je constate que si, comme vous le rappelez, Charles Martel a arrêté les Arabes à Poitiers, ils sont aujourd’hui bien au delà et sont revenus de telle manière que cela devrait inciter tous ceux qui le déplorent à lutter contre ce retour avec d’autres moyens que ceux que vous et vos semblables préconisez.
    Quant à la colonisation, vous me faites un procès d’intention en me taxant de repentance. Il n’en demeure pas moins que si elle nous a conduit à imposer à des peuplades, qui n’en demandaient pas tant, les Gaulois pour ancêtres, ce titre que beaucoup ont payé de leur sang nous crée un devoir, dont je suis surpris que votre sens de l’honneur puisse sembler l’ignorer.
    Que la poussée migratoire que nous subissons soit la manifestation d’une nouvelle forme de colonisation, il semble n’y avoir aucun doute à ce sujet. C’est bien pourquoi il est regrettable que nous nous montrions incapables de l’endiguer autrement qu’à la manière dont les Hottentots opposaient leurs sagaies à nos fusils. Les armes ne sont plus des sagaies ni des fusils et les richesses convoitées par les uns et les autres ont changées. Elles naissent de l’information, de la communication, les transports,  et elles sont les infrastructures industrielles, le travail, les soins, la nourriture, …

    Notre seule chance d’échapper à la submersion est d’endiguer le flot là d’où il vient, non pas par la seule force des armes mais par celle du pragmatisme (pour ne pas parler d’intelligence).

    Cordialement

    19 mars 2008 à 14 h 43 min
  • Anonyme Répondre

    Les bien- pensant sont bêtes et encore je pèse mes mots. Si vous criez “Vive la France” , ils vous traitent de raciste. Si vous sifflez la Marseillaise,C’est normal ,c’est un défoulement (ne traitez pas un footeux noir de singe,car c’est le tribunal) Pour rappeler un post précédent,il y a longtemps que j’avais jugé SARKO et sa bande de traître à la nation. On a viré les méchants allemands il y a plus de 60 ans aujourd’hui.(A les écouter , même les gens de mon âge (58) on fait de la résistance).Pourtant, aujourd’hui,les biens pensant se réjouissent de l’invasion islamique . Ils culpabilisent pour l’inquisition ,Mais ils excusent les coupables d’aujourd’hui . La victoire de l’intelligence : je n’y crois pas car en face ils n’ont pas le même sens se raisonnement que nous. Pendant ce temps le prix du gas-oil augmente

    18 mars 2008 à 18 h 23 min
  • Anonyme Répondre

    @no.second.to
    "Il me semble que notre muslim de service, parlait d’ un pont entre les deux rives du détroit de Gibraltar.Heureusemnt que les français n’ ont pas réussi à prendre le Rocher sinon le pont serait déjà fait." : Notez tout de même, cela vous permettra de mettre votre pendule à l’heure, que nos frontières ne sont plus qu’un souvenir. L’Europe entière est donc concernée par un ouvrage la reliant au continent africain. Ainsi va l’histoire, ne vous en déplaise.
    "
    Bien sûr que l’ on trouve des passages guerriers dans la Bible mais les quelques chrétiens qui lisent encore ce livre ne s’ en servent pas pour se faire exploser sur les chemins de Saint Jacques de Compostelle où d’ aileurs." : Si vous ne vous limitiez pas à lire que ce qui vous arrange et à comprendre que ce qui convient à vos convictions, vous auriez pu voir que je parlais de 5 siècles d’écart entre le Christianisme et l’Islam. Admettez que cela peut donner le temps d’apprendre la politesse.

    18 mars 2008 à 10 h 05 min
  • UN chouka Répondre

    Il y a bien un combat politique(résistance !) caché sous la sècte ou religion ,il me semble?

    Il y a bien une intention manifèste d’érradiquer la sècte ou religion qui dérange la bien pensance occidentale dans un but qui devrait sauter aux yeux des plus humbles ,je crois ?

    Ces cultures sont peut etre des entraves a la mondialisation  ,mais aussi un poison pour une culture différente et intolérente elle aussi ? ;-)

    Cette mondialisation semble vouloir mettre les populations d’ici ou d’ayeur ,au meme pas ,et en faire un immence troupeau soumis aux dogmes du fric, peut etre ?

    Il me semble que dans la foulée que la mondialisation chèrche a acaparer les moyens d’autosuffisance des petites populations pour en faire des asistés dépendants et controlables a souhait ?

    Ce dogme incontournable de la mondialisation imparable, n’est ‘il pas une sècte  des pire sècte lui aussi ?

    Ses desins ne sont ils pas monstrueux aux yeux des gens "libres "?

    La constante qui se déssine, peut a peut aux yeux de "cèrtains rétifs"(margineaux ),est peut etre a base d’èsclavagisme au sèrvice d’une poignée de posédants supèrieurement intelligents pour manier les nouvelles tèchnologies ou au moins pour le faire croire aux plus humbles  afin de leur imprimer la crainte rèspèctueuse  qui justifie une  soumition intolérable aux pèrsonnes sensées (contre nature comme d’hab ?)?

    C’est en tout cas, un sentiment qui m’envahi, lorsque je vois cèrtains pays se faire laminer par la "puissance militaire" qu’ils ne méritent pas ?

    18 mars 2008 à 8 h 05 min
  • Anonyme Répondre

    Tucroy

    Il me semble que notre muslim de service, parlait d’ un pont entre les deux rives du détroit de Gibraltar.Heureusemnt que les français n’ ont pas réussi à prendre le Rocher sinon le pont serait déjà fait.

    Bien sûr que l’ on trouve des passages guerriers dans la Bible mais les quelques chrétiens qui lisent encore ce livre ne s’ en servent pas pour se faire exploser sur les chemins de Saint Jacques de Compostelle où d’ aileurs.

    Vous devriez rajouter de l’ eau dans votre suope;elle va finir par devenir trop épaisse.

    Oncques ne faillit

    17 mars 2008 à 10 h 28 min
  • UN chouka Répondre

    Si je m’amusais a imposer "un livre "avec des trucs incohérants, voir déviants, esclavagistes,et violents,je vérais tout de suite me tourner autour les spécialistes de la santé mentale aux dognes complaisants,voir tout simplement ,les milices du coin ou des dèlinquants/criminels  locaux, envoyés ,suite a la rechèche de quelques tunes bien vit gagnées.

    Dans ce truc ,il n’y a rien a comprendre, si ce n’est l’inquisisition ,suivie de violences irationelles imposées aux populasses ignardes .

    Eloigner le danger des sèctes, est tout a fait intèrdit,il ne faut surtout pas empoyer la meme violence qu’eux ,et surtout ne pas se pèrmètre le meme traitement qu’ils usent sur les autres étrangés a leux combines avinées de vieilles date .

     

    17 mars 2008 à 8 h 50 min
  • Anonyme Répondre

    J. C. Thialet : " Et je maintiens (..) que nous assistons en FRANCE  – j e dirai même que nous en sommes victimes – à une immigration massive qui est la forme rampante d’une colonisation qui, à terme, verra la disparition de l’identité française."

    EXACT.  Bravo Jean Claude!  Ce qui est ennuyeux, c’est que vous avez raison.

    Best,

    Mancney

    17 mars 2008 à 0 h 04 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    Pour Mancney,

      à la question « action ?», que faire contre l’islam ?, j’ai  une réponse, que je ne ferais pas breveter car elle me parait trop simple. Avant de donner cette « solution Luc SEMBOUR », je donne le point de vue de http://www.coranix.com sur l’expansion de l’islam.

    ….Mais dans le « prodige » de l’expansion des zones sous influence du coran, il n’y a toutefois aucun miracle ni aucune intervention d’Allah « Le grand »: la seule combinaison d’un lavage de cerveau systématique à grande échelle, dès le plus jeune âge, avec la tendance naturelle de l’âme humaine pour l’irrationnel (surtout au VIIème siècle dans une société archaïque, quand on sait le succès de l’astrologie en ce XXIème siècle dans une société qui se prétend rationnelle…), le tout dans une ambiance perpétuelle de brutalité (mise à mort par caillassage, amputation, fouet etc…) et de peur (l’épouvantable enfer de Mahomet, l’arbitraire des chef spirituels etc…) mais avec une « soupape de sécurité » permettant de défouler son agressivité ainsi exacerbée (la guerre sainte, la violence conjugale, les brimades envers les dhimmis…), ses penchants les plus animaux (polygamie et pédophilie à l’exemple du « beau modèle » du prophète) et son intelligence la plus vile (fourberie, mensonge, trahison…) suffit à entretenir le cercle infernal de la perpétuation de l’abrutissement et de la violence. La violence entrainant l’abrutissement par contagion de proche en proche, le processus de mahométisation ne fait pas que s’auto-entretenir : il se propage naturellement.

               La seule réelle difficulté, c’est de démarrer le processus d’abrutissement par la violence à une échelle suffisamment vaste en un temps suffisamment court pour que la mayonnaise prenne mais tout en réussissant à entretenir cette dictature ainsi créée durant suffisamment longtemps pour qu’elle commence son processus d’auto-entretien et d’exportation. C’est sur ce point que Mahomet a réussi avec le plus parfait brio : il a su manipuler l’irrationnel à grande échelle, se montrer brutal, inspirer la terreur et pousser les gens ainsi opprimés à se défouler par le meurtre, la polygamie, la fourberie, le mensonge, la trahison et, in fine, la propagation de sa doctrine. Il mérite sans conteste la Médaille d’or du plus grand gourou de tous les temps! …..Cf coranix.com

     

        Les gens de coranix.com sont plutôt athées. Luc SEMBOUR, incorrigible catholique, partage leur opinion et ajoute:

        Dieu étant tout-puissant, rien ne lui est impossible. Il faut donc savoir que tenter quelque chose contre les idéologies opposées à ses desseins véritables, aura toujours des effets positifs, même si dans un premier temps les résultats ne sont pas au rendez-vous. Le formidable échec apparent du Christ agonisant sur sa croix, entre 2 forbans de droit commun, après 3 ans de prêches, pourtant bien reçus par des assistances nombreuses, est une inspiration pour 2000 ans de missions chrétiennes.

       Que faire contre l’islam en 2008?

       Ce qui est sûr est que l’islamophilie béate est une voie sans issue. Aucune gratification ni reconnaissance n’est à attendre de forces maléfiques, ou d’idéologies totalitaires.

       Grossièrement on pourrait voir 2 méthodes de combat anti-islamique :

           la méthode judéo-protestante de la trique (œil-pour-œil juif et GI’s américains) alliée à l’évangélisation protestante agressive.

           la méthode catholique de résistance douce mais très opiniâtre et de prière fervente.

     

       La solution Luc Sembour est de lancer l’habitude d’étudier le coran auprès des élites religieuses chrétiennes comme des élites laïques ou même « laïcistes » d’occident. Cette solution repose sur la certitude que le texte coranique ne peut pas résister à l’étude sérieuse (ni à l’exégèse des religieux ni à l’analyse soignée des intellectuels d’occident). Il se disqualifiera de lui-même comme « le Capital » de Karl Marx, qui n’est même plus étudié par les communistes français. L’interdiction en islam de soumettre le coran à l’analyse critique n’a pas d’autre souci que la connaissance de ses faiblesses rédhibitoires.

       Cette nouvelle habitude en occident prendrait avantage de la remarquable aptitude des protestants à disséquer les textes sacrés (ou réputés tels comme le coran) et l’aptitude catholique à répercuter partout une attitude ou une communication papale (on en a vu les effets sur la chute du communisme en Pologne qui a entrainé tous les autres pays par effet de dominos, accélérant ainsi l’effet Reagan). On pourrait aussi tabler sur l’aptitude critique de tous les esprits forts laïques, s’ils ne sont pas trop trouillards (attention aux tribunaux politisés et aux fatwas fanatiques)

        Aujourd’hui, le coran n’a pas encore perdu sa crédibilité en occident grâce à l’application systématique de la taquia (aussi orthographiée taqia, taqiya, taqiyya, taqiyyah, takia, takiya, takyya), qui permet aux vrais connaisseurs de faire prendre des vessies pour des lanternes à tous les autres. Tarik Ramadan, le « Suisse », est un fin virtuose de la taquia. D’une façon générale ma très longue expérience est qu’il n’existe aucune chance d’obtenir une information « non truquée » auprès d’un érudit musulman sur l’islam.

       Conférer à l’islam un statut de RATP (Religion d’Amour de Tolérance et de Paix), au lieu de celui d’ETHIC (Endoctrinement Totalitaire de Haine, d’Intolérance et de Conflits), par la simple occultation des versets nasikhs (seuls valables), au profit des mansukhs (lesquels n’ont aucune valeur en islam), aura une fin le jour où les non-musulmans se décideront à étudier le coran.

       Après 25 ans de Moyen-Orient, je suis personnellement optimiste. Il est à mon avis certain qu’il faut se préparer pour l’après-islam même si très peu de signes en sont proposés dans les médias occidentaux. On remarquera par exemple qu’il y a 200 000 Qataris, tous musulmans dont bon nombre sont de mauvais pratiquants et 100 000 chrétiens très pratiquants parmi les étrangers de Doha. Situation analogue aux Emirats Arabes Unis où j’ai vu défiler environ 30 000 personnes aux messes de Paques 2007.

       Sans préjuger des évolutions locales futures, l’islam implosera in fine sous le poids de ses contradictions. Comme un organisme biologique mal-conçu ne peut survivre face aux défis de la nature et finit par succomber à ses malformations vitales, l’islam mourra en tant qu’idéologie, comme un tyrannosaure qui a fait son temps. La question est de savoir quand. Les événements s’accélèrent puisque le flux d’information s’accélère par des facteurs supérieurs à 1000 (internet, voyages massifs en jet, mondialisation tous azimuts). La phase terminale est en route. Il est impossible désormais de cacher les terribles contraintes du coran et il ne peut survenir que 2 choses:

            l’abandon définitif d’une partie, même très petite, du coran, ce qui signifie la mort clinique de l’islam au sens théologique, de même que la chute du mur de Berlin signifiât la mort idéologique du communisme.

            l’abandon provisoire de parties du coran, dans une sorte de moratoire concerté des autorités musulmanes (fort dispersées, floues et non centralisées), ce qui posera de graves problèmes à tout le monde et impliquera des contrôles drastiques des sympathisants plus ou moins fondamentalistes. L’insécurité permanente qui en résultera aboutira fatalement dans certaines parties du monde à l’interdiction légale de l’islam, tel qu’il est connu aujourd’hui et donc à sa mort à terme, après de nombreux soubresauts.

    Il est sûr que l’épuisement progressif des réserves pétrolières d’Arabie, d’Afrique et d’Indonésie et/ou la découverte d’énergies massives de substitution (recherche nucléaire), va être un catalyseur des changements à venir.  

       On enseigne aux pompiers à ne jamais attaquer le sommet des flammes mais la base. La base de l’islam est le coran puisque les 2 autres sources (hadiths et sunna) n’existeraient pas sans le coran.

       Il faudrait donc étudier le coran en dernière année de séminaires catholiques, d’universités de théologie protestantes, d’écoles rabbiniques. En effet, si les musulmans n’ont pas le droit d’étudier la Bible, personne pour l’instant ne parvient à interdire aux non-musulmans de lire attentivement le coran. Si elle n’est pas très naturelle pour un futur missionnaire du Christ, ou pour un juif, ou pour un journaliste du Monde, de Libé, ou de France-Intox, la grande radio d’information permanente en France, cette démarche accélérerait le desserrement de l’étau où l’islam tente d’emprisonner les âmes et les corps.

       Il faut connaître l’adversaire pour le combattre. Actuellement les coups sont portés à l’aveuglette et les moyens de prédication sont dispersés sur un islam idéalisé et trop mal connu. Beaucoup d’énergie est gaspillée, faute de se concentrer sur l’adversaire tel qu’il est, facile à renverser et à retourner, quand on connaît ses forces et ses faiblesses. L’islam est par nature une idéologie guerrière très simple et rustique, mais très robuste et qui a fait ses preuves contre tous ses opposants et ennemis mal préparés ou naïfs. Connaître le coran, les hadiths et la sunna, avec leurs faiblesses structurelles insurmontables, est à la portée de tous les non-musulmans. Les intellectuels curieux, les cadres, les retraités, tout le monde, a intérêt à lire de façon critique le coran et à lire les commentaires critiques qu’en font ceux qui les ont précédés. Anne-Marie Delcambre (Française, fille de magistrat, athée), entre autres est une de mes analystes préférées.

       Comme il est souvent bien plus facile de commencer à fumer que de stopper l’addiction au tabac, il faut se préparer à faire un effort pour sortir les esprits des griffes de l’islam, bien supérieur à celui consenti par eux pour y enter. Comme je ne crois pas possible à un musulman de s’en sortir seul, l’effort est à initier de l’extérieur, exclusivement par les non-musulmans. Lourde charge.

     LS à Abu Dhabi.

     

    16 mars 2008 à 20 h 52 min
  • Anonyme Répondre

    @SAINT-TEX
    Comme tout le monde, je ne lis pas tout, mais j’ai trouvé tellement comique votre longue citation de Serge de BEKETCH que je m’en suis distrait quelques instants. Rarement lu autant d’âneries en aussi peu de lignes. J’ai toutefois retenu une phrase qui me semble éclairer une certaine situation : "la notion de patrie est contraire à l’Ouma, loi islamique qui nie la nation.". L’Islam n’est-il pas tout bonnement en train de tirer moins aveuglément que ses compétiteurs, profit de la mondialisation ?  MONTJOIE ! SAINT DENIS ! UTINAM VICTRIX : Voilà en tout cas qui est plus proche de nos chevaliers en armures succombant sous les flèches des archers anglais à AZINCOURT ou des cuirassiers chargeant au sabre contre la mitraille, à REICHOFFEN, que des combats à livrer de nos jours. Le panache y était, dommage qu’il y ai manqué la perception du progrès.
    @no.second.to
    Avec le réchauffement climatique et la montée des eaux, la traversée de Gibraltar à pied sec n’est pas prévue, bien au contraire, sauf remake du miracle de la mer rouge. Mais quoi qu’il en soit, il y aura le tunnel.
    @Olivier
    A propos des extraits du Coran que vous citez, comme exemple de sa barbarie : Vous n’auriez pas à aller bien loin dans la Bible pour trouver des propos du même tonneau.
    @Gérard Pierre
    Georges Bernanos était un visionnaire lorsqu’il écrivait : « L’intellectuel français est si souvent un imbécile que nous devrions toujours le tenir pour tel jusqu’à ce qu’il ait prouvé le contraire. » : Je suggère une actualisation par suppression pure et simple du mot "intellectuel".
    @Jean Pierre
    "Et les crimes de Pol Pot ? De Staline ? De Brejnev ? De Castro ?Deng Xiaoping  et j’en passe…" : Vous ne pouvez pas en passer ! Sinon pour éviter une énumération interminable qui risquerait se retourner contre vous. Tous les crimes de l’humanité sont, et ont toujours été, commis au nom de l’une ou l’autre des Vérités des uns ou des autres, et qu’elles soient laïques ou religieuse n’y change rien.
    "Je ne comprends pas pourquoi on permet sur la place publique à des laïques anti-religieux de s’exprimer quand dans la même temps on le dénie de fait aux minorités religieuses ?!" : Pensez à la loi de l’offre et de la demande et vous comprendrez.
    @Hocine
    "contraint au départ par la force puis ensuite par le chantage économique les peuples conquis en orient se sont pliés à l’islam globalement." Considérez SVP les conditions fiscales avantageuses faites à toutes les religions d’Etat, par tous les pouvoirs, sous tous les régimes, en occident comme ailleurs, et vous admettrez que le cas de l’Islam n’a rien d’aussi exceptionnel que vous le pensez. Le politique et le religieux ont toujours et partout fait alliance pour se partager l’impôt. Les oriflammes sous lesquels sont brandis le sabre et le goupillon peuvent avoir aussi bien la couleur blanche que bleue, rouge ou verte.

    16 mars 2008 à 20 h 01 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<jolie votre phrase et tellement vraie.  Les "va t’en guerre" sont hélas nombreux – ils oublient que quand le sang coule, c’est toute l’humanité qui y perd. Peu importe pour moi la religion à venir, mais un monde en paix OUI ça vaut le coup et ça viendra.>>

    "Lieber rot als tot".  C’était la devise des verts et roses allemands dans les années 80. L’histoire nous a appris depuis qu’il existait une troisième voie. En 2008 nous ne sommes ni morts ni rouges, nous avons survécus et vaincus la mort et la peste rouge.

    Certains sont vraiment prêts à tout accepter, genre Daladier et Chamberlain.

    "Britain and France had to choose between war and dishonour, they chose dishonour" (W.Churchill) …. et eurent peu après la guerre en héritage. Joli monde ces pseudo pacifistes…. 

    16 mars 2008 à 9 h 53 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    16/03/08    – "Les 4-Vérités"

    TUCROY. Belle démonstration, TUCROY, de votre sectarisme borné. Que vient faire FRANCO dans un sujet qui concerne l’ISLAMN et dont votre ami Abdel MOGAMED vous a prévenu   – nous a prévenus –  qu’il est la panacée popur établir la paix (pax musulmana, comme il y a eu la pax romana) sur l’ensemble de la Planète. Si un "posteur", ou moi-même, avions cité Charles MARTEL, je suis certain que vous auriez ressorti le Maréchal PETAIN …Vous êtes assurément dans le camp des "islamistes", c’est parfaitement votre droit.

    Mais ne m’accusez pas de partialité lorsque je parle de "circulation unique entre l’Afrique et l’Europe" (sans doute aurais-je pu préciser pour les "bornés" à l’époque actuelle). Il suffit de se promener dans les rues de Casablanca et de Dakar, d’un côté, et de Marseille ou de Paris, pour voir dans quel sens se font les flots migatoires ! Mais je gage qu’en lisant ce qui précède, après avoir tiré FRANCO de la naphtaline, vous allez me sortir la colonisation du placard. Je vous rappellerai que la "colonisation française" en Afrique  – exceptée en Algérie – n’a pas été une colonisation de peuplement telle que le fut par exemple celle de l’Amérique du Nord où l’on a fait délibérément la chasse aux Indiens. Concernant l’Algérie, il n’y a d’ailleurs pas eu de "chasse" aux Arabes qui aurait permi aux Européens de devenir largement majoritaires et de contraindre les "indigènes" à l’exil comme l’on fait, et par conséquent de conserver à la FRANCE l’Algérie qu’ils avaient d’ailleurs fabriquée de toutes pièces.

     Et je maintiens (vous n’avez qu’à relire les propos de feu Houari BOUMEDIENNE que ce cite par ailleurs) que nous assistons en FRANCE  – je dirai même que nous en sommes victimes – à une immigration massive qui est la forme rampante d’une colonisation qui, à terme, verra la disparition de l’identité française… Libre à vous de pratiquer la formule de Confucius (1) et de vous "coucher" avec délectation devant le métissage généralisé – et l’islamisation qui va avec, et que nous annonce l’ami Abdel MOHAMED -, et même de vous convertir par anticipation à l’Islam,  mais vous feriez preuve d’une absurde maufaise foi si vous persistiez à nier une situation qui ne fait que s’accéler selon le proessus bien connu d’un arrivée continelle de dizaines de milliers de nouveaux immigrés et d’une fécondité allogène (2) largement supérieure à celle des femmes indigènes …

                                       Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) "Quand le viol est inévitable, couche-toi et apprête-toi à en jouir." (Confucius). Une expériennce pas forcément ‘"jouissive" qu’ont faite physiquement maints "droit’com" allogènes qui ont eu la (mal)chance de partager une cellule avec certaines catétogies d’ingènes !

    16 mars 2008 à 9 h 33 min
  • Hocine Répondre

    Déjà  à l’origine de la soit disante "révélation" pour le moins brutal (l’ange aurait frappé Muhammad) il y a eu par la suite plusieurs copies du coran.Avec la récitation et les conflits entre Muhammad et son entourage il y a eu plusieurs versions différentes selon les chercheurs.

    Ensuite il y a eu les conquête : les "musulmans" se sont fait battre par les français à Poitiers !

     

    Enfin au XVIIème siècle il ne faut pas oublier que les autorités musulmans pratiquaient les taxes ou impôts sur les peuples qu’ils soumettaient : seul ceux qui refusaient de devenir musulman payaient l’impôt ! C’est pourquoi contraint au départ par la force puis ensuite par le chantage économique les peuples conquis en orient se sont pliés à l’islam globalement.

    Aujourd’hui on parle de pays "musulman"; et pour cause.

    Muslim: "soumis"-mais comment? Et à quel prix ?

    Petit détail: les berbères musulmans étaient "chrétiens"(aussi par la force avec les romains) avant et avant cela ils étaient maraboutiste-d’Afrique…

    La foi ne s’impose jamais par la force mais se partage avec la raison…

    16 mars 2008 à 0 h 19 min
  • Jean Pierre Répondre

    C’est remarquable de voir comment des athées comme M.Gonnet veulent absolument venir en aide aux grands ordres religieux pour lutter de façon pathologique contre les soient disantes "sectes" qu’ils sont incapable de disssocier du champ de leur mauvaise expérience par ex chez les scientologues qui n’ont rien de religieux ; on en convient parfaitement !

    Or dire que l’athéisme n’a pas fait autant de victimes c’est méconnaître de façon étonnante l’Histoire !

    Et les crimes de Pol Pot ? De Staline ? De Brejnev ? De Castro ?Deng Xiaoping  et j’en passe…

     

    J’ajouterai que même que parfois ils ont eu le soutient complice de certains ordres religieux ! 

     

    Donc les faits sont là et le reste c’est du bla bla…

    Je ne comprends pas pourquoi on permet sur la place public à des laïques anti-religieux de s’exprimer quand dans la même temps on le dénie de fait aux minorités religieuses ?!

    Deux poids , deux mesures…

    15 mars 2008 à 23 h 15 min
  • Gérard Pierre Répondre
       Il était une fois un gentil caravanier analphabète, nommé Mahomet, marié avec une gentille dame riche nommée Khadidja. Ils vécurent longtemps heureux et firent de bonnes affaires. Lorsque Khadidja, de quinze ans l’aînée de son époux, décéda, Mahomet fut désemparé. Il sombra dans l’épilepsie. Son priapisme, privé des soins les plus attentifs de la défunte dame, libéra une libido d’enfer. De surcroît, la mégalomanie s’empara de son esprit fruste.
     
       Sigmund Freund ayant eu la malencontreuse idée de ne naître que plusieurs siècles après lui, Mahomet dut pratiquer l’automédication en recourrant alors aux modestes solutions dont il disposait. Durant ses crises d’épilepsie, il entrait en transe et plongeait alors sous un monceau d’étoffes pour se cacher du jour. Lorsqu’il en émergeait, il disait avoir rencontré un dénommé Gabriel, un gars dont les Juifs et les Chrétiens de La Mecque l’avaient vaguement entretenu. Je ne sais pas ce que ces deux là se sont vraiment racontés sous les couvertures, mais à en croire ceux qui ont recueilli les confidences de Mahomet, c’était assez décousu.
     
       Quand le mégalomane s’est rendu compte qu’il était entouré de beûbeûx auxquels il parvenait à faire avaler ses élucubrations, il s’est dit que c’était tout bon et que le moment de devenir vizir était bien choisi. Au début, ça n’a pas marché avec tout le monde, notamment avec les Juifs et les Chrétiens qui connaissaient la vraie histoire et qui se gondolaient en écoutant ce qu’il en avait compris. Ce n’est pas très charitable de rire de son prochain, surtout lorsqu’il est diminué.
     
       Alors Mahomet, pas content, mais alors pas du tout content, claqua la porte de La Mecque et alla se réfugier à Médine. Les beûbeûx qui l’avaient suivi rameutèrent des copains. Ils les beûbeûisèrent gravement et constituèrent une bande de zonards du désert qui retourna à La Mecque péter la trônche aux Juifs et aux Chrétiens qui avaient rigolé. Et là, …………… Mahomet n’a pas pu se dominer. Il les a tellement castagnés qu’ils en sont majoritairement morts définitivement pour la plupart.
     
       Ses succès aidant, Mahomet prit de l’assurance. Plus il en racontait et plus les beûbeûx gobaient ses âneries. C’était n’importe quoi mais comme disait Georges Marchais : « plus c’est gros, et plus ça passe ! ». Chaque fois que ça l’arrangeait, il utilisait sa ligne directe et sans fil avec Allah qui lui certifiait, ……… paraît-il, …… mais là on a pas vraiment de preuves, …… que c’était bien comme ça qu’il fallait s’y prendre. C’est ainsi qu’à défaut de l’inventer il normalisa théologiquement la pédophilie, le vol, le viol, la décollation, l’excision, l’éventration, le machisme, et autres gracieusetés dont l’islam est prolifique.
     
       Et depuis quatorze siècles la machine à produire les beûbeûx ne cesse de fonctionner à plein rendement. Un milliard et demi d’exemplaires circulent actuellement sur les routes du monde entier. Il existe deux catégories d’individus dans l’existence et la ligne de partage passe au niveau de l’esprit : les producteurs, …… et les prédateurs. Les beûbeûx appartiennent irrémédiablement à la catégorie II. Ils sont donc en permanence à la recherche de producteurs à tondre, taxer, et pulvériser après usage. Et pendant ce temps là nos intellectuels sont là, avec leurs poteaux indicateurs, en train de les encourager : « Allez y, c’est par là ! ».
     
       Georges Bernanos était un visionnaire lorsqu’il écrivait : « L’intellectuel français est si souvent un imbécile que nous devrions toujours le tenir pour tel jusqu’à ce qu’il ait prouvé le contraire. »
    15 mars 2008 à 16 h 19 min
  • Olivier Répondre

    Une petite citation parmi d’autres possibles, pour montrer ce qu’est le Coran :

    Sourate 22-20 ("Le pèlerinage de la Mecque") :
    "Les fidèles et les incrédules sont deux adversaires qui se disputent au sujet de Dieu; mais les vêtements des infidèles seront taillés de feu, et l’eau bouillante sera versée sur leurs têtes."
    22-21 :
    "Leurs entrailles et leur peau en seront consumées; ils seront frappés de gourdins de fer."
    22-22 :
    "Toutes les fois que, transis de douleur, ils voudront s’en évader, on les y fera rentrer et on leur criera : Subissez le supplice du feu."
    (Ed. GF Flammarion 1970, p 260)

    s’il y en a à qui ça fait envie…

    15 mars 2008 à 16 h 03 min
  • Anonyme Répondre

    Frédéric ENGELS 

    jolie votre phrase et tellement vraie.  Les "va t’en guerre" sont hélas nombreux – ils oublient que quand le sang coule, c’est toute l’humanité qui y perd. Peu importe pour moi la religion à venir, mais un monde en paix OUI ça vaut le coup et ça viendra.

    La paix selon qui et quoi, ces pacifistes me feront toujours rire, ils sont prêts à accepter n’ importe quoi pourvu que ceux soient les autres qui payent leurs erreurs.

    En 36; ils bêlaient d’ admiration devant les ronds de jambe de Chamberlain face à Adolf ensuite quand ce dernier est venu leurs couper les moustaches,ils ont sorti les vieilees ganaches de 14-18 pour défendre la France et les autres pays de la vieille Europe.Quel magistral coup de pied au c..  que nos pacifistes ont pris mais avec le sang des autres.

    30 ans plus tard leurs fils disaient "plutôt rouge que mort", heureusement que les ricains (encore eux) ont poussé les soviétiques vers la course aux armements et malgré de grands économistes du style de notre Jospin,ils se sont cassés lamentablement le portrait.

    Maintenat ,nous avons leurs petits fils dont nous avons des représentants sur ce site qui se reconnaitrons, n’est il pas Jaures! Mais cette fois ci , vos meilleurs ennemis ne viendront pas vous portez secours, ils regarderont l’ Europe crevée de son immobilsime mais c’est vrai avec les cousins de Momo qui pourront traverser à pied sec le  détroit de Gibraltar, l’ avenir est au vert.

    Oncques ne faillit

     

    15 mars 2008 à 16 h 00 min
  • Anonyme Répondre

    Toujours aussi partiel que partial Jean-Claude THIALET.
    Lorsque vous dites que l’Espagne a chassé l’Islam, continuez donc à nous raconter l’histoire, mais en évoquant le sort du franquisme triomphant, qui a cédé à son tour à un autre type d’invasion, plus pernicieuse il est vrai.
    Quant à la circulation à sens unique entre Afrique et Europe, c’est avoir la mémoire encore bien courte et sélective.
    Cordialement

    15 mars 2008 à 15 h 23 min
  • Anonyme Répondre

    Frederic Engels : " Peu importe pour moi la religion à venir, mais un monde en paix OUI ça vaut le coup et ça viendra."

    –  Ok. Je n’y crois pas; ce mec, Engels, n’existe pas, (enfin pas sur le forum). Je sais que la co.. rie n’a pas de limite, mais quand meme. Il y a encore un petit malin qui nous a construit une marionnette.

    Nice try, encore une fois.

    Best,

    Mancney

    15 mars 2008 à 14 h 39 min
  • Anonyme Répondre

    Saint Tex citant Serge de Beketch : " Je n’ai aucun sentiment à l’égard de l’islam. Je m’en fous radicalement. Tant qu’il reste dans ses terres." "

    –   Ca rappelle quelque chose déja écrit dix mille fois sur ce forum, n’est-ce-pas St Ex?

    Same :  " Jamais la France n’a été aussi gravement malade. Infecté par le sida de la coallahboration, cette maladie auto-immune qui détruit toutes les défenses naturelles de la civilisation française, notre pays est devenu islamo-positif. Sa survie est désormais entre les seules mains des islamo-résistants. En avant ! »"

    –   Serge de Beketch est un islamo-lucide, un de plus. Amusant, la co-Allah-boration. Et il est vrai qu’on est en plein de dedans, car ce qui importe, ce n’est pas le musulman extrémiste ou son complice silencieux, qui nous envahit en nous insultant, car il fait son job, qui est de nous conquérir, de prendre nos richesses et de remplacer notre civilisation par la sienne (?), ce qui importe c’est la non-résistance, c’est nos réactions litterraires a une invasion réelle, c’est l’étude permanente et répétitive du Coran, la surprise élegamment exprimée ("mais comment est-ce possible, mon Dieu!?"), la discussion, la palabre, bref une sorte de pseudo-intellectualisation d’un conflit non-reconnu; ce qui m’inquiete, c’est que devant le feu qui gronde et qui s’étend, certains s’interrogent sur les raisons de son déclanchement, sans s’occuper le moins du monde de l’éteindre.
    En ce moment meme, nous écrivons notre lacheté dans les pages de l’histoire du Monde.

    Jean.  J’ai passé une paire de nuits aux Dry Tortugas, avant qu’elles ne soient désormais classées "Research National Park" (et donc interdites d’ancrage). A part Fort Jefferson, pas grand chose a voir, des oiseaux et beaucoup de calme.

    By the way, Jean, vous etes le PREMIER a avoir répondu a ma question sur des ACTIONS.

    Best,

    Mancney

    15 mars 2008 à 14 h 33 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    15/03/08    – "Les 4-Vérité"

    MOHAMED Abdel, permettez à l’ancien Casablancais, et même Safiot, et surtout ancien élève du "Lycée Lyautey" que je suis de vous remercier pour vos propos. J’ai la naïveté de croire qu’il ouvriront un peu plus les yeux de toutes les autruches doublées d’idiots utiles qui se refusent à voir que la FRANCE, que dis-je ? l’UNION EUROPENNE sont en voie d’islamisation. Certes, vos propos se veulent rassurants : "Bientôt plutôt la paix … Dans une monde un monde où une seule religion sera garante d’un homogénéïté universelle", nous promettez-vous d’une plume benoîte…

    Si je vous ai bien compris, "ISLAM" " (dont je rappelle que le mot veut dire "soumission à Dieu", et par extension au Coran) "COMMUNISME" (qui, lui aussi, ne conçoit que la "soumission à ses diktats comme il l’a prouvé partout où il s’est installé !)naguère, et aujourd’hui MONDIALISME et ALTERMONDIALISME (l’un et l’autre étant le côté face et le côté pile d’une même "pièce idéologique"), même combat :  celui de "L’HOMOGENEÏTE UNIVERSELLE" ?

    Merci, aussi, d’avoir accordé à Nicolas SARKÖZY (dont vous ne pouvez ingorer certaines origines juives) (1) un certificat en bonne et dûe forme de "musulmanie". Même si je crains que ce ne soit pas suffisant pour faire regretter aux éternels cocus de la droite (la vraie comme la fausse) d’avoir voté pour lui qui leur avait promis  – entre autres bonnes choses – de régler les problèmes de l’immigration. Une immigation qu’il n’estime pas suffisante puisqu’il vient de faire accepter à ses pairs de l’UNION EUROPENNE (y compris Angela MERKEL pourtant très réservée) son mirifique projet (certes "raboté" (2)comme nous l’annonce "LE FIGARO") d’une UNION POUR LA MEDITERRANEE destinée, selon lui, à renforcer la circulation entre le NORD et le SUD, une "circulation" dont les Européens qui savent ouvrir les yeux et les oreilles ont depuis longtemps constatéqu’elle ne circule praqituqment qu’à sens unique , SUD/NORD, évidemment !

    Mais cher Abdel, ne triomphez pas trop tôt. Outre que j’espère bien que les EUROPEENS se réveilleront à temps, je vous rappelle que les peuples de la Soviétie ont réussi à se débarrasser du communisme, et aussi, que l’ESPAGNE a réussi, elle, à chasser les musulmans. Il lui a fallu certes quelques siècles, et me direz-vous, nous ne serons pas là, ni vous ni moi, pour voir le monde "pacifié" par l’Islam, puis libéré de la Chari’a. Outre que je suis catholique, ce qui me donne la foi et l’espérance (pas seulement elles, d’ailleurs), j’ai la chance de croire en la REINCARNATION. Et j’espère bien que, dans une vie ultérieure, j’aurai la chance non de connaître la paix universelle à la mode "musulmane", mais celle d’une "Reconquista" universelle qui verra l’avènement du Christ. Car, n’en déplaise au pieux musulman (ne le sont-ils pas tous, même quand ils boivent quelques aclcools forts ?) que vous êtes assurémen(3), la seule "religion universalle" est le CHRISTIANISME. Parce que c’est aussi la seule à enseigner l’amour de son prochain et le pardon des fautes, celles des autres, même si la véritable nature du Pardon commence par les siennes !

    Et, puisque j’évoque ci-dessus à deux reprises la "charia", permettez-moi de vous demander si vous êtes prêt à l’accepter. Et, dans l’affirmative, pourquoi ne pas commencer par l’établir dans l’EMPIRE FORTUNE, le Maroc, si vous préférez ?

                         Salam, chalom, paix à toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté ! (4)

       Bon dimanche, cordialement, Jean-Claude THIALET

    P.S. J’imagine que vous acxceptez de voir votre "post" être largement diffusé. Vous connaissez la formule chère à "4-Vérités" : "nous écrire, c’est accepter d’être publié !"

       Bon dimanche à toutes et à tous, cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) comme ses épouses n°2 et n°3 !

    (2) si c’est à la façon dont on a "raboté" le Traité Constitutuionnel" (celui concocté par GISCARD, et rejeté par une majorité de Français et de Bataves !) pour donner le "TRAITE DE LISBONNE" (celui qu’on a pas osé soumettre à un referedum !), les EUROPEES ont de bonnes raisons de se méfier … Oui, mais voilà, Nicolas SARKÖZY qui espère boien passer à l’Histoire, croit manifestement avoir trové avec "SON" projet d’UNION POUR LA MEDITERRANEE le "super-machin (digne de l’ONU qui n’est même pas capable d’imposer sa volonté au Tibet) qui instaurera la "paix universelle" entre les peuples qui bordent la Méditérranée. Si c’est dont nous parle lnotre ami Abdel MOHAMED, il aura joué à l’APPRENTI SORCIER ! 

    (3) comme le faisait feu mon ami Driss CHRAÏBI (voir son livre quelque peu autobiographique : "LE PASSE SIMPLE, chez Denoël, il date de 1955 ou 1956 !)

    (4) que MOHAMED Abdlel me pardonne de ne pas avoir repris son cri de guerre : MONTJOIE, SAINT-DENIS (pourquoi "Saint Denis" ? pour nous rappeler que l’Islam y est déjà sérieusement implanté, sans pour autant y avoir apporté encore la "paix ". Il est vrai que, le "métissage" n’étant pas encore accompli, nous n’en sommes pas non plus à "l’homogénéïté universelle", seule garantie de "paix", slon vous !), KOUTOUBIA (pourquoi pas sa grande soeur la "GIRALDA" ? Parce que celle-ci vous rappellerait fâcheusement la "reconquista" ?)

    15 mars 2008 à 14 h 20 min
  • Olivier Répondre

    Une petite citation parmi d’autres possibles, pour montrer ce qu’est le Coran :

    Sourate 22-20 ("Le pèlerinage de la Mecque") :
    "Les fidèles et les incrédules sont deux adversaires qui se disputent au sujet de Dieu; mais les vêtements des infidèles seront taillés de feu, et l’eau bouillante sera versée sur leurs têtes."
    22-21 :
    "Leurs entrailles et leur peau en seront consumées; ils seront frappés de gourdins de fer."
    22-22 :
    "Toutes les fois que, transis de douleur, ils voudront s’en évader, on les y fera rentrer et on leur criera : Subissez le supplice du feu."
    (Ed. GF Flammarion 1970, p 260)

    s’il y en a à qui ça fait envie…

    15 mars 2008 à 13 h 48 min
  • ENGELS Frédéric Répondre

    A Abdel MOHAMED,

    jolie votre phrase et tellement vraie.  Les "va t’en guerre" sont hélas nombreux – ils oublient que quand le sang coule, c’est toute l’humanité qui y perd. Peu importe pour moi la religion à venir, mais un monde en paix OUI ça vaut le coup et ça viendra.

    Cordialement

    Frédéric ENGELS 

    15 mars 2008 à 13 h 10 min
  • Anonyme Répondre

    Analyse ne manquant pas d’intérêt que celle de Luc Sambour, et qui en tout cas en vaut bien d’autres ne serait-ce que par sa sérénité. Ce qui n’empêcherait probablement pas les coranistes d’y trouver à redire. Pour s’en consoler, le cas échéant, penser par exemple à ce que sont les réactions de l’église romaine lorsque quiconque met en doute la Vérité des saintes écritures.

    Ce qui inquiète, toutefois, c’est cette soumission à un texte définitivement figé, exigée sans le moindre égard, rigoureuse et inconditionnelle. Il y a là une simplification réductrice de l’esprit et l’annihilation de tout sens critique. Mais n’y a-t-il pas une certaine hypocrisie à s’en étonner ? N’est-ce pas ainsi que pratiquent tous les extrémismes et radicalismes, sans exception, qu’ils soient religieux ou profanes ?

    Le contraste avec un Christianisme indéniablement plus souple et adaptatif ; dont les références fluctuent au gré des découvertes archéologiques, auxquelles se substituent celles de la pensée lorsqu’il en est besoin, pour entretenir et régénérer la révélation, n’est qu’apparent. (L’existence d’un Pape n’étant pas une preuve de supériorité pour tout le monde). Mêmes certitudes de part et d’autre, et même intolérance, s’il est tenu compte de 5 siècles d’écart. Que ceux qui se limitent à l’évocation des abus de l’inquisition aient l’honnêteté de penser aussi aux massacres des croisades, aux victimes des guerres de religion, à l’évangélisation  forcée, pour ne pas dire forcenée, de peuples qui n’en demandaient pas tant, et qui s’est poursuivie pendant des siècles et dure encore, ou au simple poids des églises (qui ont toutes été des sectes) de toutes obédiences dans la vie des nations, hier et encore aujourd’hui. Avec pour corollaire l’attitude de tous ceux qui se jettent  à la face leurs certitudes respectives, dans le premier souci de n’en rien abdiquer, ce que leur interdit au demeurant leurs croyances et leurs dogmes.

    Quelqu’un demande d’où vient cette vitalité bien encombrante de l’Islam. N’est-elle pas tout simplement le produit d’une misère et d’un ignorantisme jamais égalés ?  Terreau d’une fertilité exceptionnelle, accrue par le nombre, une information sans frontières, des armes des techniques, des technologies, des méthodes modernes, accessibles à tous et plus facilement que le pain

    Se montrant incapables d’inventer autre chose que la violence pour répondre à une telle situation –qui n’est pas née en un jour– la stupidité fanfaronne des uns ne fait qu’encourager celle de leurs ennemis et vice versa.

    Toute victoire sur le fanatisme ne peut être remportée que par l’intelligence. Puissent ceux qui prétendent détenir une avance civilisatrice et la puissance qu’elle octroie, être capables de s’en rendre compte à temps et tirer les leçons d’un passé au cours duquel il a été plus qu’abondamment démontré que la violence ne produit que des martyrs et que l’escalade ne mène qu’à des échecs de plus en plus grands, pour tous.

    En attendant, Les chiens aboient, la caravane passe.

    15 mars 2008 à 8 h 24 min
  • Jean Répondre

    Bonjour Mancney

    Ralentir un peu le processus… J’aurai bien une petite idée, toute en efficacité bien proprette, mais je crains qu’elle ne soit un peu trop incorrecte !…

    Ah, au fait, çà fait plusieurs fois que je vous écris, sans succès, tous les messages me reviennent au bout de quelques jours. Auriez vous changé d’adresse  ou bien auriez vous fauté suffisamment pour qu’on vous exile sur Dry Tortugas, avec une dynamo à pédales juste suffisante pour envoyer ici vos post ?

    Bien à vous !

    14 mars 2008 à 23 h 42 min
  • MOHAMED Abdel Répondre

    "Arc bouté au Roc de Gibraltar (Djebel Tarek – la montagne de Tarek – le conquérant de l’Espagne) le fier guerrier septentrionnal  –  fils des chevalier teutoniques  – regarde le croissant et se prépare à faire couler le sang"…

    Trop tard mon grand regarde derrière ton épaule.

    Bientôt plutôt la paix… Dans un monde où une seule religion sera garante de l’homogénéité unverselle…

    Merci au Président SARKOZY d’avoir enfin compris où était l’avenir de l’Europe… Et même du Monde.

    Abdel MOHAMED – Casablanca

     

    Montjoie / Saint Denis / Koutoubia !

    14 mars 2008 à 19 h 29 min
  • Anonyme Répondre

    Analyse ne manquant pas d’intérêt que celle de Luc Sambour, et qui en tout cas en vaut bien d’autres ne serait-ce que par sa sérénité. Ce qui n’empêcherait probablement pas les coranistes d’y trouver à redire. Pour s’en consoler, le cas échéant, penser par exemple à ce que sont les réactions de l’église romaine lorsque quiconque met en doute la Vérité des saintes écritures.

    Ce qui inquiète, toutefois, c’est cette soumission à un texte définitivement figé, exigée sans le moindre égard, rigoureuse et inconditionnelle. Il y a là une simplification réductrice de l’esprit et l’annihilation de tout sens critique. Mais n’y a-t-il pas une certaine hypocrisie à s’en étonner ? N’est-ce pas ainsi que pratiquent tous les extrémismes et radicalismes, sans exception, qu’ils soient religieux ou profanes ?

    Le contraste avec un Christianisme indéniablement plus souple et adaptatif ; dont les références fluctuent au gré des découvertes archéologiques, auxquelles se substituent celles de la pensée lorsqu’il en est besoin, pour entretenir et régénérer la révélation, n’est qu’apparent. (L’existence d’un Pape n’étant pas une preuve de supériorité pour tout le monde). Mêmes certitudes de part et d’autre, et même intolérance, s’il est tenu compte de 5 siècles d’écart. Que ceux qui se limitent à l’évocation des abus de l’inquisition aient l’honnêteté de penser aussi aux massacres des croisades, aux victimes des guerres de religion, à l’évangélisation  forcée, pour ne pas dire forcenée, de peuples qui n’en demandaient pas tant, et qui s’est poursuivie pendant des siècles et dure encore, ou au simple poids des églises (qui ont toutes été des sectes) de toutes obédiences dans la vie des nations, hier et encore aujourd’hui. Avec pour corollaire l’attitude de tous ceux qui se jettent  à la face leurs certitudes respectives, dans le premier souci de n’en rien abdiquer, ce que leur interdit au demeurant leurs croyances et leurs dogmes.

    Quelqu’un demande d’où vient cette vitalité bien encombrante de l’Islam. N’est-elle pas tout simplement le produit d’une misère et d’un ignorantisme jamais égalés ?  Terreau d’une fertilité exceptionnelle, accrue par le nombre, une information sans frontières, des armes des techniques, des technologies, des méthodes modernes, accessibles à tous et plus facilement que le pain

    Se montrant incapables d’inventer autre chose que la violence pour répondre à une telle situation –qui n’est pas née en un jour– la stupidité fanfaronne des uns ne fait qu’encourager celle de leurs ennemis et vice versa.

    Toute victoire sur le fanatisme ne peut être remportée que par l’intelligence. Puissent ceux qui prétendent détenir une avance civilisatrice et la puissance qu’elle octroie, être capables de s’en rendre compte à temps et tirer les leçons d’un passé au cours duquel il a été plus qu’abondamment démontré que la violence ne produit que des martyrs et que l’escalade ne mène qu’à des échecs de plus en plus grands, pour tous.

    En attendant, Les chiens aboient, la caravane passe.

    14 mars 2008 à 19 h 28 min
  • Anonyme Répondre

    Citation :

       

    « Je ne suis pas islamophobe, je ne suis pas hostile à l’islam, je ne suis pas en guerre contre l’islam.

    Je n’ai aucun sentiment à l’égard de l’islam. Je m’en fous radicalement.

    Tant qu’il reste dans ses terres.

    Mais chez moi, dans ma patrie, dans mon pays, je n’en veux pas. Un point, c’est tout.

    Je suis islamo-négatif.

    Je nie le droit de l’islam à prospérer en France.

    Je nie que l’islam soit une religion.

    C’est un totalitarisme comme l’indique son nom qui signifie « soumission » et comme tel, il est du droit de tout homme libre de s’y opposer de toutes es forces et par tous les moyens « y compris légaux ».

    Je nie que l’islam ait rien de commun avec la civilisation européenne et encore moins  avec la civilisation française. Il lui est en tous points étranger. Par son caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses mœurs.

    Je nie que l’islam ait jamais rien apporté à la France. Aucun chef-d’œuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou sculptural. Rien.

    Pas un écrivain n’a publié « Le génie de l’islam ». Nulle mosquée ne s’élève comparable à Chartres. On attend encore un Francis Poulenc musulman. On chercherait en vain, et pour cause, un Real del Sarte islamiste.

    Je nie que l’islam appartienne au patrimoine de la France. Il n’a rien laissé, rien créé, rien fait pour la France.

    Aucune œuvre d’art, on l’a vu.

    Aucun chef-d’œuvre de charité non plus.

    Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative.

    Où sont les « petits frères des pauvres » qui appliqueraient en France ce « quatrième pilier de l’islam » (la Zakkat.. en Français : l’aumône que l’on traduit abusivement par la Charité) ? Où est l’imam dont la personnalité et l’œuvre pourraient se comparer à celle de saint Vincent de Paul ? Quelle fatma a jamais fait pour les pauvres, les malades, les vieillards ou les enfants de France le millième de ce que font depuis des siècles les religieuses hospitalières soignantes ou enseignantes ?

    Je nie l’influence de l’islam sur notre histoire intime. Pas un dicton, par une coutume, pas un mot, pas un geste qui exprime, dans le comportement des Français, dans leurs références, dans leur imaginaire, dans leurs souvenirs, dans les chansons, les comptines, les fables de leur enfance, le moindre lien avec l’islam.

    Aucune œuvre de progrès, enfin.

    On nous rebat les oreilles avec l’apport de l’islam, en matière de mathématiques, de géométrie, d’algèbre, d’astronomie, de médecine, de philosophie.

    Mais c’est se foutre du monde ! Où sont, dans l’histoire de l’intelligence française les savants, les penseurs, les philosophes musulmans ? Où sont les Pasteur, les Curie, les Pascal islamistes ?

    Et que l’on ne prétende pas que cette absence s’expliquerait par le magistère de l’Eglise qui aurait fait obstacle à l’éclosion du génie créateur, scientifique, artistique de l’islam dans les bras de sa Fille aînée. Ou alors que l’on explique comment tant d’écrivains, de penseurs, de philosophes, de musiciens, de peintres, de sculpteurs juifs ont pu prospérer en dépit de cet obscurantisme.

    La vérité c’est que l’islam n’a rien à faire chez nous parce qu’il n’a jamais rien fait chez nous.

    La déclaration de Chirac selon qui « les racines de l’Europe (donc de la France) sont aussi musulmane que chrétiennes » n’est donc pas seulement le propos d’un imbécile, c’est aussi celui d’un salaud.

    L’islam « à la française » est une double absurdité et un crime de haute trahison.

    Parce que l’esprit de soumission est à l’opposé même du génie français. Parce que la notion de patrie est contraire à l’Ouma, loi islamique qui nie la nation.

    Parce que les politiciens renégats qui œuvrent à asservir la France au totalitarisme islamique et à l’invasion afro-maghrébine sont plus coupables que les dirigeants français qui, voilà soixante-trois ans, se résignèrent à la Collaboration.

    Ceux qui, aujourd’hui, accablent de leurs injures le Maréchal Pétain et le Président Laval, font bien pire.

    La différence entre les Collabos d’hier et les Coallahbos d’aujourd’hui, c’est que ni le Maréchal Pétain ni le Président Laval, n’ont jamais invité les envahisseurs.

    Chirac, lui, a ouvert les portes à l’invasion en signant la loi sur le regroupement familial.

    Le Maréchal Pétain et le Président Laval n’ont jamais dit, dans aucun discours, que les occupants étaient « chez eux, chez nous ».

    Chirac, ne cesse, après Mitterrand, de le répéter. Sous la botte allemande, la Police, la Justice et leurs auxiliaires n’ont pas montré autant de zèle à poursuivre les résistants que les flics, les chats fourrés et leurs « milices antiracistes » n’en mettent aujourd’hui à traquer, à provoquer, à punir les patriotes fiers de l’être et qui entendent le rester.

    Jamais la France n’a été aussi gravement malade. Infecté par le sida de la coallahboration, cette maladie auto-immune qui détruit toutes les défenses naturelles de la civilisation française, notre pays est devenu islamo-positif. Sa survie est désormais entre les seules mains des islamo-résistants. En avant ! »

    Serge de BEKETCH   2005,  in  Le Dictionnaire de la Colère

     

    14 mars 2008 à 19 h 15 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    14/03/08    – "Les 4-Vérités"

    Il faudrait en finir avec tous ceux qui, de bonne ou de mauvaise foi, mahométans ou non, et surtout avec les idiots utiles du tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, tout le monde il est pareil : quoiqu’on veuille, quoiqu’on pense, l’islam n’est pas "LA RELIGION DE PAIX ET DE TOLERANCE" qu’on veut bien nous faire croire.

    Le mot "ISLAM" veut dire : soumission à Dieu, ce qui, en soit, ne représente rien de dangereux. Mais le problème est que les "soumis à Dieu" que sont les musulmans, pour être qualifiés de "bons musulmans" doivent s’en tenir à la stricte application du Livre Saint qu’est le CORAN dont ils savent qu’il a été dicté par Dieu au Prophète. Et malheur à celui qui ne respecte pas le Livre Saint (1) ! Et il suffit de lire attentivement le saint CORAN, au delà de certaines contradictions apparentes pour voir qu’il n’enseigne pas une "religion de paix et de tolérance". Et cela, sans même avoir à l’intérpréter !

    Et le mot "islam" ne signifie absolument pas : PAIX, pas plus d’ailleurs qu’AMOUR comme certains "musulmans modérés" (les deux mots sont contradictoires !) l’affirment.. C’est le mot SALAM qui veut dire "PAIX". Et ceux qui veulent nous faire croire que les "islamistes" seraient des "mititants pour la paix" (sic) (2) ou bien s’abusent eux-mêmes, ou veulent abuser les autres, ou les deux. L’islamiste serait plutôt un "intégriste musulman" qui, considérant que l’Islam est la SEULE RELIGION, veut accélerer son emprise sur le monde, d’autant que, par essence, l’islam est AVANT TOUT une RELIGION DE CONQUÊTE qui ne répugne pas, et cela dès son origine, à utliser le glaive. Je pourrais ajouter que, d’une certaine façon, les islamistes, sans doute parce qu’il n’ont pas le fatalisme que l’on prête à l’Orient, sont généralement portés à utiliser l’Islam pour faire de la politique. Et cela par tous les moyens, y compris le terrorisme quand ils se trouvent en position de faiblesse. Ce qu’avait d’ailleurs parfaitement expliqué, en tout bonne conscience, Muhammad KHADAFI à la tribine de l’ONU.

    Alors que l’on cesse de nous rebattre les oreilles avec une "religion de paix et de tolérance" qui gagne nos villes et nos villages, y compris nos cimetières alors que, partout où elle se sent en force, elle interdit la pratique du Christianisme (ainsi en ARABIE SAOUDIENNE), ou même pourchasse et brime les Chrétiens, leur interdit l’accès à la fonction publique, etc. partout où elle se sent en force. Par exemple en IRAK (où un archevêque vient d’être retrouvé assassiné après avoir été enlevé, ses gardes du corps ayant été tués sur le champ), en TURQUIE où des prêtres ont été assassinés, en EGYPTE où il n’y aura bientôt plus de coptes, en ALGERIE, etc. Sans que cela "interpelle" les bonnes consciences musulmanes. Un exemple : des évêques d’Algérie sont venus à l’ELYSEE pour se plaindre que les autorités algériennes (pour donner des gages aux "Islamistes" ?) "pourchassent les catholiques" (pas seulement en KABYLIE !) et on attend que le bon et jovial recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil BOUBAKEUR, prompt à s’enflammer chaque fois qu’on touche à une tête musulmane (juive aussi, d’ailleurs !) prenne son téléphone "vert" (la couleur du Prophète) pour appuyer la démarche de ses "frères" chrétiens auprès de son grand ami Nicolas SARKÖZY (3), et, surtout, pour demander à son autre ami, BOUTEFLIKA, de tempérer ses ardeurs contre les Chrétiens.

    Mais il ne sert à rien de discuter sur l’islamisme, l’islam, etc., pour en rechercher l’éthymologie  ou le sens comme d’autres naguère discutaient du sexe des anges dans Byzance assiégée par les Ottomans. Il n’y a qu’à regarder les dures réaltés de l’Islam PARTOUT où il sévit. A commencer par la France qui, que cela plaise à lire ou non, est en voie d’islamisation. Et pour qui douterait encore, je rappelerai ces mots prophétiques autant que belliqueux et menaçants, prononcés en 1974 à la Trubune de l’ONU par feu Houari BOUMEDIENNE, alors président de la République algérienne :

    "UN JOUR, DES MILLIONS D’HOMMES QUITTERONT (Ndrl. c’est déjà fait, merci !) L’HEMISPHERE SUD POUR ALLER DANS L’HEMISPHERE NORD. ET ILS N’IRONT PAS LA EN TANT QU’AMIS. PARCE QU’ILS IRONT LA-BAS POUR LE CONQUERIR. ET ILS LE CONQUERRONT EN LE PEUPLANT AVEC LEURS FILS (Ndrl. c’est déjà largement commencé, merci !). C’EST LE VENTRE DE NOS FEMMES QUI NOUS DONNERA LA VICTOIRE !" (fin de citation)

    Simple question : de quelle religion sont, majoritairement, ces "millions d’hmmes", ces "fils" et ces "ventres" de femmes ?

    Et que font Nicolas SARKÖZY et son Gouvernement, et tous les Gouvernements des Pays de l’Union européenne ? Non contents d’ouvrir de plus en plus largement les portes de l’UNION à ces "conquérants" venus du Sud, ils se sont laissés imposer par l’Elyzéen, son projet abracadabrantesque d’UNION POUR LA MEDITERRANEE qui ne peut qu’accélérer ce mouvement de "conquête" sans souci de voir un jour disparaître l’identité européenne; Paraphrasant Paul MORAND, je dirai : "Je pleure parce que je vois l’homo europeus disparaître".

    En dehors même des questions que je soulève, qui, parmi les dirigeants européens se soucie de savoir comme une UNION EUROPENNE qui est loin d’avoir pu (et su) assimiler les pays récemment entrés dans l’UNION, fera pour absorber des pays sous-développes économiquement, et dont les populations sont très différentes par la culture, par les moeurs, par les traditions et par … la religion ? Comme si, pour en revenir à la FRANCE, Nicolas SARKÖZY et son Gouvernement, n’avaient pas bien d’autres problèmes, autrement urgents à résoudre !   

       Cordialement, Jean-Claude THIALET  

    (1) pour ce qui concerne le Christianisme, singulièrement le Catholicisme qui a ignoré longtemps la Bible et s’en tient essentiellement aux EVANGILES, lesquels n’ont pas été "dictés par Dieu" (même si on dit "parole d’Evangile") je m’en tiens à ce propos d’un anonyme : "SI LE FILS DE L’HOMME AVAIT ECRIT; IL EÛT FALLU APPLIQUER LA LOI NOUVELLE, ET NOUS SERIONS DEVENUS ESCLAVES DES MOTS". "Esclaves des mots" ? c’est ce que sont devenus précisément les "soumis à Dieu", sous la houlette de leurs ayatollahs, de leurs imans, et sous la loi sévère de la chari’a ! 

    (2) Ironie de cette définition : dans d’autres domaines que celui de l’islam, il y a des "militants pour la paix" qui ont des engagements qui conduisent parfois au … terrorisme !

    (3) Rappel : c’est Nicolas SARK¨PZY qui, en 2003, alors qu’il était Ministre de l’Intérieur et, à ce titre, Ministre des Cultes avait réconcilié au sein de l’UOIM ("machin" créé par son prédecesseur Jean-Pierre CHEVNEMENT) les différentes tendances de l’Islam EN France où c’était la chikaya permanente, ce qui avait permi au recteur BOUBAKEUR d’en devenir le président, fort contesté, d’ailleurs en tant qu’Algérien. C’est sans doute la raison pour laquelle il a appelé à voter pour Nicolas SARKÖZY lors de la Présidentielle ! Passe moi le gain de couscous, je te refile le vert de thé… à la menthe !                                      

    14 mars 2008 à 16 h 35 min
  • sas Répondre

    Aux spécialistes es-science de l islam…..qui n’est qu’un outil pour sas au mains des méchants…..ne pouvez vous pas nous décortiquer avec la même précision le TALMUD…..qui est particulièrement précis et limpide sue les droits du peuple élu et la situation des autres…..

    Le dernier en date qui s’y est collé: était le docteur DESTOUCHE alias LOUIS FERDINAND CELINE…..et on sait ce que cela lui a valu….

    sas qui dit que vous regardez dans la mauvaise direction……la question étant mauvaise foi ou torticoli ??

    sas

    14 mars 2008 à 12 h 19 min
  • EIFF Répondre

    La capitale de l’Europe majoritairement musulmane dans 20 ans, si ce n’est pas 10 ou même 5 ans :

    http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20080311/twl-belgique-islam-bruxelles-bd5ae06.html

     

    13 mars 2008 à 20 h 08 min
  • grepon le texan Répondre

    Pour "roger gonnet:"   Les millions et millions de morts cause par le communisme et son cousin tres proche le socialisme nationaliste ont ete causes par des gens voulant obolir toute religion autre que l’etat (ou le peuple).   Ils ont ete des materialistes aussi, peu interesses par la vie spirituelle, tres interesse par l’economie, le concret, le reel, "l’histoire" etc.  

    Rejeter dieu(x) en faveur de pouvoirs temporelle est quasiment par definition ce que l’athee vas faire a la sortie de ses reflections.   Il n y a aucune punition ou recompense ou quoique ce soit apres la mort, alors la fidelite que peut sortir de ce genre de reflection est une fidelite a ses propre interet au sens restreinte(prise de pouvoir..excercice maximale de  ses  capacites) ou bien fidelite a la continuation du soi par la seule moyen  que la realite materialise permet:  par sa descendance biologique(famille…ou race!) ou par la continuation de ses idees:  laisser sa marque(dans le sens Freudien le plus souvent) sur l’histoire.   Les athees dechainees tuent a tour de bras sans le moindre l’arriere pensee de coupabilite.    Et ils y sont pris par centaines de millions dans l;histoire.   

    Full disclosure: Moi meme, je suis athee pratiquement par defaut.  Je ne sens rien d’une presence dans les batiments ou paroles des religions.   Je parie que je manque une partie du cortex dedie a ce genre d’exercice.    Ca ferait de moi un materialiste qui prefererait pas l’etre.

    13 mars 2008 à 15 h 26 min
  • Anonyme Répondre

    Gérard Pierre : " Luc aurait pu également nous parler de la sunna, autre référence sacrée pour tout « bon musulman ». Je pense malgré tout que son exposé déjà nécessairement long sur le fond et la forme du coran est suffisant pour une première étape initiatique."

    –  Ne vous en faites pas, on aura bientot tout le temps qu’il nous faut pour les étapes suivantes sur le chemin de l’Islam…. surtout si on reste "scientifiquement" sans parti-pris.

    Quelqu’un n’aurait pas quelques idées pour ralentir un peu le processus, non?
    Action, anyone?

    Best,

    Mancney

    13 mars 2008 à 13 h 09 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    Merci à ceux qui ont apprécié mon petit cours abrégé sur le Coran. J’étudie (parmi bien d’autres activités) l’islam depuis l’Arabie où je réside très régulièrement depuis 1981.

    Je voudrais compléter ici par une deuxième partie que je tire d’un événement n’ayant laissé presque aucune trace : c’est, datée du samedi 22 novembre 2003, la lettre ouverte de Jean-Jacques WALTER, aux députés français. JJ WALTER, ingénieur (école des Mines de Paris) a écrit aux représentants du peuple afin qu’ils sachent de quoi l’on parle, en laissant l’islam s’installer en France.

    Le texte est long mais excellent. C’est à mon avis un chef-d’œuvre. Voici un extrait :

     

    « …

    Il n’y a pas de pape musulman, chargé de définir ce qu’est l’islam. Comment savoir ce qui est fondamental, et ce qui n’est qu’une déviation ? La réponse est simple : ce qui est fondamental est ce qui se trouve à la fois dans les trois sources, qui sont :

    • Le coran

    • Les hadiths, c’est-à-dire les actes et les paroles de Mahomet, tels qu’ils sont rapportés par une chaîne de témoins reconnus par l’ensemble du monde musulman. Ces actes et ces paroles doivent être imités, car Mahomet est « le beau modèle », pour tous les siècles et pour tous les peuples.

    • Le consensus. Une affirmation célèbre, rapportée par les trois principaux hadiths (Abu Daoud 34,1. At Tirmidhi 31,7. Ibn Maja 36,8) dit que d’après Mahomet, sa communauté ne sera jamais d’accord sur une erreur. La conclusion tirée par les légistes est que le consensus a force de loi.

    Ce qui est indiqué ci-dessous comme appartenant à l’islam est ce que l’on trouve à la fois dans ces trois sources.

    L’abrogation

    Le coran est censé avoir été écrit avant la fondation du monde, sur une Table Gardée du Paradis, dans la langue que parlent Allah et les anges : le dialecte de La Mecque. Cela tombait bien, c’était la seule langue connue de Mahomet.

    Cependant certains contemporains avaient été surpris du contraste entre les versets déclamés à La Mecque, quand l’islam était faible et avait besoin de tolérance pour survivre (pas de contrainte en religion, sourate 2 verset 256) et ceux de la période suivante, à Médine, quand l’islam devenu fort voulu user de violence contre ses opposants (assassinez ceux qui quittent l’islam, sourate 4 verset 89, assassinez les polythéistes, c’est-à-dire les animistes, sourate 9 verset 5).

    Mahomet répondit par des versets, sourate 2 versets 106 et 107 et sourate 16, versets 101 et 102. Lorsqu’Allah remplace un verset par un autre de sens contraire, le nouveau est meilleur, ceux qui contestent iront en enfer…

    Ainsi, le coran contient deux sortes de versets : les mansukhs, qui sont des versets abrogés, toujours présents dans le coran, mais sans valeur, et les nasikhs, les abrogeants, qui sont des versets ultérieurs de sens opposé. Le coran est fait comme un ensemble de circulaires administratives. Les dernières en date annulent et remplacent les précédentes de sens contraire.

    Certains disent que les atteintes aux libertés et les violences ne sont qu’une déformation de l’islam, lequel serait modéré. Mais cette modération n’est présente que dans les mansukhs, les versets abrogés qui n’ont plus de valeur.

    En particulier, les 115 versets tolérants, répartis dans 54 sourates, sont tous, sans aucune exception, des mansukhs, des abrogés sans valeur. Ils sont cités par les musulmans dits modérés, qui savent que les hommes politiques ou les journalistes d’Occident sont très rares à avoir lu le coran, et qu’il n’y a guère de risques à présenter des versets abrogés comme preuve de tolérance…

     

    La taquia

    À la mort de Mahomet, la succession se traita par des guerres et des assassinats. Ali, un petit fils de Mahomet, conquit le pouvoir, le garda deux ans, et le perdit. Ses partisans formèrent les Chiites (chiite vient d’un mot arabe qui signifie partisan). Les adversaires formèrent les Sunnites (leur nom vient d’un mot qui signifie le chemin, celui que doivent suivre les musulmans).

    Comment résoudre ce schisme ? Mahomet avait montré la voie, en appliquant la solution finale d’abord aux Juifs de Médine, puis à ceux qui abandonnaient l’islam, puis aux « polythéistes »*.

    Les Sunnites tentèrent donc de génocider tous les Chiites. Ceux-ci choisirent en masse l’abjuration. Pour éviter de perdre tous leurs fidèles, les dirigeants du chiisme inventèrent la taquia : c’est l’obligation religieuse faite aux Chiites de mentir pour sauver leur vie, en faisant une abjuration publique, sans pourtant changer de religion.

    La taquia s’est ensuite généralisée, et aujourd’hui elle est devenue l’obligation religieuse, qui s’impose à tout musulman, de mentir chaque fois que le mensonge est utile à l’islam. C’est au titre de la taquia que les musulmans d’Occident citent souvent les versets de la tolérance, sans dire que ce sont des mansukhs abrogés

    … »

    *C’est à dire les chrétiens.

     

    JJ WALTER livrait donc en 2003 aux députés avec une clarté aveuglante l’explication finale, simple, précise et imparable du fameux paradoxe : islam RATP / islamisme terroriste.

    Note : RATP= Religion d’Amour de Tolérance et de Paix. On imagine aisément ce qu’il est advenu de cette lettre ouverte : perdue dans leur montagne de courrier quotidien, elle a été directement mise au panier par chaque député, pressé de vaquer à des occupations autrement plus fructueuses que de lire les fadaises de gens n’étant même pas électeurs de leur circonscription.

    LS

    13 mars 2008 à 12 h 36 min
  • roger gonnet Répondre

    Il me paraît complètement insensé d’affirmer que les projets soi-disant athées et matérialistes auraient causé bien plus d’une centaine de millions de morts. C’est absurde, d’autant que l’athéisme n’est pas un groupe organisé qui aurait du pouvoir en tant que tel, tandis que des sectes -au sens ancien du terme, des groupes nés de religions – tentent de prendre le pouvoir absolu depuis des siècles. Les guerres entre chiites et sunnites n’en sont qu’une illustration.

    Par ailleurs, les sectes, ce sont quelques millions de gens et non quelques éparpillés, et certains groupes sont plus politiques que religieux et causent pas mal de dégâts, qu’ils soient ou pas religieux au départ. Bref, ce texte m’apparaît comme peu documenté sur la question sectes. Enfin, je vois mal pourquoi il serait question d’orthographe dans le sujet.

     

     

     

    12 mars 2008 à 18 h 24 min
  • Gérard Pierre Répondre
       Laurent Lagartempe, ingénieur agronome et historien cité par monsieur Pierre Barrucand, a écrit un « Petit Guide du Coran »  ainsi que « Le Coran contre la République », « L’islam démasqué » et en 2005 « Histoire des Barbaresques ». Qu’entend monsieur Pierre Barrucand lorsqu’il parle à son propos de thèse étayée par une connaissance réelle du sujet, même si biaisée ?…… biaisée par qui et par quoi ? ……… j’avoue ne pas bien comprendre.
     
       En revanche, REMARQUABLE contribution de notre ami Luc Sembour. Une présentation du coran d’une clarté impeccable, un texte très didactique, SANS PARTI PRIS car se limitant à l’exposé des éléments constitutifs du fait ISLAM. On relève dans la démarche l’esprit du scientifique soucieux d’objectivité. Luc aurait pu également nous parler de la sunna, autre référence sacrée pour tout « bon musulman ». Je pense malgré tout que son exposé déjà nécessairement long sur le fond et la forme du coran est suffisant pour une première étape initiatique.
     
       Bravo et merci Luc. J’invite tous les lecteurs des 4 vérités à conserver un texte aussi limpide et à s’en pénétrer.
    12 mars 2008 à 15 h 40 min
  • Anonyme Répondre

    P. Barrucand : " Plutôt que de dérives sectaires, il faut parler de dérive religieuse, mais cela peut aller beaucoup plus loin."

    –    Difficile d’écrire apres Luc Sembour dont les commentaires sont éblouissants de clarté et de précision, meme sans attendre 3 minutes.
    Anyway, ma modeste contribution aujourd’hui tendra a rappeller que, with all due respect, peu importe que les dérives soient religieuses ou sectaires, ce sont d’abord des dérives humaines, des actions faites par des hommes naturellement imparfaits. Religions et sectes sont des entreprises HUMAINES, elles n’ont RIEN a voir avec Dieu qui n’a pas, a ma connaissance, dessiné les plans de la Mosquée Hassan II a Casa, ni ceux de la Grande Synagogue de Jerusalem, ni du campement de Jonestown au Guyana; les dérives sont des événements déplaisants issus de comportements humains; la seule "dérive" que je verrais sur notre Terre des hommes, serait qu’il n’y ait plus de "dérive", et ce serait tres grave.

     : " Les « bien-pensants » affirment qu’il ne faut jamais confondre islamisme et Islam. Certes, mais qu’est-ce que l’islamisme ? Ne faut-il pas le considérer comme une secte, (…) Curieusement, nul ne le fait, alors que d’aucuns qualifient ainsi l’Opus Dei.?

    –    Ce n’est pas le bon endroit pour écrire cela : Cela fait des siecles, ou presque, que, ici-meme, sur le forum des 4 V,  les Phoenix, Alborg, etc..  et d’autres petits inconnus dont Mancney n’arretent pas de dire que l’Islam peut etre considérée comme une secte.  Merci de leur reconnaitre ce discernement.   Egalement, ils disent que "l’Islamisme" n’existe PAS, pas plus que le "catholicicianisme".  Inventer  un "méchant" Islamisme agressif et conquérant est un procédé dialectique pour dédouaner l’Islam de ses travers et de ses incitations au crime et a la conquete du Monde :  "Le criminel n’est pas coupable, c’est juste une petite partie extrémiste de sa personne qui a assasiné sauvagement la vieille dame".  Vous ne croyez pas que c’est un peu gros, et que les "biens-pensants" que vous évoquez sont un peu cucul de ne pas le voir, non?  L’islam est PARFAIT en Islamland, en Dar al Salam, personne ne veut sa disparition, mais simplement qu’il RESTE chez LUI.

    : " L’Islam résulte d’un mélange complexe de christianisme, de judaïsme, de mazdéisme et de quelques traces des religions antiques du Moyen-Orient (païennes). Son prophète (gourou ?) fut en même temps un homme de guerre qui poursuivit, dans une fort petite région géographique, un combat victorieux pour la conquête du pouvoir à La Mecque."

    –    Merci de le rappeler.  Devrais-je répéter, répéter, répéter que toutes les religions sont humaines et que elles sont toutes "valables" pour honorer Dieu?  Si vous avez "la Foi", et que vous vous reconnaissez catholique, cela vous dérangerait-il vraiment de prier Dieu dans une synagogue, dans une mosquée ou un temple boudhiste? Vous etes-vous posé la question? Meme un agnostique peut honorer un Dieu révélé, car, meme si il pense que la révélation est inexacte, l’idée de l’entité Divine reste présente. Ou est le probleme?

    : " Or, entre la charia, même adoucie, et les Droit de l’homme, même relativisés, l’incompatibilité est totale, absolue."

    –  Ca, c’est une belle observation. Mais il probablement nécessaire de le répéter, de meme que l’Islam n’est PAS seulement une religion, mais un ensemble Civilisation + Politique + Religion.  Celui qui accepte la partie religion chez lui se récupere la Charia et les babouches; et la Charia, comme le dit ici Pierre Barrucand, ne correspond pas vraiment a NOTRE Civilisation Occidentale. C’est pourtant simple, non?

    Alors, on commence quand a résister a l’invasion?

    Best,

    Mancney

    12 mars 2008 à 14 h 56 min
  • EIFF Répondre

    Winston Churchill sur l’islam : "aucune force aussi rétrograde n’existe dans le monde"

    « Combien effrayantes sont les malédictions que le mahométanisme fait reposer sur ses fidèles ! Outre la frénésie fanatique, qui est aussi dangereuse pour l’homme que la peur de l’eau pour le chien, on y trouve une terrible apathie fataliste.

    Les effets sont patents dans certains pays. Habitudes imprévoyantes, systèmes agricoles aberrants, lenteur des méthodes commerciales, et insécurité de la propriété se retrouvent partout ou les adeptes du Prophète gouvernent ou vivent.

    Un sensualisme avilissant dépouille la vie de sa grâce et de sa distinction, ensuite de sa dignité et de sa sainteté. Le fait que dans la loi mahométane toute femme, qu’elle soit enfant, épouse ou concubine doive appartenir à un homme comme son entière propriété, ne fait que repousser l’extinction totale de l’esclavage au jour où l’Islam aura cessé d’être un pouvoir important parmi les hommes.

    Certains musulmans peuvent montrer de splendides qualités, mais l’influence de la religion paralyse le développement social de ceux qui la suivent.

    Aucune force aussi rétrograde n’existe dans le monde.

    Loin d’être moribond le mahométanisme est une foi militante et prosélyte. Il s’est déjà répandu partout en Afrique centrale, attirant de courageux guerriers pour chaque avancée et partout où la chrétienté n’est pas protégée par les armes puissantes de la science, science contre laquelle elle a vainement luttée, la civilisation de l’Europe moderne peut s’écrouler, comme s’est écroulée la civilisation de la Rome antique. »

    (Sir Winston Churchill, The River War, 1899)

    12 mars 2008 à 13 h 44 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Je pense qu’il faut distinguer 2 choses:

    a) l’islam ou manuel d’instructions

    b) l’islamisme ou la mise en pratique du point a)

    la pomme pourrie b) ne tombant jamais trop loin de l’arbre a) on peut penser que l’arbre ne soit pas trop apte à produire des fruits sains.

    12 mars 2008 à 11 h 11 min
  • MAGNE Répondre

    Bonjour . Le problème avec l’Islam c’est qu’on le considère comme une religion , alors qu’il est plutôt une politique .

    Les musulmans accordent trés peu de considération à la théologie , tandis les chrétiens considèrent la théologie comme la seule vérité . Demander à un musulman de respecter les Lois de la République , c’est demander à un chrétien de voir sa théologie débattue à l(‘Assemblée nationale .

    Pour un musulman , il n’y a de Loi que celle de Dieu ( La ukma ill lli llhah ) . Le Droit romaniste ( notre Droit ) provenant de la réflexion humaine est , pour les musulmans ,le signe de notre irrémédiable déchéance .

    L’on sait que l’ange Gabriel fut l’intermediaire de Dieu et Mahomeyt ( QSSSL ) à qui il insuffla le Coran , le Livre Sacré qui est effectivement non pas une invention de Dieu , mais une partie de Dieu .Dieu parle arabe ,

    L’on sait que Mahomet ( QSSSL ) est né à La Mekke , et alors qu’il méditait l’ange Gabriel se manifesta à lui ( cela dura pendant 22 ans ) et lui confia le Coran ( qui signifie récitation ): il existe en France des Associations reconnues par l’Etat et qui récomprense avant l’âge de 7 ans les meilleurs récitants du Coran . Mémoriser avant l’âge de 7 ans , où l’on devrait développer sa réflexion , son esprit critique en étudiant la vie animale , végétale etc… l’on récite le djihad ( sixième pilier de l’Islam : certains vont me répondre qu’il existe le grand et le petit Gihad , alors que l’on sait bien que l’introspection religieuse chez un musulman ( grand djihad ) débouche irrémédiablement sur le Jihad armé  ( petit jihad ), en fait des moines soldats . ( on a connu cela au moment des croisades avec les ordres de moine-soldats ) , mais les armes étaient moins meurtrières que de nos jours .

    Il ne s’agit pas d’islamophobie ni d’islamophilie ( étant agnostique  , ni chrétien , ni juif, ni musulman , ni animiste , ni bouddhiste , ni scientiste , ni quoi que ce soit , ni même athée qui est une sorte de religion ) . Les musulmans ne pratiquent pas la langue de bois , sont persuadés de leur bon droit et qu’ils apportent au monde ce qu’il y de plus estimable . Ils ne méprisent aucun homme ( aucune trace de rascisme , ce qui n’est pas l’apanage des Européens loin s’en faut ) et accueille avec joie sincère tout nouveau converti .

    Mahomet ( QSSSL ) fut un grand homme , et n’aborda la guerre que contraint et forcé .

    L’Islam est une forme de pensée qui n’est pas la nôtre ., mais qui a le privilège de la clarté . Saurons nous nous entendre avec l’Islam . Qui peut le prédire . La victoire de l’un sur l’autre verrait la disparition et du monde arabe , et de l’Europe . MAGNE

     

    12 mars 2008 à 10 h 37 min
  • no.second.to Répondre

    Il y 4 ans le 11 mars 2004 ,plus de 180 personnes trouvérent la mort à Madrid dans un attentat perpétré par les musulmans et aucun autre adeptes de cette religion ne protésterent.

    Il n’ y pas d’ Islam modérée seulment des " Soumis à Allah"

    En cette Europe déjà soumise aucune commémoration même en Espagne pourtant si prompte à se réunir contre l’ ETA.

    El Cid doit se retourner dans sa tombe mais soyez rassurer ,Zapaterro est réélu, peut être ferat il enlevé un jour la tombé du héros de la reconquista.

    Tous des lâches

    Oncques ne faillit

    12 mars 2008 à 10 h 16 min
  • grepon le texan Répondre

    Une devise qui marche bien:    "Regardez de pres  plutot ce qu’ils font, que ce qu’ils disent."

    Les chretiens ont tues disons 30000 personnes le long de l’inquisition  espagnole, qui a dure quelques siecles si je n’ai pas enormement tort.

    Les islamistes  font ca facilement dans un mois, des fois, a totaliser les morts qui s’entassent sur les frontieres ensanglantees et barbares de l’oumma avec le reste du monde.  Quel paix.

    Les athees ont a leur credit bien plus d’une centaine de millions de morts  directement attribuable a leur projets d’inspiration materialiste, sans autre dieux que l’etat.

    Les sectes?  C’est un peu nuisible a quelque milliers de gens faibles eparpillie un peu partout sur la planete, mais ne representent pas une menace existentielle a la liberte.   Les projets etatistes avec leur seul dieu l’etat, oui, ou l’islam avec sa recette totalitaire integrant reglementation de la vie privee, du commerce de tous types, de la "loi", bien sur que oui.

    12 mars 2008 à 4 h 01 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    petit cours sur le Coran: 

    Le Coran est un livre, « El Kitab », où figure un texte rédigé en langue arabe locale du Moyen Orient, des 7ième 8ième 9ième siècles après J.C.

    Le Coran est une suite de versets. Le verset en est l’unité indivisible signifiante de base, c’est-à-dire porteuse par elle-même d’un contenu ayant signification et message propres.

    Les versets sont constitués chacun d’un très petit nombre de phrases (de 5 phrases pour le plus long, à 1 phrase pour le plus court).

    Le Coran comprend (selon un décompte admis) un total de 6616 versets, répartis en 114 chapitres, appelés sourates, de longueurs très inégales, allant de 286 versets pour la plus longue sourate, à 3 versets pour la plus courte.

    Au total de mots, on voit que le Coran est donc un texte assez court (10290 mots)

    On remarquera le curieux manque d’homogénéité et l’absence de logique apparente dans les nombres et les longueurs de sourates, versets, phrases, mots.

    Tout mollah, mutawa, ou étudiant de madrasa vous le confirmera sans ambiguïté: le texte du Coran, la Parole, est si précieuse et si sacrée, que pas une virgule, pas un tout petit point (et il y en a beaucoup en calligraphie Arabe) ne peut y être changé. Le Coran est FIXÉ ETERNELLEMENT, sur la forme comme sur le fond, et aucun humain, conseil de sages, théologien ou docteur, concile ou congrès de croyants, n’est autorisé à tout jamais, à l’altérer de façon aussi infime que ce soit. C’est le dogme de l’INCRÉATION du Coran qui est parole d’Allah et donc, comme Allah, existe depuis toujours, depuis la nuit des temps, avant-même le Big Bang, il y a environ quinze milliards d’années. Consubstantiel à Allah, le Coran n’a pas été créé par Muhammad ou ses successeurs. Il a seulement été RÉVÉLÉ par eux, pour  la 1ière fois aux hommes.

    Ceci a de nombreux effets pratiques et plusieurs conséquences dramatiques :

     

    Le tout premier effet est que le petit paragraphe précédant, écrit par moi, Luc SEMBOUR auteur de cet essai en français classique, langue où les mots ont un sens précis, pénètre très rarement du premier coup dans la tête du lecteur, voire jamais. C’est pourtant une des CLÉS de l’islam. J’invite donc le lecteur à relire le paragraphe, où figure « FIXÉ ETERNELLEMENT », et à s’arrêter 3 minutes, montre en main, pour bien réfléchir  à ce que cela veut dire. Ces 3 minutes seront un investissement inestimable et beaucoup de temps gagné pour la compréhension en profondeur de la nature de l’islam …….

     

    Lecteur, as-tu relu le paragraphe et médité les 3 minutes sur sa signification ?

     

    Dans la pratique donc, les innombrables copistes qui ont calligraphié le Coran au cours des siècles, le connaissaient absolument par cœur, ainsi que tout bon étudiant sortant des écoles coraniques.

    Au cours de la copie manuscrite (qui dura des siècles avant l’imprimerie), aucune correction n’était autorisée en cas d’erreur typographique ou de dérapage de plume. Par respect pour la Parole Révélée, tout devait alors être détruit et repris à zéro (on ne gratte pas la Révélation), ce qui imposa de lourdes contraintes et responsabilités aux copistes, aux temps où le prix du papyrus et du parchemin était exorbitant. Je fais cependant confiance au pragmatisme arabe et à l’esprit schizoïde du Musulman pour avoir toujours su, en secret, tourner ces menues difficultés.

    Le texte du Coran d’aujourd’hui est effectivement rigoureusement le même que presque tous les plus anciens manuscrits qu’on puisse en trouver. La bibliothèque privée du milliardaire Juma Al Majid à Dubaï, contient parmi des milliers d’autres trésors, environ 12 000 Corans manuscrits. Ils comportent un texte identique.

    On ne peut garantir bien-sûr que plus de Corans des premiers temps (3 premiers siècles après Mohammad) ne soient çà et là retrouvés, même si la probabilité est faible. Dans ce cas, les historiens réalistes certifient qu’ils seraient différents, car il y aurait eu une véritable mystification dans les débuts de l’islam, visant à détruire tout ce qui pouvait invalider le dogme de l’incréation et montrer le coran en gestation (difficile). La découverte éventuelle de ces documents anciens, faite par des érudits arabes mais non-musulmans, qui publieraient ces textes et ne les détruiraient pas, serait un coup mortel porté à l’islam.

     

    Autre conséquence colossale : le fait que le Coran soit EN ARABE , élève ipso facto l’arabe au rang de LANGAGE SACRÉ. Ceci n’est pas un vain mot car :

    nul ne peut espérer vraiment saisir toute la quintessence de l’islam sans acquérir un niveau linguistique équivalent à l’agrégation d’arabe. Que les indonésiens, malais, les nigériens, les Black Panthers de Chicago ou même les voisins iraniens de l’Arabie se le disent ! Ils le savent en général. En 2005, les indonésiens par exemple, qui représentent la plus grande nation musulmane de la terre, prennent de plus en plus conscience, par l’enseignement de ceux de leurs imams qui ont été étudier le Coran en Arabie Saoudite, que leur pratique de l’islam, fondée sur une traduction indonésienne, est édulcorée par rapport aux dispositions du texte arabe. Il y a donc radicalisation de l’islam indonésien.

    Les traductions, même en arabe non littéraire contemporain, sont forcément par nature, approximatives et infidèles. En conséquence, tous les arabes lisent le Coran dans le texte, lequel n’est jamais actualisé. Contrairement au Grec d’Homère par exemple qui n’est plus parlé, et par le seul fait du Coran qui est récité partout aujourd’hui, l’arabe des 7ième 8ième  9ième siècles n’est pas tout-à-fait une langue morte, du moins pour tout le sous-ensemble lexical utilisé dans le Coran.

    Il est amusant de savoir que dans le cas où une faute grammaticale indéniable s’est glissée dans le texte coranique, ce qui est d’ailleurs rare, celui-ci est tellement sacré, intouchable et définitif, que la faute est déclarée exception reconnue à la règle et devient donc partie intégrante de la règle. Une faute grammaticale est ainsi déclarée régulière, au même titre que les errances théologiques de Muhammad sont élevées au rang de règle divine, et ses atroces forfaits qualifiés de "beau modèle".

     

    Les arabes ayant l’arabe pour langue maternelle, et connaissant par cœur des passages entiers du Coran dans les termes-mêmes que comprenaient ceux qui vivaient au moment de la fixation du Coran sous sa version définitive, ont donc l’immense privilège de parler tous les jours LE SEUL LANGAGE SACRÉ (croient-ils) de la planète.

    LS à Abu Dhabi (UAE)

    12 mars 2008 à 3 h 15 min

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