Surprenante pandémie, confondante gestion !

Surprenante pandémie, confondante gestion !

Échappé d’un laboratoire P4 sis à Wuhan en Chine, un virus de type sars-cov2 s’est rapidement et équitablement répandu sur la planète entière, explique-t-on. En réalité, de par le monde, des médecins, des Français en particulier, ont été confrontés dès l’automne 2019 à des cas de pneumonies atypiques.

En puisant dans leur expérience et leurs connaissances, ces médecins ont soigné. Bien soigné.

On put alors noter de grandes colères et aussi beaucoup de larmes à propos des interdits, suspensions, contraintes et paradoxes médicaux invraisemblables qui furent par la suite autoritairement imposés.

Emmanuel Macron intervient alors au mois de mars 2020, en expliquant avec une étrange insistance, que nous étions en guerre, mot six fois répété dans son discours. Ce fut-là le commencement d’une systématique et constante propagande « sanitaire » par la peur, afin de porter par des chiffres forcés une intention déjà connue des « Autorités », mais encore cachée au plus grand nombre : le vaccin ! En réalité, seuls les mauvais médecins ont la prétention de vouloir faire la guerre à un virus.

Nous apprenons cependant que les hospitalisés ont une communauté de profil : personnes âgées (la moyenne des décédés est supérieure à 85 ans), cas de surpoids (47 % des Français !), diabétiques, insuffisants respiratoires, cardiaques. Question : Pourquoi ne les a-t-on pas mieux et plus protégés, eux, et pourquoi fut-il choisi d’en laisser un certain nombre à la maison avec une recommandation de paracétamol, soit très exactement l’inverse fatal des besoins propres à leur cas ?

Selon les médias, les chiffres « flambent », la pandémie est « fulgurante », la courbe est « exponentielle », les services « sont submergés ».

Les porte-parole et « croque-morts » assermentés pour la chose ne nous ont rien épargné. Ils se sont succédés pour confirmer et contraindre à l’isolement, au confinement, aux gestes barrières – dont le masque obligatoire (au début réputé inutile et toujours ainsi par l’OMS). Confessons que, par cette peur et ces menaçantes pénalités, la mission fut presque impeccablement réussie.

Voilà alors l’apparition de la manœuvre la plus sournoise jamais vue : la perspective de la vaccination et la fin d’une pandémie que 2 injections allaient garantir. Cependant, nous affirme Emmanuel Macron le 24 novembre 2020 : « Je ne rendrai pas la vaccination obligatoire. » Nous savons aujourd’hui ce qu’il en est.

Les populations du monde, effrayées par le menaçant discours politique et médiatique, sont demeurées dans l’ignorance d’une saine et efficace prévention, ont oublié d’autres traitements, survolé le fait que, selon plusieurs textes, cette vaccination est illégale.

Mais, bien qu’effectuée avec des produits encore en phase d’essai et soi-disant en raison de l’absence de traitements connus, efficaces et sans danger (ce qui est parfaitement faux, car ces traitements furent interdits !), la vaccination fut vendue comme la seule réponse disponible face au « tsunami ».

L’état sanitaire de La France est une catastrophe. Si, à côté du « Ministère de La Maladie et de l’Exploitation Pharmaceutique », nous avions légalement l’Ayoush Indien (Ayurvéda, yoga, naturopathie, unani, sida, homéopathie), ministère spécialement dédié au bien-être, à la prévention, au soutien immunitaire, ce virus n’aurait jamais eu l’importance qu’il a prise.

Compte tenu de leur inefficacité, ces injections ne peuvent pas porter le nom de vaccin. Il s’agit donc d’autre chose, mais on compte déjà en Europe 1,5 million d’effets indésirables rapportés (Eudravigilance), dont 12 000 décès. Outre les finances, quel est alors le but recherché ?

« Le Tribunal Populaire d’Opinion Publique » animé par des hommes et des femmes du monde entier, sous la direction de l’avocat germano-américain Reiner Füllmich, est au travail depuis 2 ans. Selon la procédure du droit naturel, il jugera les institutions qui commettent ces violences contre l’humanité et les traduiront en justice. Affaire à suivre.

Cette initiative n’est peut-être pas étrangère à l’injonction présentement faite à Pfizer et à la FDA par la justice des États-Unis d’ouvrir les dossiers des premiers essais cliniques. Ils ne sont pas bons. Pour Pfizer (et complices), de nouvelles (ou premières) péripéties sont en vue.

Alain Hainaux

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