Vive la rentrée scolaire et ses stupidités

Vive la rentrée scolaire et ses stupidités

Voilà 30 ans que le système scolaire belge conduit par idéologie des générations à l’échec. Rien de changé à la rentrée 2010 : on poursuit au contraire sur la même voie. Il est plus que temps de dire non.

 

NON aux apprentis sorciers.

Il faut congédier les charlatans qui prônent l’égalitarisme absolu. Il faut renvoyer ces faux prophètes du diplôme garanti et de la réussite pour tous. Après avoir conduit l’économie wallonne dans le gouffre, ces socialo menteurs et leurs laquais libéraux ont gangrené tout le système scolaire. Par des réformes successives, toutes plus opaques et plus médiocres les unes que les autres, les grands prêtres de la  « Communauté française » (alors que nous n’avons rien à voir avec la France !) imposent 50 mesures, vecteurs d’émancipation. Dans ce fatras de directives « transversales », tout est virtuel : « l’hétérogénéité » désignant le multiculturel imposé ou encore les « projets » concernant les utopies gauchistes et « l’école de la réussite » qui permettrait à tous les incapables un accès garanti dans le milieu universitaire ou professionnel.

Enseignement « rénové » = échec assuré

Depuis 30 ans, le système scolaire belge a produit une foule d’élèves ignares et vindicatifs. Le métissage des classes explique aussi le faible niveau d’acquisition des connaissances et il est clair que le Quotient Intellectuel (Q.I) d’un élève n’est pas égal à celui de son copain ! Nier cette évidence est infantile. Le savoir ne se distribue pas, il s’acquiert. Sans contrôle permanent des connaissances et de l’assiduité des élèves par des devoirs et des examens rigoureux, il ne sera pas possible d’inverser la tendance de la médiocrité généralisée.

« Il n’y a pas de sot métier, Il n’y a que de sottes gens » écrivait Nicolas Boileau.

L’éducation, c’est le rôle des parents ; l’enseignement des disciplines peut être dispensé par l’Etat, ou par le clergé, ou par l’armée… mais il n’est pas tolérable que les instituteurs et les professeurs belges doivent combler les carences familiales !

Cela fait très longtemps que le marché bruxellois du travail réclame des secrétaires trilingues, des électriciens, des paveurs ou des bouchers. De son côté, ACTIRIS recense 95.000 chômeurs et par ailleurs, 105.000 analphabètes hantent les statistiques depuis 20 ans : où est l’erreur ?

NON aux classes poubelles

Il est urgent de rétablir la discipline, d’exiger le respect du corps enseignant, dont les membres doivent cesser de se comporter en « copain » vis-à-vis des élèves et qui avec efficacité et bon sens fera preuve de compétence. Il est indispensable de renvoyer les quelques perturbateurs qui polluent la bonne entente dans les classes et, si nécessaire, de supprimer les allocations familiales aux parents trop laxistes.

De plus, il ne faut plus accepter les touristes dans nos grandes écoles ou dans nos universités, ni tolérer des étudiants qui viennent à nos frais musarder dans les amphithéâtres pendant des années sans obtenir le moindre diplôme.

Il faut stopper cette hérésie et restaurer le goût de l’effort et du travail.

NON à l’éducation de masse.

Ces ministres suffisants et arrogants, ces Graffé et Di Rupo, ces Onkelinx et Arena, ces idéologues irresponsables, ont excommunié la mémoire, l’histoire et la liberté, en organisant une production à la chaîne d’élèves amnésiques, parfaits robots manipulables par des politiciens corrompus. Nous nous opposons à ces dérives sectaires, contraires aux intérêts de nos enfants, car elles interdisent toutes références à notre passé civilisateur et à nos valeurs ancestrales, racines indispensables au développement de notre culture et de notre avenir.

Pour nous, parents, l’école de demain doit être l’école de tous, mais garante de la qualité et de la différence au terme des études. La réussite pour tous est une vaste fumisterie socialiste.

Pieter Kerstens

Partager cette publication

Comments (3)

  • françois Répondre

      Le-Roux, vous m’ôtez le commentaire de la bouche! J’ai cru que le rédacteur parlait de la France…

    7 septembre 2010 à 9 h 44 min
  • LE - ROUX Répondre

    Très bon commentaire BELGE  qui peut sans difficulté s’appliquer à la FRANCE.

    C’est ainsi que certaines Grandes Provinces de France pourraient aussi s’inspirer de la Belgique et se demander ce qu’elles font dans ce foutoir PARISIEN.

    Exemple : BRETAGNE – ALSACE – PAYS BASQUE – CORSE

    6 septembre 2010 à 21 h 16 min
  • LE KET Répondre

    Et ce n’est pas en généralisant la "mixité sociale" que le niveau et les compétences des élèves va s’améliorer !

    6 septembre 2010 à 10 h 49 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *